Présentation :...voilà une formule
percutante et géniale ... qui en quatre mots réussis à faire
converger la science et le christianisme... Et à nous faire percevoir
d'une manière simple les racines de la civilisation de l'amour... De
notre culture européenne. Quelle explication simple de l'encyclique «
Dieu est amour »
Extraits : Jésus « a
inventé l’amour désintéressé. Vous me direz que l’amour existait déjà.
C’est vrai. Les ondes de radio et de télévision ont elles aussi toujours
existé, mais si quelqu’un ne les avait pas découvertes, nous ne
l’aurions jamais su », a affirmé le comique italien.
... sur
Marie : « O Vierge Marie, fille de ton Fils, humble et haute plus que
toute créature, terme fixé d’un éternel conseil » (Divine Comédie,
Paradis, chant XXXIII, 1-3, Editions du Cerf).
Jésus de
Nazareth ! Livre du pape Ratzinger
en
z
relations
....
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L’acteur italien Roberto Benigni définit Jésus
comme « l’inventeur de l’amour désintéressé »
Lors d’un spectacle pour les jeunes, dans la ville de saint
Valentin, à Terni
ROME, Vendredi 17 février 2006
(ZENIT.org) – L'acteur italien Roberto Benigni, réalisateur et
acteur principal du film « La vie est belle », a expliqué aux jeunes,
la veille de la saint Valentin, que Jésus est « l’inventeur de l’amour
désintéressé ».
Dans le cadre d’un spectacle au
théâtre de Terni, la ville de saint Valentin, en Italie, organisé par
l’évêque du diocèse, Mgr Vincenzo Paglia, Roberto Benigni a choisi de
raconter aux jeunes « l’amour qui se fait don », en interprétant
notamment quelques passages du « Cantique des Cantiques ».
En tant qu’homme qui ne pouvait
pécher, Jésus « s’est chargé des péchés de tous », en tant qu’homme
qui ne pouvait mourir « il est mort par amour pour tous », a-t-il
déclaré.
Jésus « a inventé l’amour
désintéressé. Vous me direz que l’amour existait déjà. C’est vrai. Les
ondes de radio et de télévision ont elles aussi toujours existé, mais
si quelqu’un ne les avait pas découvertes, nous ne l’aurions jamais su
», a affirmé le comique italien.
« Il a vraiment expliqué ce qu’est
l’amour », a poursuivi Roberto Benigni, selon le quotidien italien
Avvenire.
L’amour est pour les autres, « car
notre bonheur dépend de leur bonheur, et c’est ce que Jésus nous a
enseigné », a-t-il ajouté, en faisant implicitement allusion à la
récente encyclique de Benoît XVI « Deus caritas est ».
Roberto Benigni a conseillé aux
jeunes de mettre leurs pas dans ceux de Jésus et de « regarder dans la
même direction que lui ».
Puis, sur le ton de la plaisanterie,
le comique italien a poursuivi : « Nous, nous inventons des histoires
drôles sur les belles-mères. [Jésus] lui, a enseigné l’amour, même
pour les belles-mères », a-t-il déclaré, citant le passage de
l’Evangile de Marc racontant la guérison de la belle-mère de Simon
Pierre. Et Roberto Benigni ajoute : « Elle a ainsi pu leur préparer à
manger ! »
L’acteur a conclu en tournant son
regard vers Marie et en récitant un vers du célèbre poète italien
Dante Alighieri sur Marie : « O Vierge Marie, fille de ton Fils,
humble et haute plus que toute créature, terme fixé d’un éternel
conseil » (Divine Comédie, Paradis, chant XXXIII, 1-3, Editions du
Cerf).
ZF06021707
texte hébergé
en 02/06
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dessin paru en première page du Canard Enchaîné du 8 février 2006
à l'occasion des "CARICATUERIE"s
avec en premier titre pleine page " Mahomet téléphone au "
Canard"
" Prophète l'amour pas la guerre!"


Un commentaire trouvé à ce propos
LE PROBLÈME JESUS
> Quel problème pose Jésus ? Jésus, c'est l'empêcheur de jouir en rond,
l'empêcheur de vivre idiot. L'un ne va pas sans l'autre. La jouissance fonde
les critiques faites à l'Eglise. La recherche de la jouissance sexuelle
(même pas la libre jouissance*) est la convergence - sans jeu de mots - des
revendications sur l'avortement, le préservatif, le mariage des homosexuels,
le divorce... Cette jouissance sourd de façon anodine du plaisir matériel,
la consommation des biens et des sensations, de leur accumulation et de leur
multiplication quand ils sont éphémères, quand elles sont fugaces. C'est
devenu un ressort de la croissance : tourisme et loisirs. Il existe des pays
qui en ont fait des ministères.
Quand Jésus nous parle de faire la charité, de donner, Il devient
insupportable, un obstacle au consumérisme, le cauchemar des marchés.
N'est-ce pas la raison pour laquelle la république bourgeoise, celle des
Lumières et du libertinage consacrée par la Révolution, a oeuvré pour
L'exclure de la réflexion publique, Lui substituer un ersatz : l'athéisme ?
Le culte de l'être suprême, de l'arbre de la liberté, du compas et de
l'équerre qui ont gravé la liberté, l'égalité et la fraternité sur les
édifices publics et les documents administratifs. Business must go on !
Jésus s'est mal fait voir en chassant les marchands du temple.
Voilà le succès de l'athéisme. C'est confortable et pratique pour
déculpabiliser les jouisseurs, les tricheurs, les menteurs, les incapables.
Il lève les interdits, excuse beaucoup, promeut une tolérance, interdit de
juger. Une philosophie qui finit par faire l'éloge de l'imposture, celle du
Stampel, des trains qui partent à l'heure, du règne du formalisme, ...
L'athéisme est à la conscience ce qu'Outreau est à la justice : apparences.
Parce que Jésus emmerde aussi les juristes quand il rappelle que l'esprit
l'emporte sur la lettre. Alles in Ordnung, l'ordre règne à Cracovie, ...
L'athéisme ne serait-il pas finalement qu'une posture de paresseux ?
Jésus paraît donc assez incompatible avec une société dont le ressort
principal est de flatter et satisfaire les instincts de masse.
Imaginons la tête de Wall Street si nous devenions tous de très fidèles
disciples du Christ, du jour au lendemain ?
Voilà peut être pourquoi Son discours, les messages de l'Eglise font
systématiquement l'objet de critiques.** Le système se défend. Pharisianisme,
pas mort. Il y va de la survie de la boutique...
* Où y a-t-il de la liberté quand cela mène à un risque d'avortement, de
sida ? Est-ce là un témoignage de respect de la femme ou de son prochain ?
** La même conclusion est valable pour l'islam. Je pense que le problème
essentiel ne naît pas des croyants entre eux, mais de l'incompréhension ou
l'hostilité des non croyants à l'égard des religions.
Ecrit par : Qwyzyx |
16.05.2007
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