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une
société mortifère .... |
Dossier :
la Vie
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Présentation:
Comme conséquences.. pêle-mêle... : la banalisation du fait de tuer,
la culpabilisation des femmes, l'exclusion de Dieu , ... la réification de
l'homme .. la promotion de la vision de l'HOMENTRANCHE, celle des droits
de l'homme... et non du droits des coques ...
L'homme seul n'existe pas
.. n' existe que des ensembles ... dont la base est la coque homme-- femme....
l'homENcoques.....
Extraits:
Le drame de l'avortement
: ...
Qu'y a-t-il de plus triste, en effet que de
voir une mère supprimer son enfant, un médecin son patient, une nation, sa
jeune population.
SONDAGE BVA-ADV .... " Les Françaises et l'IVG
" .... " Pensez-vous que l'avortement laisse des traces psychologiques
difficiles à vivre pour les femmes ? " ....
Oui : 86 %
La santé mentale en Europe
.... Selon l'OMS, près de 30 millions d'Européens souffrent d'anxiété et
de dépression,

en
io-relation
.
.Nos Nous,
nos metaxu ..sans lesquels une vie humaine n'est pas possible ...
de l'entre-soi à l'au-dessus ? « Tout entre soi
suppose un au-dessus ; et quand le niveau meta
s'affaisse, l'inter se disloque. » .....« A la verticale vous
n'échapperez pas.
NON à la guillotine blanche ! ...
Les promoteurs de l'euthanasie sont les mêmes que pour l'avortement.....
les suicides d'adolescents
......
Le déclin selon
Oriana Fallaci......
Le lent suicide de
l’Europe continentale ...
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Le drame de l'avortement
Source:
http://membres.lycos.fr/jeunesseaction/vie2.htm
Que les choses soient claires, en premier lieu. Il faut bien comprendre
que nous ne condamnons pas les femmes qui ont eu recours à un avortement,
et qui le plus souvent en souffrent énormément, car Dieu seul est juge,
mais nous condamnons l'acte, qui est un crime. L'homme est pécheur et
l'Amour miséricordieux de Dieu est infini.
Voici quelques chiffres issus des ministères concernés pour les année
80 à 94. Chaque 24 heures en France :
81 jeunes deviennent séropositifs,
137 jeunes tentent de se suicider,
15 jeunes filles sont violées,
332 couples divorcent,
15 jeunes meurent d'overdose,
24 personnes sont assassinées.
Ces chiffres dramatiques montrent que notre société n'a pas conscience
de la valeur sacrée de toute vie humaine et de la grandeur de l'amour
humain.
Parmi ces diverses atteintes à la Vie et à l'Amour, il en est une
particulièrement alarmante car elle est dirigée vers les êtres les plus
faibles et les plus innocents : l'avortement qui s'attaque aux enfants
dans le ventre de leur mère. Qu'y a-t-il de plus triste, en effet que de
voir une mère supprimer son enfant, un médecin son patient, une nation, sa
jeune population. Si l'avortement entraîne un mort, l'enfant, il laisse
toujours au moins un blessé sur le champ de bataille : la mère qui est
toujours victime, à cause bien souvent de la lâcheté du père.
L'avortement, c'est près de 1000 enfants tués chaque jour en France, et
ceci sans compter, les avortements réalisés par certaines pilules
abortives et stérilets. Cela représente plus d'un avortement pour trois
naissances. On arrive à 5 milliards d'enfants sacrifiés depuis le vote de
la loi Veil en 1975. Selon l'OMS, le nombre d'avortement dans le monde
s'élève à 140000 par jour, 50 millions par an, plus d'un milliard depuis
20 an ... soit près d'un cinquième de la population mondiale.
Comme le disait si bien Mère Térésa, dont la mémoire nous est chère,
comment peut-on prétendre résoudre le problèmes des guerres, des
terrorismes, des intégrismes, de la violence généralisée, des armes
chimiques et nucléaires si l'on tolère la plus grande barbarie qui soit :
tuer un enfant dans le sein de sa mère ? Comment empêcher le meurtre et la
haine si on permet à une mère de tuer son enfant ?
Le pire, c'est que l'avortement, dans la plupart des pays dits
industrialisés est non seulement autorisé mais aussi organisé, planifié,
remboursé et ses opposants sont privés de liberté d'expression. L'Etat se
fait complice du plus effroyable des meurtres.
Pourquoi l'avortement est-il un "crime abominable" (Vatican II) ? Il est scientifiquement -et philosophiquement- prouvé que la vie
commence dès la conception. Dès la fécondation, l'embryon est un être
humain à part entière. La fécondation donne à l'embryon ses propres
caractéristiques génétiques qui font de lui un être unique. A partir de la
fécondation, l'embryon humain ne franchira plus d'étape brusque. Il n'a
besoin que de temps et de nourriture pour se développer et arriver à la
naissance. Un foetus est viable à partir de 15 semaines aujourd'hui. Si
l'avortement en France n'est théoriquement permis que jusqu'à 10 semaines,
il l'est jusqu'à 9 mois dans de nombreux pays comme les Etats-Unis et la
Chine. Il est arrivé plusieurs fois qu'une femme venant se faire avorter
accouche et que le médecin assassine alors le bébé devant les yeux de
horrifiés de sa mère.
A 18 jours le coeur humain se met à battre. A 6 semaines, le petit être
bouge et les activités de son cerveau peuvent être enregistrées l'éléctro-encéphalogramme.
L'avortement est donc une atteinte grave à la vie humaine, au caractère
sacré de la vie du foetus comme de toute vie humaine en tant que don de
Dieu. L'homme n'a pas à décider si un enfant à le droit de vivre ou non.
Seul Dieu est maître de la vie et de la mort.
Il existe bien sûr des situations très douloureuses qui conduisent des
femmes à avorter. Mais tuer un bébé ne peut jamais être la solution. On ne
règlera jamais aucun problème par la violence et par le meurtre.
L'avortement se caractérise par sa barbarie. Plusieurs méthodes
d'avortement déchiquettent le corps de l'enfant ou le brûlent à
l'intérieur comme à l'extérieur; On lui coupe la tête, on le broie et on
l'aspire. Il est sensible à la douleur à partir de six semaines. On ne
traiterait jamais des animaux de la sorte.
Jusqu'aux années 70, les différentes civilisations ont toujours banni
l'avortement. Le serment d'Hypocrate que doivent prêter tous les médecins
du monde spécifiait : "je ne donnerai à aucune femme de produit abortif".
Il a été modifié et est devenu un serment d'hypocrites. Les premiers à
légaliser l'avortement furent Hitler et Staline... Les pays dits
développés les ont imité dans les années 70 (loi Veil-Chirac en 1975,
Giscard était président, c'est donc une loi de "droite".) Mais comment
peut-on se dire développé, parvenir à aller sur la lune et ne pas trouver
d'autre remède à la détresse des femmes, un problème surtout social, que
de tuer leur enfant ? Non, on n'est pas plus développé qu'au Moyen-Age. On
est même plus barbare...
Réfléchissons sur la beauté et la grandeur de la vie humaine. Chaque
être, même les plus petits ont le droit à la vie. Chaque vie a une valeur
infinie aux yeux de Dieu. Je le répète, nous ne portons aucun jugement,
nous ne condamnons personne. Nous ne condamnons que l'avortement et la
volonté de vouloir ériger le crime en droit.
texte hébergé
en 02/04
haut de page
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SONDAGE BVA-ADV " Les Françaises et l'IVG "
Décembre 2004 – Janvier 2005
L'Institut BVA a réalisé une enquête auprès d'un
échantillon représentatif des Françaises de 18 ans et plus. 983 femmes
âgées de 18 ans et plus ont été interrogées du 22 au 23 décembre 2004
et du 7 au 8 janvier 2005 par téléphone. Méthode des quotas appliquée
aux variables suivantes : âge et CSP du chef de famille.
" Depuis novembre 2004, une loi donne la possibilité
aux femmes, en début de grossesse d'avoir recours à des Interruptions
Volontaires de Grossesse à domicile sous contrôle médical. A ce sujet,
de laquelle de ces deux opinions vous sentez-vous la plus proche ? " :
1/ Cette loi va dans le bon sens car elle permet de
faciliter pour les femmes le recours à l'Interruption Volontaire de
Grossesse : 43 %
2/ Cette loi va dans le mauvais sens car elle risque de
banaliser le recours à l'Interruption Volontaire de Grossesse : 50 %
3/ NSP : 7 %
" Pensez-vous que l'avortement laisse des traces
psychologiques difficiles à vivre pour les femmes ? "
1/ Oui : 86 %
2/ Non : 11 %
3/ NSP : 3 %
" Pensez-vous que la société devrait davantage aider
les femmes à éviter le recours à l'Interruption Volontaire de
Grossesse ? "
1/ Oui : 83 % (2001 : 78 %)
2/ Non : 14 % (2001 : 18 %)
3/ NSP : 3 % (2001 : 4 %)
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La santé mentale
en Europe
Helsinki : de notre envoyée spéciale Martine Pérez
[le Figaro 17 janvier 2005]
Ce n'est pas par hasard si Helsinki
a abrité, du 12 au 15 janvier, la première conférence ministérielle
européenne sur la santé mentale organisée par le bureau régional de
l'OMS Europe. La Finlande, il y a près de quinze ans, face à des taux
de suicide jugés inadmissibles par le ministre de la Santé de
l'époque, a réorganisé complètement son système de soins pour lutter
contre la souffrance mentale. Avec comme résultat une baisse des
suicides d'environ 20%, même si ce pays garde des tristes records en
la matière.
Cette conférence, qui a réuni de
nombreux ministres de la santé et des délégations des 52 Etats de la
région européenne, s'est achevée par l'adoption d'un plan d'action sur
la santé mentale qui vise à recommander des stratégies performantes
pour réduire la détresse psychique. L'ensemble du continent européen
est confronté, à des degrés divers, aux mêmes souffrances mentales et
à des taux de suicides notables, tandis que la reconnaissance et la
prise en charge de ces difficultés restent partout insuffisantes, même
dans les pays les plus riches. Le problème n'est pas nouveau, mais
commence seulement à sortir de l'ombre.
Selon l'OMS, près de 30 millions
d'Européens souffrent d'anxiété et de dépression, 21 millions de
troubles liés à l'alcool, 4 millions de schizophrénie, 4 millions de
dépression bipolaire, 150 000 personnes se suicident chaque année.
Les troubles neuropsychiatriques arrivent en Europe par ordre de
fréquence en deuxième position après les maladies cardiaques. Ils
représentent 20% de toutes les affections, mais seulement 5,8% des
dépenses globales de santé y sont alloués.
Certes, ces chiffres généraux
masquent des réalités totalement différentes entre l'Europe
occidentale et orientale, mais les mêmes souffrances se posent
partout, à des niveaux et selon des formes variables. Une enquête de
l'Union européenne de 2003 a révélé que 90% des personnes déclarant
avoir souffert d'un problème de santé mentale ont indiqué n'avoir pas
reçu de soins. Dans les pays riches, entre 44 et 77% des personnes
souffrant de troubles mentaux ne bénéficient pas non plus de
traitement. Enfin, le recours aux médicaments est beaucoup plus
fréquent que l'aide psychologique, partout en Europe. «Plus souvent
que nous ne voulons l'admettre, les personnes atteintes de problèmes
de santé mentale sont considérées avec crainte et sont victimes de
discrimination, soutient le docteur Marc Danzon, directeur
régional de l'OMS pour l'Europe. Trop souvent, elles ne parviennent
pas à obtenir un traitement ou ne demandent pas d'aide.»
La santé mentale, ce n'est pas
seulement la prise en charge des malades, c'est aussi la prévention.
«Je veux insister sur le fait, a martelé Liisa Hyssälä, ministre
finlandaise de la Santé, que la plus importante partie de la promotion
du bien-être mental n'est pas médicale. Des mesures doivent être
prises dans les écoles, les entreprises, les familles, là où sont les
facteurs de risque et de protection, et là où l'on peut les
influencer.» Marc Danzon explicite cela très clairement : «Le monde du
travail, par exemple, n'est pas préparé à recevoir et à aider ceux qui
traversent des périodes psychologiques difficiles ou qui présentent
des troubles mentaux. Dans nos sociétés compétitives, la dépression
est considérée comme une faiblesse inacceptable. Au lieu de soutenir
ceux qui souffrent, le milieu du travail contribue souvent à les
stigmatiser.»
Le plan d'action adopté à Helsinki
comprend plusieurs dizaines de propositions pour lutter contre la
stigmatisation, pour promouvoir des actions de prévention adaptées aux
plus vulnérables comme les enfants et les personnes âgées, garantir
l'accès à des soins de qualité, améliorer la formation des médecins
généralistes et la recherche, évaluer les actions menées, assurer un
financement suffisant.
Enfin, ce plan recommande plus
particulièrement la prise en charge des malades atteints de troubles
mentaux dans des structures près des lieux de vie. La Finlande, comme
l'Italie d'ailleurs, a pour sa part depuis longtemps progressivement
fermé tous les hôpitaux psychiatriques pour lutter contre la trop
forte empreinte laissée par des séjours dans de telles institutions.
Elle a créé des petits services dans les hôpitaux généraux ou encore
dans les villes, pour offrir des soutiens et des aides si nécessaires
vingt-quatre heures sur vingt-quatre.
et
l'amour dans tout cela .....????
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