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Présentation :...
l'Araigne livre qui m'a été offert par une narcissique ... comme un de
ses livres préféré ( sic ) ....
Extraits : ...
L'ARAIGNE
de Henri Troyat .....
Ah ! la volupté de
sentir qu'aucune influence ne combat la vôtre au coeur d'un être cher,
qu'aucune image ne devance la vôtre, qu'il est, à la lettre,
occupé
par vous !
FONCTIONNEMENT DU
PERVERS NARCISSIQUE:
Son existence dépend donc de
l'attention que l'on va accorder à son image.
en
relations
..... pouvoir ...Léviathan ...pédophilie ... immaturation
affective ... homocoqs ...
L'Argentine autorise le mariage
homosexuel ..10ième
pays en images
une relation de cohabitation temporaire en vue du sexe récréatif
voir :
http://www.amazon.fr/gp/reader/2750901758/ref=sib_dp_pt#reader-page
http://pervers-narcissique.blogspot.com/
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L'ARAIGNE
le prix Goncourt d' Henri Troyat
Collection de poche J'ai Lu
| 4ième page de couverture |
« Tout le monde fermait les yeux autour de lui. Il avait
l'impression, parfois, qu'on ne l'avait pas endormi pour subir
l'interminable opération de la vie. Une anesthésie soigneuse
émoussait les douleurs des autres. Lui seul était éveillé, lucide,
les chairs et l'esprit a vif. »
Depuis la mort de son père, Gérard est l'unique représentant
masculin de la famille Fonsèque. De constitution fragile, l'esprit agile
mais tourmenté, il ne sort que rarement et nourrit pour le genre humain
un véritable dégoût. Sous son joug, ses trois soeurs tentent de gagner
leur liberté en échappant aux foudres de leur frère.
Mais Gérard, blessé par tant d'ingratitude et ne supportant pas
l'idée d'être délaissé, est prêt à tout pour contrarier leurs projets de
mariage. De son antre, il tisse les fils de la discorde au risque de
tout perdre, famille et raison.
Henri Troyat
né à Moscou cri 1911, Henri Troyat se réfugie
en France pour échapper à la révolution bolchevique. Elu
à l'Académie française en 1959, il a publié avec succès plusieurs
grandes sagas comme La lumière des justes ou Les Eygletière.
| Extraits
les soulignés sont de l'HCQ |
p179
Il avait cru naguère travailler pour le bien de ses soeurs. Allons
donc ! Le temps était révolu de ces feintes sentimentales. C'était son
propre bonheur qu'il défendait, comme il eût défendu sa peau. Il avait
besoin d'elles. Il ne pouvait exister sans elles. Cette maison, jadis
pleine de voix hautes, de robes fines, de longues chevelures,
allait-elle devenir une coque sonore d'où la vie se retirerait comme un
flot ? Son enfance choyée entre ces visages féminins, ces mains légères,
allait-elle s'achever dans l'isolement et l'ennui ? Ah ! la volupté de
sentir qu'aucune influence ne combat la vôtre au coeur d'un être cher,
qu'aucune image ne devance la vôtre, qu'il est, à la lettre,
occupé
par vous !
P193
Peut-être eût-il suffi de quelques phrases
menaçantes pour lui faire tout avouer. Mais cette méthode brutale avait
échoué auprès de ses autres sceurs. Il était plus sage de ruser, d'agir
en sous-main, d'envenimer une à une les sources de ce jeune amour. Il
fallait la retenir non par la force, mais par la pitié. Ah ! oui, il
consentait à être pitoyable pourvu qu'elle demeurât près de lui ! Au
fond de chaque femme sommeille l'envie d'être mortifiée et de se
dévouer. C'était ce prurit fiévreux des sacrifices, cet amour des
bûchers sacrés, cette ferveur déviée et un peu sale de l'infirmière
qu'il importait d'exploiter chez Marie-Claude.
Il aurait tôt fait de lui tourner la tête dans l'atmosphère de
renoncement glorieux où il la conviait à le suivre. Il jouerait de
toutes ses plaies avec l'impudence délibérée d'un mendiant. Il
obtiendrait, il accepterait sans honte l'aumône de sa compassion. Il
triompherait d'elle, parce qu'il serait sa victime. Mais quelle
souffrance ne lui faudrait-il pas endurer avant de la reprendre ?
N'était-il pas cruel de la voir assise à cette table, parfumée,
pomponnée, pour un autre ?
P195
Et il rêvait à cet organisme complexe de la femme, à cet éveil
progressif du désir en elle, à ce mûrissement sournois de leurs
entrailles et de leurs formes. Une gamine végète au plus touffu de la
famille, innocente, ignorée, épargnée de tout et de tous, mais il suffit
que ses traits s'allongent, que sa taille se hausse, que s'enfle un peu
son corsage, et déjà les hommes s'occupent d'elle, rôdent autour d'elle,
reconnaissent en elle une bête à leur goût, l'appellent dans leur
enclos, la pourchassent, l'atteignent... Ah ! cette phrase perfide : «
Quel âge a-t-elle donc maintenant ? Seize ans ? Elle en paraît dix-neuf
!... » Tout est permis. Et elle-même s'en montre ravie. Elle est folle
de batailler, de se donner, de souffrir. Le premier qui l'accoste est le
bienvenu.
p239
La conscience de son isolement l'atteignit à nouveau dans un
ressac horrible. Personne ne pouvait assumer son désarroi, comme
personne ne pouvait manger, boire, aimer, vivre pour lui. « La vie ne
s'obtient pas, elle s'accepte. » Qu'avait voulu dire Lequesne ?
Comment accepter ce qu'on n'avait pas espéré d'abord ?
FONCTIONNEMENT DU
PERVERS NARCISSIQUE:
http://manipulateur-pervers.monsite-orange.fr/page1/index.html
L'origine du mal
Comment quelqu'un
qui n'a pas de véritable relation avec lui même ( son moi profond)
pourrait avoir une réelle relation avec une autre personne?
Le narcissique au
sens psychiatrique du terme s'est construit un moi imaginaire, idéal, et
factice, un réel personnage de fiction auquel il continue à s'identifier
une fois adulte. Son existence dépend donc de l'attention que l'on va
accorder à son image. c'est pour cela qu'il est si avare d'attention
et qu'il ne supporte pas de devoir la partager avec quiconque.Il n'a
donc d'yeux que pour sa propre image qu'il projette et que vous lui
renvoyez par l'intermédiare de l'attention que vous lui accordez.
Quand vous croyez
qu'il s'intéresse à vous, en fait il ne prête attention qu'au reflet de
sa propre image, qu'il vérifie et paufine en scrutant votre regard et
vos expressions / mimiques du visage, s'interessant qu'à l'effet produit
sur vous ( feedback) et non à l'objet mirroir ( vous). Ainsi, on
comprend mieux pourquoi ils ont si peu de considération et d'empathie
pour les autres. Un mirroir est un objet utile mais interchangeable.On
n'échange pas, ne communique pas avec un mirroir.
Egocentrisme
impérieux d'un enfant de quatre ans
Commentaires d'homocoques
vouloir traiter un sujet de pervers narcissique ... cela relève d"une
vision différenciée : en coq ... tous les coq sont narcissiques est manipulateur
...pour séduire ...
Tout Monocoq est un écorché vif ...un immature affectif ...souvent
fils ou fille d'un Monocoq h ou f ... enfant d'un parent..qui
à manqué de beaucoup d'amour .. sevré d'amour comm-union dès le plus
jeune âge ... qui besoin vital "d'être aimé "...
http://pervers-narcissique.blogspot.com/2007/12/lenfant-du-pervers.html
enfant qui revit ce manque
... cette soif d'amour ..
... avoir conscience du choix ..
ou
>>>>>>>>
Transposé
au niveau collectif il nous faut réaliser que nous vivons dans une
société ..de ...
...Monocoq(s)...
donc NARCISSIQUE(s)
.. fruit(s
blêt(s*
du capitalisme de la séduction
>>>>>
Il nous faut donc réveiller les consciences
endormies.
Vouloir rassurer, c'est toujours contribuer au
pire.
>>>>>
... faire prendre conscience que choisir ...
c'est aussi savoir renoncer à profiter de ma vie
>>>>>>
..ne pas vouloir chac-un et chac-une à la fois.. le
beurre et l'argent du beurre ..
et même pour certain..certaines ...le cul du fromager
ou de la crémière ..
... pour le maintenir en soumission ...
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