Extrait :
ÊTRE HUMAIN et SES METAXU :
« Toutes les choses crées refusent
pour moi d’être des fins. » [...] Les choses crées ont pour essence
d’être des intermédiaires ( hcq :..EN/Rapport ...). Elles sont des intermédiaires les unes vers
les autres, et cela n’a pas de fin. Elles sont des intermédiaires vers D-ieu. Les éprouver comme telles.....Ne priver aucun être humain de ses metaxu
.....Simone Weil
L'art des "metaxu"
.en Relations
:
ENracinement
nos Nous ..nos metaxu
coques, chrétien, foyer, famille,
patrie, tradition, culture, royaliste, Etat, inter-relation, puissance,
argent, Dieu ...
de l'entre-soi à l'au-dessus ? « Tout entre soi
suppose un au-dessus ; et quand le niveau meta
s'affaisse, l'inter se disloque. » .....« A la verticale vous
n'échapperez pas.
la vraie grandeur
... esprit de
vérité ...
SimoneWeil ...///
fausse Grandeur
..... De Gaulle
...ensembles-homocoques....
les droits et devoirs des coques !
l'humain trinitaire
EN A JE NOUS ....
Dominique Venner
La
Dialectique des Triades
|
|
ÊTRE HUMAIN et SES METAXU
....
« Toutes les choses crées refusent pour moi d’être des
fins. » [...] Les choses crées ont pour essence d’être des intermédiaires.
Elles sont des intermédiaires les unes vers les autres, et cela n’a pas de
fin. Elles sont des intermédiaires vers Dieu. Les éprouver comme telles.
[...] Seul celui qui aime Dieu peut regarder les moyens seulement comme
des moyens. [...] LA PUISSANCE (et l’argent, ce passe-partout de la
puissance) EST LE MOYEN PUR. PAR LA MÊME, C’EST LA FIN SUPRÊME POUR TOUS
CEUX QUI N’ONT PAS COMPRIS. [...] NE PRIVER AUCUN ÊTRE HUMAIN DE SES
METAXU, C’est-à-dire de ces bien relatifs et mélangés (FOYER,
PATRIE, TRADITION, CULTURE, etc...) QUI RECHAUFFENT ET NOURRISSENT L’ÂME
et sans lesquels, en dehors de la sainteté, une vie humaine n’est pas
possible. [...] Pour respecter par exemple les patries étrangères, IL
FAUT FAIRE DE SA PROPRE PATRIE, NON PAS UNE IDOLE, MAIS UN ECHELON VERS
DIEU. [...] »
Auteur :
Simone Weil
Source :
http://home.tiscali.be/vexilla/RELIGION_ET_ETAT.htm
|
|
Bienheureuse Teresa de Calcutta (1910-1997), fondatrice des Soeurs
Missionnaires de la Charité dans Il n’y a pas de plus grand amour, Lattès 1997, p.77)
Être la lumière du monde (Mt 5,14)
Il se peut que je sois incapable de garder mon attention pleinement
fixée sur Dieu quand je travaille -- ce que Dieu, de toutes les façons, ne
me demande pas. Toutefois, je peux pleinement désirer et projeter
d'accomplir mon travail avec Jésus et pour Jésus. C'est là une belle chose
et c'est ce que Dieu veut. Il veut que notre volonté et notre désir se
rapportent à lui, à notre famille, à nos enfants, à nos frères, et aux
pauvres.
Chacun de nous reste un modeste instrument. Si tu observes les
composants d'un appareil électrique, tu y verras un enchevêtrement de fils
grands et petits, neufs et vieux, chers et pas chers. Si le courant ne
passe pas à travers eux, il ne peut y avoir de lumière. Ces fils, ce sont
toi et moi. Le courant, c'est Dieu. Nous avons le pouvoir de laisser
passer le courant à travers nous, de le laisser nous utiliser, de le
laisser produire la lumière du monde -- ou de refuser d'être utilisés et
de laisser les ténèbres s'étendre.
Bienheureuse
Teresa de Calcutta
... Je dis toujours que l'amour commence à la
maison. Il y a d'abord la famille et ensuite votre ville. C'est
facile de prétendre aimer les gens qui sont très loin, mais beaucoup
moins facile d'aimer ceux qui vivent avec nous ou tout près de nous. Je
me méfie des grands projets impersonnels car seule chaque personne
compte.
LETTRE APOSTOLIQUE TERTIO MILLENNIO ADVENIENTE JEAN-PAUL II
Dans la vie des personnes, les Jubilés sont
habituellement liés à la date de naissance, mais on célèbre aussi les
anniversaires du baptême, de la confirmation, de la première communion,
de l'ordination sacerdotale ou épiscopale, du sacrement de mariage.
Certains de ces anniversaires se retrouvent dans le domaine profane,
mais les chrétiens leur attribuent toujours un caractère religieux. Dans
la perspective chrétienne, en effet, tout Jubilé — celui du
vingt-cinquième anniversaire de sacerdoce ou de mariage, appelé «
d'argent », celui du cinquantième, appelé « d'or », ou celui du
soixantième, dit « de diamant » — constitue une année particulière de
grâce pour la personne qui a reçu l'un des sacrements mentionnés
ci-dessus. Ce que nous avons dit des Jubilés individuels peut être
appliqué aussi aux communautés ou aux institutions. Ainsi, on célèbre le
centenaire ou le millénaire de fondation d'une ville ou d'une commune.
Dans le domaine ecclésial, on célèbre les Jubilés des paroisses et des
diocèses. Tous ces Jubilés personnels ou communautaires jouent un rôle
important et significatif dans la vie des personnes et des communautés.
Dans ce contexte, la deux millième année depuis la
naissance du Christ (indépendamment de l'exactitude du calcul
chronologique) représente un Jubilé extraordinairement important, non
seulement pour les chrétiens mais indirectement pour l'humanité entière,
étant donné le rôle de premier plan exercé par le christianisme au cours
de ces deux millénaires. Il est significatif que le calcul du cours des
années se fait presque partout à partir de la venue du Christ dans le
monde: celle-ci devient donc également le centre du calendrier le plus
utilisé aujourd'hui. N'est-ce pas là aussi un signe de la contribution
incomparable apportée à l'histoire universelle par la naissance de Jésus
de Nazareth?
Evangile de Jésus-Christ selon saint Marc 4,21-25.
Jésus disait encore à ses disciples cette parabole : « Est-ce que la
lampe vient pour être mise sous le boisseau ou sous le lit ? N'est-ce pas
pour être mise sur le lampadaire ? Car rien n'est caché, sinon pour être
manifesté ; rien n'a été gardé secret, sinon pour venir au grand jour. Si
quelqu'un a des oreilles pour entendre, qu'il entende ! »
Il leur disait encore : « Faites attention à ce que vous entendez ! La
mesure dont vous vous servez servira aussi pour vous, et vous aurez encore
plus. Car celui qui a recevra encore ; mais celui qui n'a rien se fera
enlever même ce qu'il a. »
|
|
Distinction et séparation des pouvoirs
Attention à ne pas tomber dans le piège qui nous est tendu par les
loges et qui consiste à créer la confusion entre DISTINCTION et SEPARATION
des pouvoirs.
Je déteste la théocratie autant que vous, mais ce n'est pas de cela
qu'il s'agit. Il s'agit de créer et de maintenir des conditions de vie qui
ne soient pas contraires à nos fins, disons, pour faire simple, qui ne
nous poussent pas au péché comme c'est le cas actuellement. Mais l'ordre
du politique est distinct de celui du religieux et même de celui du moral.
Je peux vous dire, au terme d'une étude que je mène depuis plusieurs
mois, que la monomanie anti-musulmane ( à ne pas confondre avec une juste
prévention et connaissance des risques) qui n'est pas rare dans nos
milieux est utilisée, et même encouragée et nourrie pour la retourner
contre les catholiques. Le principe de la manoeuvre est très simple :
voyez les horreurs talibanes, c'est l'intégrisme, la religion catholique
aussi a ses intégristes, il faut donc combattre tous les intégrismes, en
particulier le catholicisme.
Message à suivre ... de Catholix du 18-01-02.
.... il ne peut y avoir de séparation
des pouvoirs ...le pouvoir ne se partage pas ...et ne peut se partager ..
la voiture à deux volants ???.... ile ne peut y avoir que des
contre-pouvoirs .. en s'assurant que chacc-un conserve sa liberté de
conscience ..et sa souveraineté ....démocratique ... contrat social ...
|
|
SI JE SUIS ROYALISTE, C’EST POUR CELA, et pour
rien d’autre qui vaille la peine de se battre
http://www.vexilla-regis.com/textevr/RELIGION_ET_ETAT.htm
LA QUESTION FONDAMENTALE QUE DOIT SE POSER UN CATHOLIQUE POUR APPRECIER
LA VALEUR D’UN REGIME, n’est pas d’abord d’ordre temporel. Elle est : CE
REGIME ME PERMET-IL, malgré mes faiblesses et mes blessures, d’accéder au
mieux à mes FINS DERNIERES ? i.e. DE ME PRESENTER DEVANT DIEU DANS LA
VERTU ?
Voilà LA véritable question qui devrait intéresser un catholique.
Malheureusement, si personne ou presque ne l’aborde jamais, c’est que
l’Eglise « de notre temps », prêchant de fait le salut universel « oublie
» de le dire.
Simone Weil (se méfier des
contrefaçons) a écrit des lignes admirables sur le sujet. Extraits :
« Toutes les choses crées refusent pour moi d’être des fins. » [...] Les
choses crées ont pour essence d’être des intermédiaires. Elles sont des
intermédiaires
( ... EN NOU-Âge-dé-NOU-Âge ...exemple ..l'homme
ENfant-PAIRE-Nts ...) les unes vers les autres, et cela n’a pas de fin. Elles
sont des intermédiaires vers Dieu. Les éprouver comme telles. [...]
Seul
celui qui aime Dieu peut regarder les moyens seulement comme des moyens.
[...] LA PUISSANCE (et l’argent, ce passe-partout de la puissance) EST LE
MOYEN PUR. PAR LA MÊME, C’EST LA FIN SUPRÊME POUR TOUS CEUX QUI N’ONT PAS
COMPRIS. ( ...et pour lesquels ..les MOnocoq ...la fin justifie
les Motens ...) [...] NE PRIVER AUCUN ÊTRE HUMAIN DE SES METAXU,
C’est-à-dire de ces bien relatifs et mélangés (FOYER (
...famille ...), PATRIE,
TRADITION, CULTURE ( ...langue maternelle de ses aïeux ... de ses
racines ....) , etc...) QUI RECHAUFFENT ET NOURRISSENT L’ÂME et
sans lesquels, en dehors de la sainteté, une vie humaine n’est pas
possible. [...] Pour respecter par exemple les patries étrangères, IL
FAUT FAIRE DE SA PROPRE PATRIE, NON PAS UNE IDOLE, MAIS UN ECHELON VERS
DIEU. [...] ..( l'Â totalité ...) »
" La pesanteur et la grâce », préface de Gustave
Thibon. Agora, 35 F.
POUR DIEU ET POUR LE ROY, parce que PAR
LE ROY.
N.B. Message de Catholix du 17-01-02.....Je dédie
particulièrement ce message aux adeptes du christianisme sans la croix,
aux adeptes du christianisme-décoration (version patine antiquaire ), aux
adeptes du christianisme radieux (version haut de gamme avec déclenchement
automatique des essuie-glaces en cas pluie) . Qu’ils n’en soient pas
offensés.
à
compter du 22.05.2013
L'art des "metaxu"
Par Philippe Quéau le
lundi 18 novembre 2013, 13:11
Entre la beauté et la laideur, entre le savoir et l’ignorance,
entre la matière et les formes, entre les mortels et les
immortels, il y a toutes sortes d’êtres « intermédiaires », ce
que Platon appelle les metaxu. Il en est des myriades.
Le monde se tisse ( NOU-Âge-dé-NOU-Âge
...) sans cesse par leurs médiations et par leurs
transformations.
Les metaxu prennent une actualité nouvelle avec la
révolution numérique, qui les rend plus tangibles peut-être, et
leur ouvre un immense champ d’expérimentation pratique. L’artiste
intermédiaire peut se lancer à la découverte de formes
métamorphiques, et de forces immuablement mues. L’art
intermédiaire des metaxu entrecroise inextricablement des
images (sensibles) et des modèles (intelligibles), révélant
progressivement leur essence : le paradigme caché, celé par le
démiurge.
Les images de metaxu présentées ici se veulent des
expressions caractéristiques de cet « art intermédiaire ». Elles
doivent être comprises comme quelques moments privilégiés dans la
vie de leur genèse. Ces prélèvements ne sont pas arbitraires. Ils
ont été sélectionnés comme des « instants », des « moments »
uniques. Seul leur « paradigme » reste intangible, à travers la
multiplicité des formes visibles qu’il engendre, et des figures
qui l’incarnent provisoirement.
>>>>>suite
>>>>>
10.06.2014 Noam Chomsky
>>>>
« Je suis citoyen des États-Unis et
j’ai une part de responsabilité dans ce que fait mon pays. J’aimerais le voir
agir selon des critères moraux respectables. Cela n’a pas grande valeur morale
de critiquer les crimes de quelqu’un d’autre – même s’il est nécessaire de le
faire, et de dire la vérité. Je n’ai aucune influence sur la politique du
Soudan, mais j’en ai, jusqu’à un certain point, sur la politique des États-Unis
» [Noam Chomsky, The Guardian, 20 janvier 2001]
...pour l'homocoques cela doit se
conjuguer ... de proches en proches ...à tous le
niveaux de nos NOUS organiques ... de nos métaxu
....
et comme dit à mon curé " le plus proches des proches pour chac-un ou
chac-une ??? ...c'est celui ou celle avec qui l'on couche ...nous en
portons tous et chac-un les stigmates ..."
|
|