.....la nation est une famille de familles...

Dossier stalactites :

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la nation est une famille de familles, le gouvernement de la nation doit ressembler à l’exercice des responsabilités de père de famille. Je n’ai pas la prétention de me poser en modèle – je ne suis certainement pas un bon éducateur. Mais j’ai, finalement mieux que cela. J’ai de la chance. Le Ciel et mon épouse m’ont donné neuf beaux enfants, et au moment où j’écris, vingt-deux petits enfants, douze garçons et dix filles, tous unis, tous aimants, tous ayant plaisir à se voir, à se parler, à se rencontrer, à vivre ensemble. A mon échelle donc, dans les faits, la part du gouvernement qui m’était échue, malgré mon indignité, n’a pas été trop mal menée. C’est un titre, me semble-t-il, à être candidat au gouvernement de la chose publique.

 

Voilà un effort parti de la base, de la vraie vie des Français de souche, de terroir et de tradition, en fraternité avec ceux qui le voudront, d’où qu’ils viennent, à condition qu’ils aiment la France. Que nous en finissions avec les « il faudrait que… », pourquoi ne le font-ils pas ? « Ils » c’est nous.

 

Je ne serai pas candidat

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Auteur:  JTV

Source:  Présent

http://www.present.fr/article-15213-7149.html

Date : 4. août.2010  

  JACQUES TREMOLET DE VILLERS

Déclaration de candidature

 

ll faut faire ceci… et pas faire cela. Nous ne sommes pas gouvernés. Sarko n’y comprend rien… Il n’y a personne pour nous redonner l’espérance… Où allons-nous ? Demain, c’est la guerre civile… Comment voulez-vous arrêter le processus de l’émigration-invasion ? avec en plus, l’Islam… Et, en France, la raréfaction des prêtres, la diminution de la pratique chrétienne… Je vous le dis, il n’y a pas de solution… Vous en voyez une, vous ?

Et s’il nous arrive d’esquisser les lignes simples d’une encore plus simple solution, l’interlocuteur, porte-parole non désigné de millions d’autres, reprend : mais qui le fera ? Monsieur ! qui ?

Et bien, c’est décidé, au terme de longues et silencieuses réflexions, à bout d’argument pour remonter le moral de ceux que je rencontre, j’ai décidé, tranquillement, mais de façon irrévocable, de présenter ma candidature à l’élection présidentielle de 2012.

— Mais c’est une plaisanterie ! vous n’y pensez pas sérieusement ! vous n’avez pas de parti et encore moins d’argent.

— Et où avez-vous lu, dans la constitution, que la désignation par un parti et la disposition d’une grosse fortune étaient les conditions nécessaires pour une telle candidature ?

— Si ces conditions ne sont pas constitutionnelles, elles sont, au moins, des nécessités pratiques.

— Donc je serais condamné à me taire, ou à suivre celui qui me paraîtra le moins mauvais, ou le mieux placé – parmi les candidats dits officiels, et dont le caractère soi-disant officiel n’a rien de constitutionnel ! Je n’accepte pas cette entrave à ma liberté. Pour dire exactement tout ce que je veux faire pour mon pays, je suis, non seulement le mieux placé, mais le seul à être convenablement placé. Si j’entendais quelqu’un – qui peut être quelqu’une – dire ce que je veux faire en étant certain qu’arrivé au pouvoir, il le fera, je me démets de ma candidature. Mais, dans le cas contraire, je la maintiens. Au demeurant, qu’est-ce que je risque ? Au pire, d’être élu ! Au mieux de voir mes idées pillées par d’autres – ou par un autre – qui les mettra, lui, en pratique ! Le plus probablement, d’être à mi-chemin entre cette contribution au salut commun et le ridicule du petit nombre des suffrages… mais n’est-ce pas là « la glorieuse incertitude des batailles » qui, depuis plus de quarante ans de conflits judiciaires, marqués parfois de fortes influences politiques et idéologiques, est la règle de ma vie ?

Et puis, quand je vois ceux qui sont prêts pour le départ, déjà rongeant leur frein, je me dis que si « je m’humilie quand je me juge, je m’enorgueillis quand je me compare », selon l’immortelle formule de Talleyrand… Car, enfin, si la nation est une famille de familles, le gouvernement de la nation doit ressembler à l’exercice des responsabilités de père de famille. Je n’ai pas la prétention de me poser en modèle – je ne suis certainement pas un bon éducateur. Mais j’ai, finalement mieux que cela. J’ai de la chance. Le Ciel et mon épouse m’ont donné neuf beaux enfants, et au moment où j’écris, vingt-deux petits enfants, douze garçons et dix filles, tous unis, tous aimants, tous ayant plaisir à se voir, à se parler, à se rencontrer, à vivre ensemble. A mon échelle donc, dans les faits, la part du gouvernement qui m’était échue, malgré mon indignité, n’a pas été trop mal menée. C’est un titre, me semble-t-il, à être candidat au gouvernement de la chose publique.

Voilà quarante-quatre ans, aux vendanges prochaines, que j’aurais prêté serment de défendre celui qui fait appel à moi, avec désintéressement, probité, loyauté, honneur, courage et délicatesse. Là aussi, malgré mon indignité, la Providence m’a comblé de causes difficiles, voire impossibles… de tâches écrasantes, d’affrontements à un contre tous. Je sais très bien ce que sont les opprobres et les humiliations. Je sais aussi ce qu’est le souci financier, le sentiment d’angoisse que donne la sensation de « l’étranglement économique », comme disait Péguy, les appels comminatoires des banquiers, les avis du Trésor public et les visites de Messieurs les huissiers. Je ne parle pas de la scandaleuse chasse à l’automobiliste que notre législation en folie, enragée de contrôles qu’aucun juge ne contrôle plus, a transformée en une guerre véritable à l’esprit de liberté. L’électeur peut être certain que le premier point de mon programme, en ce domaine, sera la suppression des points du permis, et que je serais en mesure d’expliquer à toutes les ligues de vertu de la circulation routière le bien-fondé de mon amour de la liberté d’aller et venir.

Les choses de la vie, que nos messieurs et dames des postes installés ne connaissent plus depuis qu’ils ont eu leur premier poste d’élu, voire simplement de permanence partisane : les voitures qu’il faut acheter, c’est-à-dire payer de sa poche, et entretenir, les appartements ou maisons qui ne sont pas gratuits, ni à l’achat, ni à la location, les voyages qui coûtent cher, comme les écoles, et les rentrées qui ne sont jamais fixes, pas de traitement, en fin de mois, qui tombe automatiquement, par la grâce du Trésor public, mais, au contraire, l’argent qu’il faut gagner, demander, parfois même hélas ! exiger, ce qui est douloureux pour celui qui le donne et pour celui qui le reçoit… L’incertitude qui exige l’abandon à une puissance supérieure, car qui peut planifier l’existence, la santé, le caractère, les humeurs, les joies et les malchances des enfants, des adolescents, de leurs amours et de leurs chagrins d’amour, et des enfants de leurs enfants ?

Nous nous comprenons, nous qui par notre travail, les taxes et impôts que nous payons, les corvées que nous accomplissons, faisons le Trésor public, sur lesquels les professionnels de la politique vivent, comme élus ou comme responsables de parti, à tant par électeur.

Alors je veux être l’avocat de mes semblables, de mes compatriotes, de tous ceux qui, comme moi, ont travaillé, semé, et ne veulent pas voir les enfants de leurs enfants livrés au désordre, à l’immoralité, à la violence et à la guerre civile, par l’incurie de politiciens que je ne peux pas qualifier du beau mot de « professionnels ».

La règle du jeu est toujours arbitraire. « Il règne parce qu’il est fils de roi », ironise Pascal sur la loi de l’hérédité. A l’expérience, cette loi de l’hérédité était moins absurde que celle de l’élection. Mais aujourd’hui, la règle du jeu, c’est l’élection. Le Maître de la Maison de France ne peut pas se plier, raisonnablement, à cette règle temporaire et provisoire, mais le simple citoyen qui n’est pas l’héritier de la Maison de France, lui, peut l’utiliser, cette règle, pour en jouer toutes les cartes, dans l’intérêt de la France.

Non par pour lui, mon Dieu ! quelle horreur ! et quelle prétention ! Mais, précisément, pour permettre, ensuite, à l’héritier, de prendre possession, pour le plus grand bien de tous, de l’héritage et donc, régner dans la paix et l’amitié retrouvées.

N’est ce pas qu’elle est belle, cette introduction à mon programme ? Quand nous ne serions que quelques milliers à partager ces sentiments, à les faire connaître, qu’un mieux placé que moi surgisse et les porte plus haut, que la campagne qui commence permette d’en suivre, patiemment, les étapes, pour que nous nous entendions, tous ensemble, ou le plus grand nombre possible, sur un essentiel français, irréductible, que nous défendrons jusqu’à la victoire, voilà qui peut animer les dix-huit mois qui viennent, et si Dieu le veut, les années qui suivent. Voilà un effort parti de la base, de la vraie vie des Français de souche, de terroir et de tradition, en fraternité avec ceux qui le voudront, d’où qu’ils viennent, à condition qu’ils aiment la France. Que nous en finissions avec les « il faudrait que… », pourquoi ne le font-ils pas ? « Ils » c’est nous. Le Trésor public, c’est le fruit de nos travaux. La France qui vient, ce sont nos enfants et nos petits enfants. Jusqu’au retour du roi, en l’attendant, en l’espérant, en le préparant, la loi de la nécessité nous dit « l’Etat, c’est nous ».

Alors, pour qu’un jour le plus proche fleurisse le royaume, dès maintenant, sans attendre, à nous la République !

Et que vive la France !

JACQUES TREMOLET DE VILLERS

la nuit du 4 août

http://fr.wikipedia.org/wiki/Nuit_du_4_ao%C3%BBt

Tout semblait fini. Une scène non moins grande commençait. Après les privilèges des classes, vinrent ceux des provinces. Celles qu’on appelait Pays d’État, qui avaient des privilèges à elles, des avantages divers pour les libertés, pour l’impôt, rougirent de leur égoïsme, elles voulurent être France, quoi qu’il pût en coûter à leur intérêt personnel, à leurs vieux et bons souvenirs .....

mercredi 11 août

Je ne serai pas candidat

http://www.present.fr/article-15285-7154.html

Maître,

C’est vrai que vous êtes candidat à la présidence de la République ?

Il est entré dans la chambre où j’écris avec la liberté d’un ami, l’impétuosité d’un disciple, la délicatesse d’un fils. Je l’ai fait asseoir et j’ai relevé ma tête de l’écritoire où me tiennent mes travaux d’écriture.

Disons, plus précisément, jeune homme, que je suis candidat à la candidature, comme tous les autres, car, tant que le candidat n’est pas présenté par 500 élus locaux, maires, conseillers généraux, selon les dispositions de la loi il n’est candidat qu’à la candidature.

Alors, vous êtes comme tous les autres ?

Il y avait dans ce constat, une tristesse tellement sincère que je n’ai pu qu’être touché, et, aussi, devant le reproche à peine voilé, j’ai regimbé.

« Comme tous les autres ? » Oui et non ! Je n’ai pas la prétention d’être meilleur. Je ne juge personne. Je suis avocat de nature et de formation, d’hérédité et de nécessité. Je ne suis pas juge. Mais, différent ? Certainement ! Je suis même un candidat de rupture, puisque je m’avance sans parti et sans argent, dans les strictes conditions de la loi. Le seul à être vraiment démocratique…

Il restait de marbre. Ce n’était certainement pas sur ce point que je remporterais son adhésion. La référence au processus constitutionnel que, juriste impénitent, je considérais comme imparable, n’allait pas jusqu’à son cœur.

Le droit, me dit-il, vous nous avez appris que ce n’était que du droit… Quant aux constitutions, qui sont des habits taillés par les hommes au pouvoir pour garder le pouvoir, où avez-vous vu qu’elles permettaient le salut d’un peuple ? Napoléon, Jeanne d’Arc… ont-ils redressé une situation par la vertu d’une constitution ?

Ne vous emballez pas, jeune homme… Je ne suis ni Napoléon ni Jeanne d’Arc, je suis un simple citoyen qui se sert de ce que la règle du jeu d’aujourd’hui, la Constitution, lui donne comme moyen. Et, voyez-vous, ce n’est pas là seulement qu’est la rupture de ma candidature. C’est plus profond. C’est plus dans le but poursuivi que dans les moyens.

Il avait l’air intéressé. J’ai poursuivi mon avantage : « Je reproche aux autres candidats, à tous, sans distinction, d’avoir une parole qui est, comment dire ? consubstantiellement mensongère. Pour parler plus simplement, je leur reproche de mentir, complément, totalement. Pourquoi ? Parce qu’ils promettent tous, s’ils sont élus, qu’ils accompliront leur programme… Or, aucun ne le fera parce qu’aucun ne pourra le faire. » J’avais un ton d’autorité. Il me regarda plus intensément. « Comprenez-vous cela ? Avant de faire ma déclaration de candidature, dans mes silencieuses et longues réflexions, j’ai beaucoup pensé à ce livre, étonnamment désespéré, de Georges Pompidou, notre seul bon président de la Ve République : Le Nœud Gordien. Qui, se demande-t-il à la fin, qui tranchera le nœud gordien ? Nous sommes, nous, le navire France, attaché par tant de nœuds que l’Etat délibère, promet, communique, prend des poses médiatiques, édicte des lois, mais ne fait rien, car il est ficelé de toutes parts. Or, qui, dans l’histoire a tranché le nœud gordien ? »

Il sourit : « Vous… vous allez le trancher ? »

Non, pas moi, c’est Alexandre, qui d’un coup d’épée, a mis fin aux délibérations des rhéteurs et aux efforts inutiles des matelots. Seul un Prince peut trancher le nœud gordien. L’erreur, le mensonge des candidats, c’est de garder, pour eux, le pouvoir, quand ils sont élus, voire, comme Napoléon, en le conquérant. C’est là qu’est la faute, le péché mortel. Moi, une fois élu, je soumettrais au peuple, par voie de référendum une réforme constitutionnelle qui remplacera « le monarque élu et provisoire » qui est un dictateur impuissant par un Prince héréditaire et continu à l’abri duquel un gouvernement devient possible. Je ne dis pas « le Roi suffit à tout ». Je dis que cette institution est la condition nécessaire, sinon suffisante, pour que quelque chose devienne possible. Elle est aussi, réfléchissez-y, la seule façon aujourd’hui de dire à tous quelle est l’identité nationale. Mieux que tous les discours, une famille de France régnant en France dit qui est la France, aux Français et aux étrangers.

Ça, Maître, je le savais et j’en suis convaincu. Mais, permettez… juste encore une question…

Il se faisait à la fois timide et décidé.

Allez-y !

Et vous croyez que l’électeur… dans le bruit de la campagne, les rumeurs des médias… vous pensez que l’électeur va le comprendre, votre discours, et, en plus, qu’il va voter pour vous, qui voulez être président pour ne plus être président ? Pour les chansonniers vous êtes une aubaine, mais je ne suis pas certain que cette aubaine vous rapporte des voix…

Et on dira que le nombre infime des voix que votre propos a recueilli ridiculise votre propos… Cela me ferait vraiment de la peine, nous ferait de la peine, de voir votre discours, qui est sérieux, ainsi jeté aux pourceaux.

Je n’appelle pas pourceaux les électeurs mais cette porcherie qu’est l’élection. Votre respect de la constitution, tout le monde s’en moque. Les partis sont des gangs à la conquête du Trésor public, comme vous le dites. Seul contre tous pour défendre la France, c’est très beau sur le papier, mais dans les faits ce sera ridicule ! Votre thèse est logique, complètement raisonnable, mais elle me fait penser au mot de Chesterton que vous nous avez si souvent cité : « Le fou est celui qui a tout perdu sauf la raison… ».

Là, je trouvais qu’il y allait un peu fort, le jeune homme, et je lui rétorquai :

Alors, si mon projet est fou, suis-je réduit à me taire ? Si le citoyen ne peut pas entrer dans le débat parce qu’il n’a pas de parti ou de gang, est-il condamné au silence ?

Il me regarda intensément :

Vous êtes-vous tu, vous ? Jusqu’à présent ? Et qui vous interdit de continuer à écrire, à parler, à commenter, à instruire ? Et nous, les plus jeunes, voulez-vous nous imposer de passer par-là ? Faites ce que vous voulez ! Après tout, vous êtes libre, mais ne nous entraînez pas dans ce cirque indigne ! Cela fait longtemps que les sirènes démocratiques, le chant des élections, les trompettes de campagne, nous laissent de marbre. Si vous ne croyez plus à ce que vous nous avez enseigné, nous, nous en sommes persuadés. La vie en vrai, comme vous le dites, elle n’est pas là. La vie en vrai, c’est notre pays, et pas les sondages électoraux, ce sont nos familles et nos écoles, c’est notre terre et notre Eglise, et ce monde qui croule n’est pas le nôtre ! Voyez-vous, c’est dans l’indifférence la plus totale que nous regardons s’écrouler cette constitution qui, déjà, est par terre. Et nous n’allons pas dépenser follement notre énergie dans une entreprise chimérique. Laissons les morts enterrer les morts. La vie est ailleurs. Et cette vie, d’ailleurs, elle est belle ! Votre candidature, Maître, nous donne le cafard !

Là, je dois dire qu’il m’a touché… Pas tellement par le raisonnement et les phrases sorties tout droit de mes anciens écrits mais, par le cafard…

Donner le cafard à ces jeunes enthousiastes !

Les rôles se renversaient. Sans m’en apercevoir j’avais baissé la tête. Je la relevais et c’est moi qui demandais :

Mais alors que faire ?

Il eut un sourire vainqueur :

Mais ce que vous avez toujours fait ! Parler ! Ecrire ! Dans la liberté et la vérité, sans les chaînes des absurdes contraintes soi-disant démocratiques.

Et comme il sentait venir la victoire, il décocha sa dernière flèche :

Maître, souvenez-vous :

« Pour un grand objet, trop courte est la vie,

« Mais sans l’œuvre à mener tout y serait trop long !

« Va, persévérons aux routes suivies

« Pour y faire abonder tout ce que nous voulons. »

Ces routes, elles sont plus hautes, plus belles, infiniment plus variées que la routine de l’élection.

Je le regardai, ce garçon qui m’envoyait sans façon ce que si souvent j’avais essayé de lui apprendre. Je n’avais vraiment pas envie de lui flanquer le cafard et je lui dis :

C’est bon, tu sais, d’avoir un fils !

Je ne serai pas candidat.

JACQUES TREMOLET DE VILLERS

 

 

 

 

 

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...L'amour s'est en effet "refroidi »  ... la charité fait face à l'empire aujourd'hui planétaire de la violence....

Cette montée vers l'apocalypse est la réalisation supérieure de l'humanité. Or plus cette fin devient probable, et moins on en parle.

Il faut donc réveiller les consciences endormies.

Vouloir rassurer, c'est toujours contribuer au pire.

René Girard.

  

 

  "L'esprit constitue un champ de relations tourné vers la totalité de ce qui existe "  Joseph Pieper

Loin que ce soit être qui illustre la relation , c'est la relation qui illumine l'être.     Gaston Bachelard

Les composantes de la société ne sont pas les êtres humains, mais les relations qui existent entre eux.   Toynbee

 

 

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