.z.l'homocoques...
|
une conscience
en
2007
|
je ne suis pas simplement
responsable devant ma conscience, mais que je suis responsable d’abord de
la conscience, de l’état de la conscience
|
|
|
|
|
<<<NOTES
2008 <<< |
<<<< CONSCIENCE 2008 >>>> |
>>>TRACES 2008>>> |
<<<NOTES<<< |

avril 2007
|
L'important est d'être conscient de nos rapports avec nous-même, de nos rapports
avec les choses, les personnes, les idées. De ne pas être dupe
du jeu, et d'approfondir les inter-relations et notre
image
du
monde. Derrière, seulement, commence le réel.
d'après "Préceptes de vie issus de la sagesse amérindienne" |
Si la
conscience distingue l’homme de l’animal, il me semble que ce que nous
devrions appeler « l’évolution de l’homme » c’est l’évolution de
la prise de conscience de chac-un d'entre nous.
Cette évolution
se fait principalement par questionnement de soi-même des
autres ... donc la "rencontre" ... le dialogue
Naître au monde est l'aventure d'une vie en
inter-relation ( l'
individuation)
... et cette Vie-création ne co-nnaîtra sa
plénitude qu'en sa fin.
_________________s_________________
Les "questionnements" actuellement
entre-ouverts sont les suivants :
de la conscience du monde
de la
conscience à l'individution
des trois cerveaux ...
de la prise de conscience
du
formatage des
consciences
des
chocs des consciences de la vie
de la non conscience
de l'homenTRANCHE
de la conscience de
l'inconscient
Ils ne cessent d'être
complétés et corrigés .... au fur et à mesure du cheminement....
Site Forum :
La
transformation de la conscience
|
>>>TRACES>>> |
|
s
|
|
<<<NOTES<<<
|
avril 2007
|
« Nous sommes ce que
nous pensons. Tout ce que nous sommes résulte de nos pensées.
Avec nos pensées, nous bâtissons notre monde»
Bouddha |
La première fois que j'ai "vu"
cette pensée de Bouddha, elle m'est apparue comme spécifique à la
pensée bouddhiste. Comme la plupart de mes proches, je
croyais, quant à moi fils de l'Occident moderniste et
scientifique, perce-voir naturellement « la vraie réalité ».
Au fur et à mesure de mon
cheminement , et cela remonte au début de la naissance de
l'homocoques en 2001, je me suis rendu compte que les proches, la
femme, l'homme, les enfants, monde...la création... le cosmos...
nous ap-prenons à les «perce-voir" grâce aux « informations --
structures» que nous « captons» par nos sens tout au long de la vie.
C'est avec ces co-nnaissances ... ces pensées que chac-UN bâtit son
monde.... sa vision du monde, de la femme, de l'homme ... de la vie.
Notre vie nous la vivons en
fonction d'une certaine vision qui nous est donnée par la société
"de" laquelle nous naissons et dans laquelle nous grandissons....
qu'en retour et à notre tour nous vivons et trans-formons.
« Toute conscience élargie appelle une
Weltanschauung (une conception du monde, une vision, une image du
monde). Toute conscience de raison et d'intentions est déjà
Weltanschauung (une conception) en germe. Tout accroissement de
connaissance et d'expérience est un pas de plus vers son
développement. En d'autres termes , il n'est pas
indifférent que l'on ait ou non une Weltanschauung, ni de quelle
sorte elle est; car non seulement nous créons ainsi une conception
du monde mais, par un choc en retour, cette conception du monde
nous transforme à son tour. »
«
l’Âme et la Vie »
par C.G. Jung
Les mythes, les religions, les "
sagesses", les idéologies, les "systèmes philosophiques" ... les
langues, les Histoires, les arts, les musiques, les cultures sont
des éléments constitutifs d'une image
du monde

Nous en avons le plus souvent
pas conscience de la vision du monde que nous « trans-portons»--
Elles déterminent pourtant, nos jugement nos choix ...nos pensées
...
notre style de vie...
nos vies et celle des autres <et>
inversement.
…les rencontres …. les sociétés
…. sont à notre image…
NOUS les faisons <….> Elles
NOUS font
z ...Q
de l'homocoques :
Ce site est un essais de
"vision des images du monde et de l'homme."
L'homocoques entrevoit
fondamentalement trois grandes familles de visions du monde.
L'homenUN --l'homenTRANCHE--l'homenMULTETUN
|
>>>TRACES>>>
|
|
s
|
|
<<<NOTES<<<
|
avril 2007
... de la
conscience de sa conscience ..... à
l'individuation |
|
il n'est pas indifférent que l'on ait ou
non une Weltanschauung, ni de quelle sorte elle est; car non
seulement nous créons ainsi une conception du monde mais, par un
choc en retour, cette conception du monde nous transforme à son
tour. »
«
l’Âme et la Vie »
par C.G. Jung
|
Je crois qu'il est essentiel de
commencer par une formulation fonctionnelle entièrement neuve,
avec ses implications pour une étude de l"homme' considéré comme «
un organisme-comme-un-toutdans-un-environnement », y compris nos
environnements neuro-sémantiques et neurolinguistique en tant
qu'environnements.
Pour conclure, rien ne me
paraît plus approprié à titre de récapitulation que de citer les
passages suivants qui expriment de façon si belle et si profonde
le fondement de la connaissance humaine.
C'est Cassies J. Geyser qui a
dit :
... car, une fois ce fait
mis en évidence, il est manifeste que le caractère de l'histoire
humaine, le caractère du comportement humain, et celui de toutes
nos institutions humaines, dépendent à la fois de ce que
l'homme est, et dans une mesure égale ou plus grande de
ce que nous, humains, pensons que l'homme est .
Cette caractéristique de la vie
humaine a laquelle on ne peut échapper a été formulée
différemment, mais avec tout autant de justesse, par le Dr. Alexis
Carrel :
Pour progresser à nouveau,
l'homme doit se refaire lui-même. Et il ne peut se refaire
lui-même sans souffrir. Car il est à la fois le marbre et le
sculpteur
Et Arthur S. Eddington
s'exprime avec d'autres mots :
Et cependant, concernant la
nature des choses, cette connaissance n'est qu'une coquille vide
- une forme de symboles. Connaissance de la forme structurelle
et non connaissance du contenu. À travers tout le monde
physique circule ce contenu inconnu, qui doit être sûrement la
matière même de notre conscience. Ici une lueur apparaît qui
fait soupçonner des aspects profondément enfouis dans le monde
de la physique, et cependant impossibles à atteindre par les
méthodes de la physique. Plus encore, nous avons découvert que
là où la science avait progressé le plus loin, l'esprit n'avait
fait que retrouver dans la nature ce que l'esprit y avait mis.
Nous avons trouvé
une étrange empreinte sur les rivages de l'inconnu. L'une après
l'autre, nous avons élaboré de profondes théories, pour rendre
compte de son origine. Finalement, nous avons réussi à
reconstituer la créature qui a déposé cette empreinte. Et voilà
! c'était la nôtre.
Mais pourquoi diable, allez
–vous certainement me demander, l’homme doit-il à tort et à travers
atteindre une plus haute conscience ? … C’est une profession de foi en
l’être humain le plus conscient et le plus évolué.»
C.G. Jung
La conscience ? Pour moi il s’agit de la
capacité de l’esprit à observer son propre fonctionnement. C’est comme
un œil braqué sur le tableau du vécu, et qui a besoin d’apprendre à
regarder ce qu’il voit.
La conscience, c’est de savoir observer son propre vécu. Pour moi la
conséquence de la conscience, c’est de pourvoir dire « Je ». C’est
d’éprouver sa propre existence en tant qu’unique. De se découvrir une
unité intérieure, une identité unique (une âme ?).
La vie est bien plus facile lorsque je sais observer mon vécu, sans
m’identifier à lui. Je peux avoir conscience de ma colère, ou bien
devenir une manifestation de la colère sans en prendre conscience… et
regretter plus tard mes actes. Je peux avoir conscience de ma colère
et lui donner libre cours, et alors l’utiliser sans avoir à regretter
plus tard…
La conscience, c’est pour moi de pouvoir me détacher de mon vécu
(émotions, sentiments, pensées) pour l’observer : pour cesser de
m’identifier à mes pensées, mes émotions, mes sentiments.
C’est l’œil sur l’expérience intime vécue, qui permet de ne pas être
qu’une « conséquence d’une multitude de causes ». Et j’avoue que si la
conscience « permet » cela, ce n’est pas directement accessible. Le
regard s’éduque, l’œil doit être exercé : la conscience doit être
transformée pour donner son fruit le plus extraordinaire qui soit : la
liberté.
Olivier R
«La pensée naît d'événements
de l'expérience vécue et elle doit leur demeurer liée comme aux seuls
guides propres à l'orienter.»
Hannah Arendt
l'individuation ...co-naître au monde,
serait-ce prendre
conscience de son inconscient ?
|
« Cette prise de conscience
ne sera pas facile ni facilitée. Il est évident que la libération des
préjugés matérialistes et religieux modifierait la plupart des formes
de la vie présente. Mais la société s’opposera de toutes ses forces à
ce progrès de la pensée » …CG
Jung
z ..Q
en
homocoques :
Notre vraie vie est-elle notre
vie extérieure ou notre vie intérieure ?
Conduisons nous notre vie
intérieure par rapport à notre vie extérieure... ou inversement
notre vie extérieure par rapport à notre vie intérieure ?
Michel Henry
|
>>>TRACES>>>
|
|
s
|
|
<<<NOTES<<<
|
avril 2007
Cette note fait
référence au livre
« La source du
bonheur » de Christian Boiron.

Il
s'agit d'un livre que j'ai découvert par hasard
au milieu d'une chronique politique. À la
lecture, il m'a paru, au premier abord, un peu
simpliste. Mais la grille de lecture
du comportement humain qu'il nous donne ( ... selon
les théories de Jacques et Fanny Fradin, élaborées à
partir des travaux de Laborit ) ...celle
des trois cerveaux me paraît très
efficace pour une meilleure compréhension des
"sièges" et des dynamiques des conceptions du monde
en l'esprit de chac-un.
Au cerveau reptilien, siège de nos instincts
et pulsions, il faudrait ajouter
la pulsion de domination "dominant/dominé"
base des pulsions humaines d'après H. Laborit.
Pulsion qu'il souligne (pour la dénoncer) en préface
de son livre " La nouvelle grille ":
"Je dédie
ce livre sans pitié à ceux qui souffrent, aux pauvres, aux aliénés,
aux prisonniers, aux drogués, aux contestataires, à tous ceux qui ne
se sentent pas tellement bien dans leur peau. Mais je le dédie aussi
aux nantis, aux honnêtes gens, aux flics, aux candidats à la
présidence, aux notables, à tous ceux qui sont sûrs de détenir
la vérité, quelle qu'elle soit, de droite ou de gauche, en espérant
qu'ils y découvriront au moins les germes de l'incertitude, soeur de
l'angoisse, et mère de la créativité."
C'est le
concept de cerveau limbique, siège de notre
"mémoire programmante" placé entre le cerveau
reptilien et le néocortex qui me parait devoir
attirer notre attention ... Cerveau "mémoire"
programmée, fruit du dressage, de l'éducation, des
médias, du mimétisme ... de la
d'une "pensée
unique" ... reflet de la formation de la
déformation.
C'est le
néocortex, siège de notre conscience, de notre sens
d'analyse et de synthèse, de notre discernement, de
notre self-control, de notre jugement ... qui
détermine notre individuation... de notre ouverture
sur notre vie intérieure ... l'inconscient
Etre homme
consiste avant tout à utiliser les aires cérébrales qui nous
distinguent des autres espèces animales et nous permettent de créer
de nouvelles structures. Etre révolutionnaire, ce n'est pas
appliquer des grilles inventées à une époque où les deux tiers de
nos connaissances scientifiques contemporaines restaient encore à
découvrir, une époque en particulier qui restait confinée dans le
langage conscient, dans les analyses logiques utilisant le principe
de causalité linéaire sans mettre en cause les pulsions, et les
automatismes qui menaient et qui mènent encore nos discours. Etre
révolutionnaire consiste d'abord à imaginer de nouvelles grilles
conceptuelles, de nouvelles structures prenant en charge l'essentiel
de l'apport de l'ensemble des disciplines biologiques, et cela pas
en pièces détachées, en bric-à-brac culturel, mais sous -une forme
intégrée, qui partant de la physique aboutit à l'espèce humaine dans
la biosphère, dans le temps de l'évolution et celui de l'individu,
dans l'espace gratifiant d'un homme et celui de tous les hommes, la
planète.
Etre
révolutionnaire n'est plus alors l'affaire de quelques leaders
inspirés, d'une élite éclairant la masse, mais celle de tous.
C'est sans doute la finalité de l'espèce humaine, car il
s'agit d'une révolution permanente et culturelle, non d'une culture
langagière ou d'une praxis sociale uniquement.
>>> texte
vouloir être homme
c'est l'affaire de chac-UN
z ..Q
en
homocoques :
les droits et devoirs des coques ! non aux casseurs de coques
|
>>>TRACES>>>
|
|
s
|
|
|
avril 2007
|
« Est-il juste devant Dieu de vous écouter, plutôt
que d'écouter Dieu ?
>>>>
|
On a logé Dieu en dehors et on
ne L'a pas encore trouvé dedans. Il est naturel que l'on refuse ce
Dieu extérieur qui apparaît comme une menace et une limite imposée
du dehors à la vie humaine. Il est naturel que l'on ressente comme
une offense à l'esprit, et une agression contre lui, cette intrusion
d'une autorité qui s'impose et semble être la négation de la liberté
et de la dignité humaine. On s'est trompé sur Dieu, on ne L'a pas
reconnu, il est alors bien naturel que la morale qui était accrochée
au Dieu «traditionnel» soit elle-même ébranlée.
Maurice Zundel
Cette prise de conscience ne sera
pas facile ni facilitée. Il est évident que la libération des préjugés
matérialistes et religieux modifierait la plupart des formes de la vie
présente. Mais la société s’opposera de toutes ses forces à ce progrès
de la pensée »…CG JUNG
Cela fait au
moins 2000 ans que cela dure
et cette lutte n'est pas prête de cesser.....Ces peuples qui enseignent des préceptes humains
.
Avec internet
( s'il
réussit à échapper à la mainmise des "
pouvoirs") une possibilité nouvelle d'échapper au "mind
control" top-down, s'offre à chac-un ...
soyons en conscient. Veillons à la liberté de
cet outil de communication " horizontal " ...
découverte qui révolutionne et révolutionnera le
monde et l'homme d'une manière aussi importante et
beaucoup rapidement que la découverte

et chac-un va pouvoir réaliser que :
...la relation
de l'homme au monde ne peut être vécue et pensée par
une collectivité : elle est l'apanage de la
personne. Mon rapport organique à ma famille, à mon
groupe social, à toutes formes de la civilisation
qui l'expriment, est irréductiblement personnel : un
autre est incapable de le saisir, de l'éprouver, de
le comprendre, sauf de l'extérieur et d'une manière
purement abstraite. Nul ne peut prendre ma place
dans l'univers. Nul n'est interchangeable, à moins
que tous ne soient réduits à l'état de robots.
Marcel de Corte
Conscience et goût de la réflexion ...la conscience, qui est acte
de la raison cherchant la vérité des choses, cesse d'être lumière, et
devient un simple décor sur lequel la société des médias jette les images
et les impulsions les plus contradictoires. ... Face à une société
chaotique et violente, ouvrir aux jeunes le chemin de la splendeur de la
vérité sur la vie, l'amour, la sexualité.
Conscience ....psychologique et/ou morale
... il est très vrai de dire que je ne suis pas simplement
responsable devant ma conscience, mais que je suis responsable d’abord de
ma conscience, de l’état de la conscience
je suis responsable de ma
conscience, de l’état de ma conscience
|
«Si tu réussis à paraître
devant les autres ce que tu souhaiterais être, c'est tout ce que
peuvent exiger de toi les juges de ce monde.»
Hannah Arendt
loi pour
l'univers ....chacune
diffère selon sa race, son parcours, son histoire. Mais toutes ont en
commun ....... Dieu ....Evangile..
Conscience ....psychologique et/ou morale
..
"Vas vers toi" YHWH est
celui qui appelle l'homme vers l'homme : ceci m'apparaît comme un
événement d'une portée incalculable pour le devenir conscient de
l'humanité..... Cela ne pouvait faire l'affaire ni des religieux qui
enseignaient un dieu qui appelle vers lui, pour lui, ni des philosophes
qui enseignaient l'homme directement conscient de lui-même.
|
|
|
s
|
|
|
avril 2007
|
Quand César nous a déjà pris ce qui revient à César et plus
instamment encore exige de nous ce qui revient à Dieu – malheur à
nous si nous lui cédons !
|
|
|
|
Nous
sommes entrés dans l'âge du "mind control"
tel est l'objet de nos mass médias .... et de l'Education nationale.
Faire de nous des
"proconsommateurs"

Ces mêmes
méthodes nous sont proposées pour l' achat d'un président , d'un
parlementaire, d'une vision du monde.

|
Seul
objet de leur attention ...notre cerveau limbique
|
|
|
«C'est dans le vide de la
pensée que s'inscrit le mal.»
Hannah Arendt
|
|
Parler de Dieu aujourd'hui dans le langage des
premiers siècles ou en parler dans le langage d'il y a seulement
quelques décennies, c'est se condamner à n'être pas compris et c'est
faire courir à Dieu le péril d'apparaître comme un mythe à reléguer au
musée des antiquités.
Maurice Zundel
"On ne
comprend rien à la civilisation moderne si l'on admet pas d'abord
qu'elle est une conspiration universelle contre toutes espèces de
vie intérieure "
G.Bernanos. La France contre les robots 1947
« A un
certain niveau, même l’antisémitisme qui conduit à la destruction du
peuple juif, n’est pas le mal ultime. Le mal ultime consisterait à
prendre un juif, ou n’importe qui d’autre, et d’essayer de le
détruire spirituellement. C’est cela qui serait l’ultime holocauste.
»
un rabbin

et là, il faut
relire le texte de Soljenitsyne placé
en page d'accueil du site.
«
Ce qui différencie absolument notre système actuel de ses
prédécesseurs, c’est qu’en plus des contraintes physiques et
économiques, il exige de nous une complète reddition de l’âme : une
participation active et constante au MENSONGE général, bien connu de
tous. Cette corruption de l’âme, cet asservissement spirituel, aucun
homme ne peut l’admettre tant qu’il désire être homme.
Quand César nous a déjà pris ce qui revient à César et plus
instamment encore exige de nous ce qui revient à Dieu – malheur à
nous si nous lui cédons !
La part essentielle de notre liberté est intérieure, elle dépend de
notre volonté. Si nous la cédons nous-mêmes à la corruption – nous
n’avons plus le nom d’homme.
Encore une remarque : dans la mesure où le devoir impératif ne
s’identifie pas à une libération politique mais à la libération de
notre âme, à son affranchissement du mensonge imposé, il n’exige de
nous ni effort physique, ni initiatives révolutionnaires, sociales
ou organisationnelles, ni meetings, ni grèves, ni unions, toutes
choses dont la seule pensée nous épouvante et qu’il est naturel de
refuser en alléguant les conditions actuelles. Non, non ! Il
consiste seulement à franchir un pas moral qui est à la portée de
chaque homme. Et personne ne pourra se disculper devant les vivants,
ni devant ses descendants, ni devant ses amis, ni devant ses enfants
s’il a volontairement assumé le rôle de chien courant du mensonge ou
si même il a servi de support au mensonge.
N’accusons que nous-mêmes ; tous les pamphlets anonymes, les
programmes, les déclarations ne valent pas un liard. Si nous sommes,
chacun individuellement, dans la fange et le fumier, c’est par notre
PROPRE VOLONTÉ, et jamais aucune fange ne s’est purifiée en se
mêlant à la fange du voisin. »
Des voix sous les décombres
Soljenitsyne
(page 32)
penses par toi-même sinon
d'autres pensent pour Nous
|
z ..Q d'homocoques :
Aléniation ...
Réification:.
L'Escamoteur
L'ère de la « victimomania »
les programmes de contrôle mental
|
|
|
s
|
|
<<<NOTES<<<
|
avril 2007
Par le
développement de l'idée du «
Le Choc des civilisations», la thèse de Samuel Huntington
...il me semble que nous ne pourrions prendre conscience qu'en réalité
cela re-couvre
une réalité bien plus
éternelle....celle « des Chocs des
Âccents circonflexes
» .
Une thèse qui habillement essaye
de nous faire admettre que l'Europe, la France creuset de la
civilisation occidentale, partage forcément la même conscience ....
une
vision occidentale mondialiste d'une civilisation industrielle dont
les classes dirigeantes des Etats-Unis sont actuellement les "
champions" .
Cette confusion entre civilisation
et conscience ... vision du monde brouille notre grille de lecture des
tensions dynamiques du monde contemporain, notre compréhension des
événements et des évolutions auxquelles nous participons consciemment
ou non ...
Une civilisation est le fruit d'une
Weltanschauung , d'une conscience du monde et de
l'homme ...évoluant à la fois dans le temps et
l'espace.
Nous naissons dans une vision du
monde et de l'homme ...mais en y grandissant nous portons et faisons
vivre cette vision.
Par le passé,
les consciences du monde était relativement stables ....
elles se transmettaient telles qu'elles de génération en génération. Chaque
conscience du monde était vécue inconsciemment
....comme le
"centre" de la " seule réalité vraie" ... .. la
référence .. un NOUS géographique et universel ... se
défendant de la barbarie ....du mal ... de l'ignorance ... des
ténébres .... situés à l'extérieur.
Avec la "réduction" des notions
d'espace et de temps résultant des progrès scientifiques et
techniques, non seulement les consciences du monde se trouvent
profondément bouleversées, mais en plus elle se trouvent être mises en
contact et en interpénétration les unes avec les autres .

A présent il nous faut réaliser que notre visions du monde
occidentale, porteuse de " la technicité mondialisante ",
dominante, impacte les diverses visions du monde entier ... et nous
font vivre
quotidiennement, souvent
inconsciemment, ces chocs de visions du monde.
Sans toujours en être conscient,
ces lignes de contacts ont toujours passés par l'esprit de chac-UN d'entre
NOUS. .... la bonne nouvelle c'est qu'aujourd'hui la mondialisation
avec ces progrès techniques en est un formidable révélateur ....
A nous d'en prendre conscience ....encore et toujours "tous
spect-acteurs"
z ..résonances
d'homocoques :
octobre 2007
"...la culture n'enferme pas de remèdes préventifs contre les
apocalypses rendues plus efficaces par la technique, ..... il
faut plutôt la ranger parmi les causes de ces malheurs...."
il n'est peut-être pas tout à fait inutile de réfléchir
sur les conditions dans lesquelles une haute inspiration pourrait
réenchanter les représentations de l'être humain et de ses amours.......
Mais l'inspiration.... si elle est encore possible, peut-elle être
reconnue dans un monde où ce n'est pas du soleil intérieur, invisible et
transcendant, mais des réalisations extérieures de l'Homme que l'on attend
lumière et énergie?
août 2007
l'histoire, comme
lutte entre deux amours, entre l'amour et l'égoïsme
toute l'histoire humaine, l'histoire
du monde, est une lutte entre deux amours : l'amour de Dieu jusqu'à se
perdre soi-même, jusqu'au don de soi, et l'amour de soi jusqu'au mépris
de Dieu, jusqu'à la haine des autres.
j'ai
deux Âmours >>>>>
Alors, laissant la foule, il
vint à la maison. Ses disciples s'approchèrent et lui dirent : «
Explique-nous clairement la parabole de l'ivraie dans le champ. » Il
leur répondit : « Celui qui sème le bon grain, c'est le Fils de
l'homme ; le champ, c'est le monde ; le bon grain, ce sont les fils du
Royaume ; l'ivraie, ce sont les fils du Mauvais. L'ennemi qui l'a
semée, c'est le démon ; la moisson, c'est la fin du monde ; les
moissonneurs, ce sont les anges. De même que l'on enlève l'ivraie pour
la jeter au feu, ainsi en sera-t-il à la fin du monde. Le Fils de
l'homme enverra ses anges, et ils enlèveront de son Royaume tous ceux
qui font tomber les autres et ceux qui commettent le mal, et ils les
jetteront dans la fournaise : là il y aura des pleurs et des
grincements de dents. Alors les justes resplendiront comme le soleil
dans le royaume de leur Père. Celui qui a des oreilles, qu'il entende
! Evangile
.... et cela décrivait l'histoire
éternelle de chac-un ???
juillet 2007
Voila le
choc des visions de l'homme et du monde auquel nous participons
consciemment ou non.
Je modifie en conséquence l'entête de la page
TRACES en regroupant les
colonnes de l'homenUN et l'homenTRANCHE sous une barre commune " de la Parole du haut vers le bas"
face à celle l'homenMULTETUN " de la
Parole du bas vers le haut"
le 31.07.07 ....je corrige en conséquence : " les chocs des
visions de l'homme et du monde " devient " les chocs des¨Âccents
circonflexes"
2005
les lignes de
fronts....nos fronts
2003
Tous spect-acteurs ....spectateurs et acteurs......
|
>>>TRACES>>>
|
|
s
|
|
|
.... inéxistante :
Deux textes qui méritent d'être médité ...
Je vois une foule d'hommes semblables et égaux,
qui tournent sans repos sur eux-mêmes pour se procurer de petits et
vulgaires plaisirs dont ils emplissent leur âme (...). Un pouvoir
immense et tutélaire se charge seul d'assurer leur jouissance, il
aime que les citoyens se réjouissent pourvu qu'ils ne songent qu'à
se réjouir. Que ne peut-il leur ôter entièrement le trouble de
penser ? C'est ainsi que tous les jours il rend moins utile et plus
rare l'emploi du libre arbitre, qu'il renferme l'action de la
volonté dans un plus petit espace et
dérobe peu à peu à chaque citoyen jusqu'à l'usage de lui-même.
Le pouvoir couvre la
société d'un réseau de petites règles compliquées, minutieuses et
uniformes, à travers lesquelles les esprits les plus originaux et
les âmes les plus vigoureuses ne sauraient se faire jour pour
dépasser la foule. Il ne brise pas les volontés, mais il les
amollit, les plie et les dirige. Il force rarement d'agir, mais il
s'oppose sans cesse à ce qu'on agisse. Il ne détruit point, il
empêche de naître. Il ne tyrannise point, il gêne, il comprime,
il énerve, il éteint, il réduit enfin chaque nation à n'être plus
qu'un troupeau d'animaux timides et industrieux dont le gouvernement
est le « berger ».
Alexis de Tocqueville

Lorsque le goût des jouissances matérielles se
développe chez un de ces peuples plus rapidement que les
lumières et que les habitudes de la liberté, il vient un moment
où les hommes sont emportés et comme hors d’eux-mêmes, à la vue
de ces biens nouveaux qu’ils sont prêts à saisir […] Si, à ce
moment critique, un ambitieux habile vient à s’emparer du
pouvoir, il trouve que la voie à toutes les usurpations est
ouverte. Qu’il veille quelque temps à ce que tous les intérêts
matériels prospèrent, on le tiendra aisément quitte du reste.
Qu’il garantisse surtout le bon ordre. Les hommes qui ont la
passion des jouissances matérielles découvrent d’ordinaire
comment les agitations de la liberté troublent le bien-être,
avant que d’apercevoir comme la liberté sert à se le procurer
[…] Je conviendrai sans peine que la paix publique est un grand
bien ; mais je ne veux pas oublier cependant que c’est à travers
le bon ordre que tous les peuples sont arrivés à la tyrannie. Il
ne s’ensuit pas assurément que les peuples doivent mépriser la
paix publique ; mais il ne faut pas qu’elle leur suffise.
Une nation qui ne demande à son gouvernement que
le maintien de l’ordre est déjà esclave au fond du cœur »
(Alexis de Tocqueville, De la démocratie en
Amérique, livre II).
Et quelques citations de
Hannah Arendt :
«La société de masse ne veut pas la culture mais les loisirs.»
«Les mouvements totalitaires sont des organisations massives
d’individus atomisés et isolés.»
"Sans les masses, le chef n’existe pas.»
«La principale caractéristique de l’homme de masse n’est pas la
brutalité ou le retard mental, mais l’isolement et le manque de
rapports sociaux normaux.»
|
«C'est dans le vide de la pensée que s'inscrit
le mal.»
|
|
|
|
|
Voilà l'homenTRANCHE de la tranche du bas dans toute
sa splendeur ... avec cette confiance aveugle en l'homme des tranches
d'en haut qui se dit : Il faudrait,,
éduquer une couche supérieure d'hommes à l'esprit indépendant,
capable de résister à l'intimidation et soucieux de vérité, pour
qu'ils dirigent les masses dépendantes. L’idéal serait une
communauté dont la liberté consisterait à soumettre la vie
pulsionnelle à une « dictature de la raison ».....
dixit Freud
_____________________________________
la banalité du mal
C'est donc dans le rapport consacré au procès Eichmann
qu'Arendt a utilisé pour la première fois cette expression....
( la banalité du mal) ....afin de désigner le « manque
de profondeur évident » qui caractérisait le coupable, en sorte
que le mal absolu, extrême, indéniable qui organisait ses actes ne
pouvait être imputé ni à des convictions idéologiques fortes ni à
des motivations spécifiquement malignes : « Les actes étaient
monstrueux mais le responsable - tout au moins le responsable
hautement efficace qu'on jugeait alors - était tout à fait
ordinaire, comme tout le monde, ni démoniaque, ni monstrueux. La
seule caractéristique notable qu'on pouvait déceler dans sa
conduite (passée et au cours du procès) était entièrement négative
: ce n'était pas exactement de la stupidité mais un
manque de pensée.
L'homme était médiocre, dépourvu de
motivations, caractérisé par l'absence de pensée et l'usage
constant d'un langage stéréotypé, de clichés standardisés,
destinés à le préserver des atteintes de la réalité. Son
incapacité à penser était avant tout une incapacité à penser du
point de vue d'autrui. « Il était impossible de communiquer
avec lui, non parce qu'il mentait mais parce qu'il s'entourait du
plus efficace mécanisme de défense contre les mots et la présence
des autres et, partant, contre la réalité en tant que telle. »'
Extrait de L'impensable banalité du
mal de Myriam Revault d'Allonnes ...article paru dans la
revue Cités n° 36 2008
z
..... en relations....:
23.07.07 ....
pusillanimité Français
2Quand
la Corée s'occidentalise ...
« Reptiles. » Pour vous j’ai regardé la télé-réalité…
Le tourisme vu du Ciel
29.07.07 ..."vous
avez préféré le déshonneur à la guerre, vous aurez le déshonneur
et la guerre.
Leur «
travail » est-il une valeur ?
|
|
|
|
|
|
Sur le premier Alcibiade de
Platon :
« Le fait que ceux qui
répondent disent que ce qu'ils disent en le tirant d'eux-mêmes (le
répondre de soi, voilà l'âme, cette fonction de surgissement) est
une forte preuve en faveur de ce dogme que les âmes mettent aux
jours les raisons à partir de leur propre fond, qu'elles n'avaient
besoin que d'un éveilleur, et qu'elles ne sont pas des tablettes non
écrites qui reçoivent leur empreintes de l'extérieur : non les
âmes sont inscrites de toute éternité et celui qui inscrit est en
elles ; mais elles ne peuvent pas toutes connaître ce qui est
inscrit en elles-mêmes ni même découvrir qu'elles sont inscrites,
(elles savent pas les âmes qu'elles sont une lettre) pour la raison
que leur oeil est devenu chassieux (matière
gluante qui coule des yeux infectés)
par suite de l'oubli dû au monde de la génération et des passions
tumultueuses nées de cet oubli. »
Citation reprise par Benny
Lévy,
Le meurtre du pasteur,
critique de vision politique
du monde, Grasset, p35
Quand comprendrons-nous que nous
sommes appelés à la grandeur ?
Quand comprendrons-nous que Dieu
est une présence brûlante au fond de nous-mêmes ?
Quand comprendrons-nous que Dieu
est la Présence la plus actuelle et la plus réelle, la Présence hors
de laquelle on ne peut rencontrer personne ?
Quand comprendrons-nous combien
l'Evangile est merveilleux ?
Maurice Zundel

Parler de Dieu aujourd'hui dans le langage des
premiers siècles ou en parler dans le langage d'il y a seulement
quelques décennies, c'est se condamner à n'être pas compris et c'est
faire courir à Dieu le péril d'apparaître comme un mythe à reléguer au
musée des antiquités.
Maurice Zundel
"Je suis
athée, et si une athée et un Pape pensent la même chose, il doit y
avoir quelque chose de vrai. C'est très simple ! Il doit y avoir ici
une vérité humaine qui va au-delà de la religion
...
Oriana Fallaci
lex naturalis,
loi morale naturelle ...La
capacité de voir les lois de l'être matériel nous rend incapables de
voir le message éthique contenu dans l'être, message appelé par la
tradition lex naturalis, loi morale naturelle. ... L'égarement,
naturellement, frappe en particulier les générations les plus jeunes,
qui doivent dans ce contexte trouver des choix fondamentaux pour leur
vie.
|
des tablettes ...
à Dieu ...
à la lex naturalis ...
...à l'Esprit ...
...au
Royaume des cieux ...
...à l' Esprit de Jésus ...
.... à
l'inconscient ...
... à
l'accent circonflexe de l'...
Â
de l' Â JE NOUS de
l'homocoques |
|
|
|
|
à la graine de moutarde ...au levain ....aux choses
cachées depuis les origines ...
Il
leur proposa une autre parabole : « Le Royaume des cieux est
comparable à une graine de moutarde qu'un homme a semée dans son
champ. C'est la plus petite de toutes les semences, mais, quand elle a
poussé, elle dépasse les autres plantes potagères et devient un arbre,
si bien que les oiseaux du ciel font leurs nids dans ses branches. »
Il leur dit une autre parabole : « Le Royaume des cieux est comparable
à du levain qu'une femme enfouit dans trois grandes mesures de farine,
jusqu'à ce que toute la pâte ait levé. » Tout cela, Jésus le dit à la
foule en paraboles, et il ne leur disait rien sans employer de
paraboles, accomplissant ainsi la parole du prophète : C'est en
paraboles que je parlerai, je proclamerai des choses cachées depuis
les origines.
Evangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu
13,31-35.
Pour
Jung l'inconscient individuel n'est pas vierge à la naissance, il est
rempli de ce qu'il qualifie d’archétypes c'est à dire de " symboles "
très anciens dont on retrouve des traces dans tous les mythes et les
légendes primitifs. » Il ne se compose pas uniquement d'éléments
du passé refoulés, mais il contient les germes de toute activité
créatrice. Il constitue une sorte de matrice du conscient, capable
d'autonomie et d'action spontanée sur le conscient. En entrant en
contact avec lui, la personnalité tout entière peut en être modifiée,
renouvelée. C'est
l'individuation que Jung découvre à l’œuvre, sur lui-même et
chez ses patients, en "laissant advenir", c'est-à-dire
en n'intervenant pas et en observant, à travers les rêves, l'émergence
d'un processus
C.J.
JUNG
aux chocs des accents circonflexes ....
|
|
..... |
|
notes année 2006 |
|
|
|
<<<< NOTES
>>>> |
remontez
pour accéder à l'avant-derniere
entrée
... et pour accéder à l'index du site
descendez |
>>>TRACES> |
|
hautrde
page |