....« Le halal est une exigence pour vous et pour nous. »

Dossiers : Islam

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Auteur: ALAIN SANDERS

Source:  PRESENT http://www.present.fr/article-13843-7064.html

Date : 1et avril 2010 

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Vraiment une exigence pour nous le halal ?

 

L’islamisation de notre pays en est arrivée à un point tel que l’on a vu récemment – pour ne prendre que cet exemple – certaines enseignes Quick annoncer qu’elles serviraient des hamburgers halal et que, en tout état de cause, le cochon, le halouf maudit, serait chassé de leurs établissements.

A Toulouse, si l’on en croit une affiche, que nous reproduisons, on va encore plus loin. Cette affiche fait de la publicité, en français et en partie en arabe, pour un fast food intitulé Boum Burger. Avec cette accroche sans équivoque : « Le halal est une exigence pour vous et pour nous. »

Il est déjà assez violent de voir s’étaler, dans une des plus grandes villes françaises, une publicité pour une obligation virtuelle musulmane. Mais on peut s’interroger sur les termes mêmes de cette affiche : « Le halal est une exigence pour vous et pour nous. »

On dira que le pour nous semble aller de soi : le halal est une exigence pour nous, c’est-à-dire pour eux musulmans. Qu’en est-il du pour vous ? S’agit-il de dire que c’est une exigence pour les clients – pour vous – de ce Boum Burger ? Ou bien ce pour vous s’adresse-t-il à nous autres, indigènes français, infidèles, roumis encore attachés à la consommation de viande porcine ? Ce qui n’est, pour l’heure, qu’une exigence pour les musulmans, est-il appelé à devenir une exigence pour les non-musulmans.

La question ne se poserait pas si, chaque jour, ne nous parvenaient des dizaines d’exemples de la mise en dhimmitude de notre pays. Des vols Air France (oui : Air France) où l’on nous garantit les plateaux-repas « sans viande de porc » à ces piscines du nord de la France avec des horaires spécialement réservés aux musulmanes. En passant par ces hôpitaux où les musulmans font tout un ramdam si leur(s) femmes(s) n’est (ne sont ) pas auscultée(s) par une doctoresse. Les rues de nos villes où les femmes voilées sont devenues plus nombreuses que neige en hiver. Ces cantines où on ne sert plus de porc et où, déjà, « on » exige que les aliments que l’on y sert soient halal. Nos cités – et les plus emblématiques : Reims, Poitiers, Clermont-Ferrand – où poussent comme du chiendent des mosquées et des minarets. Les horaires aménagés dans les usines pendant le ramadan. Les profs qui s’interdisent certains sujets dans leurs cours pour ne pas froisser l’exquise sensibilité musulmane. Etc.

Les musulmans les plus radicaux n’ont même plus à pousser à la roue, les édiles, les hommes politiques, les évêques, les chefs d’entreprise, les responsables de grandes surfaces, les enseignants, leur offrent sur un plateau ce qu’ils n’oseraient même pas rêver d’obtenir aussi vite. Et c’est ainsi que Toulouse, dont l’un des chefs-d’œuvre était le cassoulet, Toulouse des confits et des pâtés de foie gras, Toulouse et sa saucisse du même nom, Toulouse de l’estouffat aux haricots, a désormais un fast food intégralement halal, avec pignon sur rue… Et qui proclame que « le halal est une exigence pour vous et pour nous. » Mais si tout le monde trouve ça normal…

ALAIN SANDERS

 

 

Halal : le monde musulman à l’assaut de la gastronomie

http://www.present.fr/article-13875-7066.html

 

Le salon Halal expo s’est tenu les 30 et 31 mars à Paris, avec la volonté affichée de mieux faire connaître une norme religieuse alimentaire dont le marché est en pleine expansion. Plus que la réglementation casher pour les juifs, dont l’impact est confiné, la plupart du temps, aux fidèles israélites, le halal – ce qui est licite – déborde le monde musulman pour envahir nos étals, notamment la grande distribution. D’où l’énorme promotion publicitaire faite autour de ce salon, et des produits, désormais empruntés à la culture française, qui aujourd’hui s’y conforment.

Du champagne (sans alcool bien sûr) au foie gras, tout est bon pour pénétrer un business qui concerne une communauté estimée aujourd’hui en France à quelque cinq millions de personnes, et la déborde très largement. Car, si le croyant musulman y est tenu, rien n’empêche l’infidèle d’acheter les produits halal, n’est-ce pas ? La cible, c’est Monsieur Toutlemonde, explique Rachid Bakhalq, créateur d’une chaîne 100 % halal, « Hal’Shop ».

On a ainsi pu entendre l’une des commerçantes du salon qui faisait la promotion de son foie gras halal, assurer que le halal était anti-communautaire, au motif que « le halal s’ouvre aux autres, alors que les produits classiques se ferment », puisque vos invités musulmans ne peuvent pas en manger…

Mais, lorsqu’elle aura fait un repas tout halal, que proposera cette personne à ses invités juifs ? L’ouverture a ses limites…

Qu’importe, après tout, puisque le marché du halal est estimé à 5,5 milliards d’euros cette année ! Et tout le monde s’y met : Fleury Michon, Nestlé, Herta, Casino…

A Nanterre, où s’est ouvert le premier « Hal’Shop », Sophie Donzel, maire-adjointe de la municipalité communiste, note : « Ce n’est pas excluant. On ne tombe pas dans le commerce communautaire. »

Il y a pourtant bien des difficultés. Ainsi, alors que le casher est garanti par le Consistoire central des juifs de France, il n’existe pas de label halal. Le Conseil français du culte musulman n’a pas réussi à s’entendre sur cette question. Et, en l’occurrence, les trois mosquées habilités à délivrer des cartes de sacrificateurs : Paris, Lyon et Evry. « La seule sur laquelle ils se sont mis d’accord, c’est sur l’orthographe du mot halal, avec un seul “l” », ironise Antoine Bonnel, fondateur du salon halal.

Ainsi le fameux foie gras certifié halal est refusé par certains musulmans qui combattent le gavage comme une forme de maltraitance animale. Ce que n’est sans doute pas le fait d’égorger vivant l’animal, qui est l’une des principales conditions du halal…

Autre question qui se pose, celle du coût de la certification halal, parfois très élevé, « jusqu’à 45 centimes d’euro le kilo » affirme Antoine Bonnel, qui s’interroge sur le manque de transparence des fonds ainsi récoltés. Ce qui est sûr, c’est que cette certification constitue un impôt islamique. Autrement dit, pour ceux de nos compatriotes qui se refuseraient à comprendre, manger halal revient à financer l’islam !

Tout cela se passe, bien sûr, durant la Semaine sainte. Mais cela n’a guère d’importance. Les Chrétiens, tout le monde s’en moque. Et d’ailleurs, comme ils n’ont pas d’interdits alimentaires, ce sont eux qui se ferment aux autres – c’est logique !

OLIVIER FIGUERAS

 

 

 

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... en France ..en Europe ...

...L'amour s'est en effet "refroidi »  ... la charité fait face à l'empire aujourd'hui planétaire de la violence....

Cette montée vers l'apocalypse est la réalisation supérieure de l'humanité. Or plus cette fin devient probable, et moins on en parle.

Il faut donc réveiller les consciences endormies.

Vouloir rassurer, c'est toujours contribuer au pire.

René Girard.

  

 

  "L'esprit constitue un champ de relations tourné vers la totalité de ce qui existe "  Joseph Pieper

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Les composantes de la société ne sont pas les êtres humains, mais les relations qui existent entre eux.   Toynbee

 

 

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