... ... vie-à ...
 ... «Car éternel est son amour ». Au centre de la phrase retentit le mot « amour » qui, en réalité, est une traduction légitime, mais limitée, du terme originel hébreu hesed. En effet, celui-ci appartient au langage caractéristique utilisé par la Bible pour exprimer l'alliance qui existe entre le Seigneur et son peuple. Le terme cherche à définir les attitudes qui s'établissent au sein de cette relation: la fidélité, la loyauté, l'amour et, bien sûr, la miséricorde de Dieu. Nous avons ici la représentation synthétique du lien profond et inter-personnel instauré par le Créateur avec sa créature. Au sein de ce rapport, Dieu n'apparaît pas, dans la Bible, comme un Seigneur impassible et implacable, ni comme un être obscur et indéchiffrable, semblable au destin, contre la force mystérieuse duquel il est inutile de lutter. Il se manifeste en revanche comme une personne qui aime ses créatures, qui veille sur elles, les suit sur le chemin de l'histoire et souffre des infidélités que le peuple oppose souvent à son hesed, à son amour miséricordieux et paternel.
..... se disent de plusieurs façons (pollakhôn legetai to metaxu kai to meson). » Ce constat, établi à la fin du De caelo , se voit réitéré dans les Topiques, où, face à une apparente synonymie entre le point médian de la ligne, le point médian d’un corps ainsi qu’une position médiane d’un nombre, Aristote rappelle qu’« il faut définir en quel sens on prend ici ayant un milieu » . Établir en d’autres termes si cette plurivocité (pollakhôn legetai) n’est qu’un effet homonymique, sans base commune hormis le nom, ou si le mot « médiété » renvoie effectivement, à travers la multiplicité de champs où il apparaît, à une réalité commune.[1] De caelo, IV, 5; 312b2sq. [2] Topiques, VI, 12; 149a35-37.
La praxis se développe avec l'expérience. C'est en agissant ( ..ENtre-DEUX-là ..) vertueusement que l'on devient ( ..ENtre-DEUX-là ..)vertueux. Agir vertueusement consiste à s'efforcer de tenir la juste mesure ou médiété, à écarter les positions extrêmes pour s'éloigner tout autant des contraires et tendre vers le point d'harmonie, de perfection (..de beauté ..) qui est le juste milieu. ... la vertu est une disposition à agir d'une façon délibérée, consistant en une médiété relative à nous ( femme-homme ...anima-animus ..) , laquelle est rationnellement déterminée et comme le déterminerait l'homme prudent ( ...équilibré .. sain ..) .Ainsi, par exemple, le courage est une médiété par rapport à la crainte (défaut de confiance en soi) et la témérité (excès de confiance en soi), la magnanimité est le juste sentiment de son mérite, médiété entre le défaut et l'excès, l'action juste est médiété entre l'injustice commise et l'injustice subie...( .. l'amour comm-union ..médiété entre égotisme et le fidéisme ... entre ciel et terre .. extérieur et intérieur .. inné acquis ...) L'action vertueuse présente certains caractères, mais ces caractères extérieurs ne suffisent pas; «il faut encore que l'agent lui-même soit dans une certaine disposition quand il les accomplit ; en premier lieu, il doit savoir ce qu'il fait ; ensuite choisir librement l'acte en question et le choisir en vue de cet acte lui-même ; et en troisième lieu, l'accomplir dans une disposition d'esprit ferme et inébranlable
La praxis (..de l'homocoques ..)a une finalité interne à l'action, non séparable de l'action. Le fait de bien agir ( .. INter-DEUx ..) est le but même de l'action.( ...là ...). La poïésis (..du Monocoq... .) (ou création, ou production )...a pour finalité la production d'un bien ou d'un service ( ... ou d''une satisfaction..un profit ..pour le Monocoq lui_même ..) , c'est-à-dire de quelque chose d'extérieur à l'action de celui qui le fabrique ou le rend ( ...ou le suscite ..) ...
.. EN l' Inter-relations ......
en Monocoque ou en homocoques ... Être ou ne pas Être ou INter-DEUX-là
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