| |
lecture EN
relationnalité .. ...
E
T
Le
crime de Sodome ou l'esprit stérile
Seule sa relation avec Dieu permettra à Lot
d'échapper au danger que symbolise le vice des sodomites ; à ce danger
de la perversion de l'esprit qui, contrairement à l'homosexualité,
peut fort bien atteindre une population tout entière, en banalisant
des pensées perverses qui ruinent la fécondité de l'âme.
....il n'y a pas de vie
spirituelle possible sans prendre sa croix et mourir a soi-même.
Pour conclure, le récit de Sodome est tout entier
centré sur le thème de la fécondité qui apparaît ainsi comme le
paradigme de la pensée ; et au-delà de son enseignement moral, le
texte donne ici une sévère mise en garde sur le risque que prendrait
l'homme à l'ignorer. Il empêcherait Dieu de lui communiquer Sa vie
et de le faire participer à Son oeuvre de Création.
Un détail ....
« 2 à 5%
des prêtres ont eu des rapports sexuels avec un mineur, ce qui est
inférieur au taux concernant la population masculine générale,
établi à environ 8% ».
Bref, vos
enfants sont statistiquement quatre fois plus en sécurité avec un
prêtre catholique qu’avec vous. Votre père. Votre frère…
en
relations
....
l'autocentré ....la pillule .... <<<>>> le
couple homme-femme ...la famille ....
|
|
n
Le crime
de Sodome ou l'esprit stérile
extraits du
livre
La genèse
du féminin Fécondité de l'esprit et pensée
biblique
d'Alain
Monestier
....
Outre la capacité qu'il lui prête de contaminer
tout le peuple - « sans exception, depuis les jeunes jusqu'aux vieux
» (Genèse 19,4) - ce que le récit stigmatise d'abord dans
l'homosexualité, c'est la violence qu'elle met au coeur de l'homme
et son extrême dangerosité sociale. Malgré les supplications de Lot,
qui tente de les amadouer en leur offrant la virginité de ses
filles, les Sodomites sont prêts à tout pour assouvir leur passion.
C'est d'une voix menaçante qu'ils s'écrient : « Où sont les hommes
qui sont venus chez toi cette nuit ? Amène-les nous pour que nous en
abusions. » Et il faut la force surnaturelle des Anges pour qu'ils
ne fracassent pas la porte de la maison et ne fassent pas un mauvais
sort à son propriétaire.
Ce danger est par ailleurs d'autant plus
redoutable qu'il n'est pas évident. Une société peut-elle vraiment
se trouver menacée par une « orientation sexuelle » qui, après tout,
est affaire de vie privée ? Épargnés par la contagion, les gendres
de Lot ne se soucient pas de se mettre à l'abri. À leur beau-père
qui leur commande : « Debout, quittez ces lieux, car Yahvé va
détruire la ville », ils répondent par un haussement d'épaule. Et il
faut dire que job lui-même ne semble pas très conscient du danger.
Pour le décider à fuir, il faudra, non seulement que les envoyés le
prennent par la main et l'entraînent avec les siens hors des murs de
la ville, mais aussi que Dieu intervienne en personne, en lui
lançant cette objurgation : « Sauve-toi, sur ta vie ! Ne regarde pas
derrière toi et ne t'arrête nulle part dans la plaine, sauve-toi à
la montagne pour n'être pas emporté. » Le fléau est tel que la fuite
est le seul parti possible. S'il ne s'agissait que d'homosexualité,
on ne comprendrait évidemment pas pareille urgence et surtout que
les habitants soient tous menacés par la contagion. A-t-on jamais vu
une population livrée tout entière à la sodomie ? À l'évidence le
récit vise un mal d'une tout autre nature.
* * *
On sait que la tradition hébraïque fait de la
montagne le lieu privilégié de l'expérience mystique. Aussi, le fait
que Yahvé invite Lot à y trouver refuge revêt-il une singulière
importance. Le recours à ce symbole confirme que la vie spirituelle
est le véritable objet du récit. Seule sa relation avec Dieu
permettra à Lot d'échapper au danger que symbolise le vice des
sodomites ; à ce danger de la perversion de l'esprit qui,
contrairement à l'homosexualité, peut fort bien atteindre une
population tout entière, en banalisant des pensées perverses qui
ruinent la fécondité de l'âme.
C'est un danger si redoutable que Dieu exige de
ceux . qu'Il veut sauver un total renoncement aux compromissions du
monde et il n'est pas étonnant que job se fasse un peu tirer
l'oreille. Dans un premier réflexe en effet, il demande la
permission d'aller se réfugier à Çoar - « la ville de peu de
chose ». Dans la plaine où elle est située, il espère jouir d'une
vie médiocre et insouciante ; et pour justifier sa demande, il
prononce cette phrase par laquelle il décrit à son insu le schéma de
la vie spirituelle dans laquelle il sera bien obligé de s'engager
s'il ne veut pas périr : « Je ne puis pas me sauver à la montagne
sans que m'atteigne le malheur et que je meure » ; autrement dit :
il n'y a pas de vie spirituelle possible
sans prendre sa croix et mourir a soi-même.
.....
Pour conclure, le récit de Sodome est tout entier
centré sur le thème de la fécondité qui apparaît ainsi comme le
paradigme de la pensée ; et au-delà de son enseignement moral, le
texte donne ici une sévère mise en garde sur le risque que prendrait
l'homme à l'ignorer. Il empêcherait Dieu de lui communiquer Sa vie
et de le faire participer à Son oeuvre de Création.
>>>>>>

Un détail ...
Auteur:
CAUSEUR
Source: http://www.causeur.fr/des-chiffres-et-des-pretres,7109
Date :
14.08.2010
.
Parce que « maintenant,
nous avons une vraie preuve : la pédophilie n’est pas un «
problème catholique »». Il en aura fallu du temps, au blog
La Salette Journey, pour se faire entendre. Dès avril, il
le disait :
Thomas Plante, professeur à Santa Clara et à Stanford, a établi
que « 2 à 5% des prêtres ont eu des rapports sexuels avec un
mineur, ce qui est inférieur au taux concernant la population
masculine générale, établi à environ 8% ».
Ainsi, comme le souligne William Oddie dans son
article publié le 10 août dernier, au-delà même de ce
qu’établissait
Newsweek,
à savoir que rien ne permettait de penser que les prêtres
catholiques étaient plus concernés que d’autres, il apparaît qu’ils
sont 1,6 à 4 fois moins concernés que la population mâle générale.
Pas plus, pas autant : moins. Pourtant, on en a souillé, des
prêtres, et des vocations, avec ce soupçon ignoble. On en a tiré,
des conclusions, sur l’Eglise…
Bref, vos enfants sont statistiquement quatre fois
plus en sécurité avec un prêtre catholique qu’avec vous. Votre père.
Votre frère…
D’ailleurs, comme le souligne Oddie, « the penny is beginning to
drop ». On commence à s’agiter. On commence à s’inquiéter.
C’est que selon un
rapport, près de 10% des élèves aux Etats-Unis rapportent des
cas de relations sexuelles non sollicitées par leurs éducateurs.
Alors, ce qui était divertissant tant qu’il s’agissait de s’en
prendre à l’Eglise perd soudain de son attrait. On a si bien joué
avec elle que l’on pourrait se voir appliquer les solutions qu’on a
défendues contre elle. Jim Dwyer, dans le New York Times,
pose la question : « la ville de New York pourrait-elle être
poursuivie pour des faits d’abus sexuels intervenus il y a des
dizaines d’années par les professeurs des écoles publiques ? Et
qu’en est-il des médecins ou des personnels hospitaliers ? Des
officiers de police ? Des travailleurs sociaux ?». On sourit
moins, et les lobbyistes s’agitent. Sans rire, ils posent la
question : « Comment pourrait-on revenir 40 ans en arrière et
certifier ce qui est arrivé ? Les témoins, les autorités
responsables et même le ou la responsable des faits pourraient être
morts !». Oui, en effet. Que ce soit en 1970 ou en 1928.
Et chez nous, que pourrait-il donc arriver ?
Et l’Education nationale ?
Que pourrait-il arriver lorsqu’on
lit par exemple que si elle a pris des mesures, dans le
même temps que l’Eglise, l’Education Nationale se contentait il
y a seulement 13 ans, de muter les professeurs pédophiles, sans que
rien ne soit indiqué sur leur dossier : « si elle préférait
tenir secrètes ses mauvaises histoires, l’Education nationale
a-t-elle, au moins, lavé son linge sale en famille ? Même pas. Les
enseignants « à problèmes » sont juste mutés. Sans transmission
d’information: on appelle ça se refiler le mistigri. » Que
pourrait-il arriver lorsque l’on devine, malgré le silence maintenu,
que les cas sont bien plus nombreux qu’avec les prêtres?
Non, la pédophilie n’est pas un « problème
catholique ». C’est un problème que l’Eglise partage avec l’ensemble
de la société. Elle en est toutefois quantitativement moins
affectée et elle le reconnaît davantage que d’autres. Sa mise en
cause acharnée, et le silence maintenu sur les faits à décharge,
révèlent toutefois l’ampleur du traitement de faveur qui lui est
réservé.

C'est vrai. Au fond de moi, j'ai toujours été triste.
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/03/tu-as-pu-vivre-dans-lhomosexualit%C3%A9-mais-tu-nes-pas-homosexuel.html
"Tu as pu vivre dans l'homosexualité. Mais tu n'es
pas homosexuel"
L'abbé
Hubert Lelièvre, fondateur de la Famille Missionnaire
l'Evangile
de la vie, a été aumônier de l'hôpital romain des malades du sida.
Dans
Je veux mourir vivant, il rapporte notamment ce dialogue avec un
malade :
"J'ai
commencé à être homosexuel à 20 ans
Alessandro, tu n'est pas homosexuel.
Pourquoi dis-tu cela ?
Parce que
c'est la vérité. Tu es enfant de Dieu, aimé tendrement de lui...
[...]
Pourquoi dis-tu que je ne suis pas homosexuel ?
Nous naissons homme ou femme, pas homosexuel.
Moi,
je suis né homosexuel. J'avais des attirances, des tendances [...]
Non,
Alessandro. Tu n'est pas né homosexuel.
Je le
suis devenu alors ?
Non pas davantage. [...] Ecoute bien. Tu n'es pas
responsable des attirances ou tendances qui peuvent être présentes
en toi. Cependant, à travers l'éducation que tu reçois et en
apprenant à faire tes choix, tu peux devenir petit à petit plus
libre par rapport à tes tendances. Cela demande de renoncer à
chercher les circonstances qui risquent de te faire passer à l'acte
[...] Tu as pu vivre dans l'homosexualité. Mais tu n'es pas
homosexuel. Tu es une personne. Pas un homosexuel. [...] Ceci dit,
je ne peux pas te dire que vivre dans l'homosexualité soit bien,
soit une route à prendre pour sa vie. D'ailleurs, je n'ai jamais
entendu l'un de vous me dire qu'il en avait été heureux.
C'est vrai. Au fond de moi, j'ai toujours été triste."
|
nombre de
consultation de cette page depuis sa création :
 |
haut de page
|