....les religions de l'HOMENTRANCHE ....

Dossier : Dieu... le Verbe

Présentation : de cette vision commune d'une "espérance " ...celle des.. universalistes,  cosmopolites,  mondialistes,  planétariens ,  francs maçons  ... juifs ...  catholiques droitsdelhommiste ...  .  rationnalistes .. darwinistes ...  des capitalistes apatrides, des multinationales, des libre échangistes, ... de la rationalité ... de la civilisation marchande.. des socialistes, des communistes, des altermondialistes ... tous...ensemble-HOMENTRANCHE ... et  ensembles-homocoques-phobes ... anti-Européens ...  christianophobes ..

jusqu'à l' alliance objective avec ENUN.... islamistes ...sionistes ... pentecôtistes. en espérant en faire un ensemble-HOMENTRANCHE ... au mépris des peuples.... des homENMULTETUN

Extraits : 

les planétariens ....toutes nos têtes pensantes, communistes ou démocrates, s'accordent à penser que le gouvernement mondial est un idéal à atteindre.... On y appelle très clairement au métissage généralisé et à la dissolution des nations..... la culpabilisation ... tout comme l'immigration, qui est aujourd'hui l'arme la plus efficace dans la guerre à mort que l'Empire global mène contre les résistances ethniques.....  cette construction est un marchepied vers le gouvernement mondial.....leurs productions étaient toujours empreintes d'idéologie messianique.

la baffe géante du référendum du 29 mai 2005.... tout s'effondre parce qu'une poignée de résistants, d'abrutis réactionnaires qui ne comprennent rien à rien, ont préféré leur vulgaire liberté tribale à l'ouverture des temps messianiques.....

Le socialisme maçonnique ....  le vrai secret de la franc-maçonnerie c'est qu'il n'y a pas de secret ..... cette association, est très contente, en fait, de sa réputation médiatique d'influence. Cela lui permet de recruter des arrivistes au petit pied. Mais elle n'est au bout du compte qu'un énorme syndicat de médiocres....

Au centre du projet, en politique intérieure, on découvre l'hypertrophie de l'institution scolaire, du fonctionnarisme, du laïcisme le plus sectaire.... ce socialisme va s'emparer des rouages de l'État, tout en tétanisant les adversaires.....vont mettre en place, sous les gouvernements élus par la droite du corps électoral comme par ceux se réclamant de la gauche.   À cette première étape, qui tend à endormir la France par une politique intérieure socialiste succédera un second stade : le "mondialisme maçonnique",

France : la religion de l'homme sans Dieu On assiste ces derniers temps à une mise en avant de ce culte que les hommes devraient vouer aux institutions qu'ils créent et aux valeurs qu'ils déclarent. Le tout sans Dieu et avec l'homme seul servi. Et comme tout culte, il ne peut se passer de cérémonial.
 

en z relations ....

Existe-t-il une civilisation universelle ?  par Samuel P. Huntington

ONU ..« L’heure de sa résurrection est arrivée ... Rome

L'Amérique réelle réussira-t-elle sa reconquête ?  ... les deux Amériques Philippe Vermont

 

 

 

Après les cosmopolites et les mondialistes, les planétariens ....

 

Auteur:   Le Libre Journal N° 358 du 24.09.05

interview de Nervi Ryssen à propos de son livre Les Espérances planétariennes

 

Le Libre Journal : Nervi Ryssen, Vous publiez ut gros livre au titre un peu mystérieux. Pouvez-vous expliquer de quoi il retourne ?

Hervé Ryssen : C'est très simple. J'ai analysé de très près la littérature et la philosophie 'cosmopolites", c'est-à-dire qui aspirent à la suppression des frontières et à l'unification du monde. Le terme "espérance" revenait assez régulièrement dans les textes, et correspondait à ce que je voulais démontrer. Quant au terme 'planétarien", c'est un néologisme qui exprime très exactement ce qu'il veut dire. Je l'ai préféré à "mondialiste" qui est aujourd'hui trop empreint l'idéologie.

LLJ : Que vouliez-vous démontrer ?

IR : La société "plurielle" n'est pas tant un phénomène naturel que le résultat d'un discours idéologique inlassablement ressassé depuis des décennies, le discours planétarien a encore gagné en vigueur depuis la chute du Mur de Berlin, et aujourd'hui, toutes nos têtes pensantes, communistes ou démocrates, s'accordent à penser que le gouvernement mondial est un idéal à atteindre.

ainsi, les années 90 ont vu une :exceptionnelle floraison de produits culturels affichant un cosnopolitisme débridé. Les ouvrages de Jacques Attali, Alain Minc, Alain Finkielkraut, Marek Halter, Guy Sorman, Pierre Bourdieu, Jacques Derrida, Edgar Morin, Albert Jacquard, BHL, Guy Konopnicki, pour n'en citer que quelques-uns, sont particulièrement éloquents à cet égard. On y appelle très clairement au métissage généralisé et à la dissolution des nations.

Un exemple assez amusant : le ivre de Jacques Attali intitulé Le Dictionnaire du XXIe siècle. Si l'on ré-ordonne les passages nous engageant dans cette voie planétarienne, on obtient un résultat évocateur d'un fameux faux sulfureux imprimé en Russie au début du XX' siècle.

Le discours est similaire chez les dizaines d'auteurs de nationalité française, russe ou américaine, ou encore allemande ou viennoise du début du siècle (Einstein, Hannah Arendt, Freud, Stefan Zweig, Joseph Roth, etc.).

Les concepts, la mentalité, les pirouettes intellectuelles, les contorsions idéologiques sont exactement les mêmes d'un auteur à l'autre.

 

LLJ : Quels sont les grands thèmes abordés dans votre livre ?

HR : J'ai commencé par présenter la face scientifique de la grande idée planétarienne depuis la découverte d'un squelette d'australopithèque datant de trois millions d'années dans la région des grands lacs africains, il est considéré comme établi que tous les hommes du monde descendent d'un ancêtre commun, et que Lucy, comme on l'a nommée, est la grand-mère de l'humanité. Dès lors, il est de bon ton, dans la cour des lycées de se déclarer "africain", en attendant d'être "chinois" ou "turco-mongol", le jour où l'on annoncera d'autres découvertes. Après avoir décrit l'idéal planétarien (le village global, le nomadisme, l'apologie du métissage, la destruction de la famille "patriarcale", etc.), il fallait aborder la méthode planétarienne : On voit ici en pleine lumière l'immense mépris dans lequel les auteurs cosmopolites tiennent les cultures traditionnelles des sédentaires. Dans ce domaine, Bernard-lienri Lévy se distingue, suivi de très près par Daniel Cohn-Bendit et Alain Minc. Le thème de la culpabilisation fait bien évidemment l'objet d'un chapitre à part entière, tout comme l'immigration, qui est aujourd'hui l'arme la plus efficace dans la guerre à mort que l'Empire global mène contre les résistances ethniques.

Bien évidemment, j'appuie ma démonstration sur des centaines de citations.

LLJ : Vous abordez la question européenne...

HR : Bien sûr. Là encore, en lisant Jacques Attali, entre autres, on s'aperçoit que nos intellectuels considèrent que cette construction est un marchepied vers le gouvernement mondial. C'est écrit en toutes lettres, et il n'est nul besoin d'aller chercher ces considérations dans les vieux textes d'avant-guerre. Bien entendu, j'ai eu l'immense plaisir de conclure ce chapitre avec la baffe géante du référendum du 29 mai 2005.

Permettez-moi une petite anecdote : lors d'un débat télévisé, Cohn-Bendit, fou de rage, avait insulté Philippe de Villiers de la manière la plus outrageante. Que ce dernier n'ait pas relevé l'offense est une faiblesse bien pardonnable sur un plateau de télévision. Après tout, mieux vaut passer pour un martyr, aux yeux des électeurs, que pour un violent. Mais les transports de haine de Cohn-Bendit m'ont paru très révélateurs. Il faut comprendre que les gens comme lui vivent fébrilement notre époque. Tout leur paraît favorable et ils s'imaginent que l'humanité est enfin à la porte d'entrée des temps messianiques. Il faut savoir que, dans leur tradition, l'arrivée du Messie se confond avec l'unification du monde et la disparition des conflits, qu'ils soient nationaux ou sociaux. Ici encore les textes de Lévinas, Jacob Kaplan, George Steiner. Le NON français a littéralement fait avorter ce rêve. Mettez-vous à la place d'un Cohn-Bendit qui attend son Messie depuis trois mille ans ; on lui dit qu'enfin il approche, qu'il arrive, qu'il est là au coin de la rue... et plouf ! tout s'effondre parce qu'une poignée de résistants, d'abrutis réactionnaires qui ne comprennent rien à rien, ont préféré leur vulgaire liberté tribale à l'ouverture des temps messianiques. Avouez qu'il y a de quoi enrager !

LLJ : Selon vous, l'attente du Moschiach déterminerait les idées et les actes des intellectuels cosmopolites ? HR : Je ne parle ici que des intellectuels juifs. Pour eux, assurément, c'est la question essentielle.

C'est précisément ce point qui constitue la question centrale de l'esprit mosaïque dans la mesure où elle se confond avec l'idée d'unification planétaire.

Il faut comprendre que ces gens-là vivent dans cette attente. Que cette tension permanente donne un sens à leurs actes et à leurs propos. Il est très rare qu'une oeuvre, chez eux, soit une production neutre.

À travers les livres et les films que j'ai analysés, je me suis rendu compte que leurs productions étaient toujours empreintes d'idéologie messianique.

Ce qui ressort de tout cela, assurément, c'est que l'avènement du monde nouveau passe par la destruction du catholicisme et du monde européen.

Il faut avoir lu les travaux de Wilhelm Reich et les ouvrages des "freudo-marxistes" pour comprendre jusqu'où peut aller cette rage de destruction. Le thème de la "vengeance" se retrouve d'ailleurs aussi bien dans les textes religieux du XVI, siècle que chez certains romanciers contemporains comme Albert Cohen. Ces permanences m'ont frappé le plus. Elles traversent les siècles, se transmettent sans prendre une ride de génération en génération. Rien de secret là-dedans. D'ailleurs, la totalité des livres à partir desquels j'ai travaillé se trouve dans les bibliothèques municipales de la Ville de Paris.

 

LLJ : Comment vous est venue l'idée de vous plonger dans cette littérature ? HR : Un peu par hasard après avoir découvert le livre de Soljenitsyne (Deux Siècles ensemble) paru en 2003, qui met en relief le rôle du "petit peuple" dans la révolution bolchevique. Comme j'ai été moi-même un fervent "bolchevik" pendant mes années universitaires, je me suis étonné de n'avoir pas été au courant de cet aspect de la question. J'ai alors repris les grands textes de "soviétologie", et je me suis aperçu qu'en réalité, tous les grands historiens (Stéphane Courtois, François Furet, Ernst Nolte, entre autres) ont soulevé le problème, mais de manière très anecdotique. Cette question forme la deuxième partie du livre : La fin d'un rêve messianique. La troisième partie, qui est aussi importante que la première, traite de l'explication de l'antisémitisme par les Juifs eux-mêmes et de la mentalité cosmopolite en général, ainsi que de certains problèmes d'actualité : l'antisémitisme noir, la mafia, les grandes escroqueries de ces dernières années, qu'elles soient financières ou intellectuelles, les "boursouflures médiatiques", etc.

LLJ : Vous avez conscience, j'espère, que vous vous attaquez à forte partie ? HR : C'est amusant que vous disiez cela : c'est exactement l'expression que le romancier Patrick Modiano met dans la bouche de l'un de ses personnages . Mais je ne m'attaque à personne.

Je me borne à analyser ce que je découvre ici et là. Si la vérité tombe aujourd'hui sous le coup de la loi, le devoir du juge, en tant qu'homme de loi, est assurément de la condamner. Mon devoir à moi, en tant qu'homme de lettres, est de l'écrire. De mon point de vue, tout est donc parfaitement en ordre de ce côté-ci, d'autant que je me contente de mettre en forme ce que d'autres ont exprimé.

En revanche je pense que nous ne devons pas nous laisser insulter chez nous, dans notre pays. Quand M. Bernard-Henri Lévy écrit que la culture „ terroir-bourrée-binious » l'"écoeure", il mérite une amende proportionnelle à ses revenus colossaux. Je vais trop loin, quand je dis cela ?

Les Espérances planétariennes, 432 pages ; 19,90 euros franco. Commandes à Éditions Baskerville, SDE Domiciliations - 14, rue Brossolette, 92300 Levallois. Chèques à l'ordre de VERVE FRANÇOIS (en majuscules, sans rien ajouter).

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texte hébergé en  10/05

 

 
 

Une clef pour vaincre le verrouillage des francs-maçons

Auteur:   Le Libre Journal N° 359 du 4.10.05

Plusieurs fois par an paraissent en France soit une livraison d'un grand hebdomadaire soit un livre à scandales tournant autour des mystères, des secrets, des réseaux, des pouvoirs de la franc-maçonnerie. Et tout lecteur intellectuellement honnête referme qui le numéro d'été de L'Express ("Que cachent les francs-maçons") qui le bouquin de M. Bauer ("Le Crépuscule des frères", la fin de la franc-maçonnerie, avec un point d'interrogation) en se reposant beaucoup de questions auxquelles les pages imprimées jetables qu'il vient de parcourir seraient bien en peine d'apporter la moindre réponse. D'emblée, on se doit quand même de révéler aux lecteurs du Libre Journal cette réalité stupéfiante de la franc-maçonnerie : le vrai secret de la franc-maçonnerie c'est qu'il n'y a pas de secret.

Autre réalité : cette association, est très contente, en fait, de sa réputation médiatique d'influence. Cela lui permet de recruter des arrivistes au petit pied. Mais elle n'est au bout du compte qu'un énorme syndicat de médiocres. Elle est extrêmement puissante dans les médias, elle se montre experte en trafic de rumeurs, elle fonctionne sans égale dans le registre des verrouillages idéologiques sectaires, elle est encore très forte en matière de coups bas mais au fond elle ne compte par exemple aucun véritable intellectuel ou artiste digne de ce nom. Alors ? Où est le problème ? Où réside donc la nuisance de la franc-maçonnerie française ? En lisant "Socialisme maçonnique" on a, enfin, une idée de la véritable réponse.

La franc-maçonnerie française, à partir du milieu du XIXe siècle s'est transformée en machine de guerre au service de la subversion politique socialiste. Elle est devenue la protectrice de toutes les forces d'extrême gauche, leur cheval de Troie dans l'univers petit-bourgeois qui fut à partir des années 1885 et surtout 1902 maître sans partage de la Troisième république. En cet automne 2005, M. Bauer fait mine de rompre avec sa propre obédience, le Grand Orient de France dont il avait été le flamboyant grand maître, un peu moins absent que les autres du débat public. Comment se fait-il, dira-t-on, qu'un homme désireux, assez manifestement, de se reconvertir dans une carrière politique, probablement aux côtés d'un Sarközy, envisage de le faire en rompant avec une force d'influence aussi considérable ?

Tout d'abord, soulignons que cette rupture n'est pas aussi totale que l'ont peut-être cru les naïfs lecteurs du Monde du 5 septembre. En vérité, les passerelles demeurent. Mais plus profondément les lecteurs de "Socialisme maçonnique" découvrent la véritable manière qu'utilisent les loges pour imposer une quasi-dictature sur les politiciens (quels qu'ils soient, et en les méprisant souverainement), sur les moyens d'information et en définitive sur les masses.

Les politiciens francs-maçons, "initiés" d'un jour ou simples amis des Loges, sont là pour exécuter un programme immuable (et en cela même néfaste puisqu'il a aujourd'hui 50 ans de retard sur l'évolution des choses). Pas pour l'élaborer, à peine pour en débattre.

Ce programme obéit certes à une logique implacable. Dans les années 1920-1930, convent après convent il s'est forgé. Et, chose assez extraordinaire, on constate qu'il est resté invariant malgré l'évolution du monde.

Au centre du projet, en politique intérieure, on découvre l'hypertrophie de l'institution scolaire, du fonctionnarisme, du laïcisme le plus sectaire. C'est un "socialisme" purement formel, un socialisme politique, très éloigné des préoccupations sociales. A cet égard le Grand Orient, dès les années 1920, préfigure le Parti socialiste de l'an de grâce 2005 : les ouvriers, les artisans, etc., y sont totalement minoritaires, marginaux, comme incongrus. Mais ce socialisme va s'emparer des rouages de l'État, tout en tétanisant les adversaires. Ce que découvre avec stupéfaction le lecteur de "Socialisme maçonnique", c'est que ce beau programme conçu dans les années 1920-1930, au plus fort de la 111` république, annonce tout simplement ce que les IVe et Ve républiques vont mettre en place, sous les gouvernements élus par la droite du corps électoral comme par ceux se réclamant de la gauche. À cette première étape, qui tend à endormir la France par une politique intérieure socialiste succédera un second stade : le "mondialisme maçonnique", qui sera l'objet d'un second volume promis par l'éditeur pour ce printemps 2006.

G. de K.

"Socialisme maçonnique" par AG Michel. Éditions du Trident vente par correspondance 39, rue du Cherche-Midi, 75006 Paris, tél. 06 72 87 31 59. Prix 25 euros. Voir page 24.

France : la religion de l'homme sans Dieu

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2008/06/france-la-relig.html

On assiste ces derniers temps à une mise en avant de ce culte que les hommes devraient vouer aux institutions qu'ils créent et aux valeurs qu'ils déclarent. Le tout sans Dieu et avec l'homme seul servi. Et comme tout culte, il ne peut se passer de cérémonial.
La dernière en date nous vient de Ségolène Royal, qui, sous couvert d'une "Confirmation" déguisée, suggère une initiation républicaine obligatoire (?) :

"Je propose, pour renforcer le sentiment d’appartenance à la nation, de créer une cérémonie républicaine pour tous les jeunes, quelle que soit leur origine, pour le passage à la majorité à 18 ans, l’âge du droit de vote".

Juste avant, comme en anticipation, il y eut cette mascarade de "baptême républicain", avec parrain, marraine et tout le tremblement :

"Un baptême républicain vient d’être célébré à Clesse. La petite Maé a donc adhéré symboliquement aux valeurs de la république."

L'Europe n'est pas en reste avec cette religion de l'homme qui refuse la vie humaine, don de Dieu, ou plus précisément qui voudrait en être maître dès la conception et qui cherche (et réussit) à imposer sa propre vision de l'éducation, formation de la vie des hommes, en s'immisçant dans les maisons familiales par des mesures qui visent en premier lieu les religions :

"Aucune religion, situation économique ou méthode d’éducation ne saurait justifier de frapper un enfant, de le gifler, de lui donner la fessée, de le maltraiter, de l’humilier ou de recourir à toute pratique qui porte atteinte à sa dignité"

Les religions devraient-elles avoir à se justifier devant l'idole européenne? Ce à quoi il lui est très justement répondu :

"Messieurs-dames, nous avons là une quasi-religion, qui distribue les bons et mauvais points, qui décide de ce qui est bon, ou non, pour l’homme (...) Mais depuis quand, en définitive, le Conseil de l’Europe est-il mandaté pour dire aux parents comment ils doivent éduquer leurs enfants?".

 Et voilà quelques semaines, c'était le mariage civil, que certains ont osé bafouer en le soumettant à une "valeur" qui pouvait avoir une connotation "religieuse"; ce mariage civil qui n'est qu'un contrat signé entre humains sous le sceau du nouveau décalogue des droits de l'homme, sous l'égide de la déesse raison et devant le témoin et représentant de cette religion qui, étole républicaine en bandoulière, officie au nom de l'État civil parce que non religieux.

"Un monde où Dieu n’existe pas devient de toute façon un monde où règne l’arbitraire et l’égoïsme" disait Benoît XVI et quand l'homme cherche à se substituer à Dieu règne alors le totalitaire. Et le Saint-Père d'ajouter :

"Il n’y a de la lumière, de l’espérance, que si Dieu apparaît. Notre vie a un sens que nous ne devons pas produire nous-mêmes, mais qui nous précède, qui nous porte".

Un appel à la nouvelle Évangélisation de notre France qui vit sous cette férule. A nous de l'entendre et d'agir comme le souhaite notre Pape :

"Prenons donc ensemble les chemins évidents, qu’aujourd’hui, même la conscience laïque peut facilement voir, et essayons de la conduire ainsi aux voix plus profondes, à la véritable voix de la conscience, qui se transmet dans la grande tradition de la prière, de la vie morale de l’Eglise. Ainsi, sur un chemin d’éducation patiente, nous pouvons je crois tous apprendre à vivre et à trouver la vraie vie".

 

texte hébergé en  10/05

 

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