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Présentation :... de l' égalité à
la ..à l'inégalité ..
Extraits : la
Halde ...Le projet
de loi «conférant un pouvoir de sanction» à la Haute Autorité de lutte
contre les discriminations et pour l'égalité (Halde) est prêt....
La définition des «actes discriminatoires»
est très large. Elle correspond à toute différence de traitement fondée
sur l'origine ethnique, géographique ou sociale, la confession, les
opinions politiques, le sexe, les choix de vie privée, l'âge ou le
handicap. L'amende décidée par la Halde n'interdit pas à la justice de
prononcer une sanction pénale.
Portrait de Louis SCHWEITZER ...
président de la Halde ..
La Halde ..ses personnalités
Troubling “Facts” of the
Paris Riots ... “The problem is not that these ...
kids are unemployed, but that they are unemployable.
La HALDE, Big Brother
....La discrimination : la révolution, en marche : il y a des dizaines
de milliers d'actes de discrimination annuellement ...« Il va falloir
former des brigades spécialisées au sein de la police judiciaire »
discrimination
religieuse .... faits mars2006
"Recherche filles typées et métissées"... mai 2007
en
z
relations
.... minorités ...communautarisme ... éclatement des
coques ... idéologie ...discrimination positive .... CV
anonyme ... identité ... relations humaine ... homophobie ...mariage
... racisme à l'envers ... liberté .... libre arbitre ... totalitarisme
...
les
moyens de lutter contre les discriminations
le stage de citoyenneté .....
projet validé par le procureur de la République après avis du président
du tribunal de grande instance
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La Halde pourra infliger des amendes
Guillaume Perrault
le figaro [19 novembre 2005]
DISCRIMINATIONS. Le projet de loi
«conférant un pouvoir de sanction» à la Haute Autorité de lutte contre
les discriminations et pour l'égalité (Halde) est prêt. Ce texte,
que Le Figaro s'est procuré, fait suite aux déclarations de Dominique de
Villepin le 7 novembre. S'exprimant au plus fort des émeutes urbaines,
le premier ministre avait estimé nécessaire de renforcer les
prérogatives de la Halde pour mieux lutter contre les discriminations.
Le projet de loi prévoit de permettre
à cette autorité administrative indépendante, qui peut être saisie par
toute personne résidant en France, de prononcer des amendes d'un montant
maximal de 1 000 euros. La Halde pourra aussi ordonner l'affichage de sa
décision pendant un mois aux frais du «coupable».
La définition des «actes
discriminatoires» est très large. Elle correspond à toute différence de
traitement fondée sur l'origine ethnique, géographique ou sociale, la
confession, les opinions politiques, le sexe, les choix de vie privée,
l'âge ou le handicap. L'amende décidée par la Halde n'interdit pas à la
justice de prononcer une sanction pénale.
 
de la lutte pour le pouvoir
...qui éliminera l'autre ...???
quoiqu'il en soit, cela se fait détriment du NOUS
... du corps social ..de la France
texte hébergé
en 11/05

November 6, 2005
http://forum.subversiv.com/index.php?id=97323
Troubling “Facts” of the Paris Riots
How our newspapers might turn bias
to balance.
by Bruce Thornton
voir l'article complet sur
http://victorhanson.com/articles/thornton110605.html
Private Papers
Extrait :
voir début de l'article sous ...
How our newspapers might turn bias
to balance.
In the case of the Paris rioters,
there are other explanations for their behavior that are more accurate
than liberal clichés about “frustration.” As Dr Jack Wheeler puts it,
“The problem is not that these ... kids are unemployed, but that
they are unemployable. They are illiterate, unskilled except in
crime, don't speak French well, refuse to assimilate into French
culture and think being Moslem is more important than being French.
Worse, they are paid by the French welfare state not to work, living
well off the dole (and crime). The problem was epitomized by these
words of a young Moslem rioter to a French reporter: 'In the day we
sleep, go see our girlfriends, and play video games. And in the
evening we have a good time: we go and fight the police.'”
But don't expect the Times to
explore these alternative interpretations. The Times endorses the
opinion consistent with the liberal-left world-view of the paper's
editorial board, a vision of human nature in which notions like free
will and unmotivated evil are superstitions that have been unmasked by
science. People in reality are just passive victims of the larger
forces controlling their destinies. Thus the unjust economic system
(i.e. capitalism) and its oppression are to blame for destructive
actions, for man does live by bread alone, and so if he acts up it's
only because he doesn't have enough bread. All those Muslim youths
have no autonomous wills, no values or ideals they hold dear, no
spiritual beliefs that justify their actions. They are just passive
victims who can only react to the injustice around them.
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FAITS&DOCUMENTS
LETTRE D'INFORMATIONS CONFIDENTIELLES D'EMMANUEL
RATIER
PORTRAIT
Louis SCHWEITZER
L'ex-directeur de cabinet de
Laurent Fabius a été PDG de Renault jusqu'au 29 avril 2005. Ce
membre de la Haute Société Protestante, qui appartient au Groupe de
Bilderberg et a été président du club d'influence Le Siècle, est
aussitôt devenu, sur décision de Jacques Chirac, le premier résident
de la Haute autorité de lutte contre les discriminations et pour
égalité (HALDE), une nouvelle machine de guerre contre toutes les
formes de discrimination qui dispose de munitions : un budget de
10,7 millions d'euros et pas moins de 56 salariés, plus une dizaine
en délégation. Nul doute que Louis Schweitzer, avec les dix autres
personnalités qui y ont été nommées, n'y fasse merveille, lui qui
déclare (L'Express, 18 avril 2005) « J'ai toujours dit que
j'étais patron et de gauche. »
L ouis Schweitzer, inspecteur
général des Finances, est un représentant type de la Haute Société
Protestante (HSP). Il serait né le 8 juillet 1942 à Genève (Suisse),
« parce que mon père, qui était fonctionnaire, était dans la
Résistance, et en 1942, quand votre père était dans la Résistance,
il valait mieux naître en dehors de la France » (un bien étrange
argument développé dans Les Eclros, 20 juillet 2004). Il descend en
fait d'une grande famille calviniste : il est le petit-neveu du Dr
Albert Schweitzer et du chef d'orchestre Charles Munch. Il est
également allié à Jean-Paul Sartre, dont la mère était née
Schweitzer. Son père, Pierre-Paul Schweitzer, inspecteur des
finances, a été directeur du Trésor puis directeur général du Fonds
monétaire international (1963-1973). Ce dernier appartiendra
également au Bilderberg group. C'est sous l'influence de son fils
qu'il signera un appel en faveur de François Mitterrand en 1974, ce
qui lui coûtera sans doute quelques honneurs.
Tout comme lui, Louis Schweitzer
est entré à l'Inspection générale des Finances à sa sortie de l'Ena
en 1970 (ainsi qu'au Bilderberg group beaucoup plus tard). Il est de
la promotion Robespierre, avec Marc Ladreit de Lacharrière, Philippe
Séguin, Philippe Lagayette, Francis Lorentz, Jacques Attali, etc.
Chargé de mission à la direction du Budget de 1974 à 1979' (ouvrant
notamment à l'Assistance publique, aux Finances, au Budget en 1974,
aux Transports en 1976), avant de devenir sous-directeur de la
fonction publique, des statuts et indemnités des personnels de
l'État, en 1979. Membre, avant 1981, (du Parti socialiste, il y fut
en charge de l'économie internationale. Contrairement à une
assertion figurant dans de nombreux articles de presse, il semble
qu'il ne fut jamais le « binôme » à Sciences-Po de Laurent Fabius.
Et c'est sur recommandation de l'influent Jacques Attali, qu'il
entra à son service, étant son directeur de cabinet aux ministère du
Budget (1981-1983) et de]'Industrie (1983-1984), puis à Matignon
lorsque Fabius devint Premier ministre (1984-1986). Ce « pur produit
de la technocratie » scia un véritable « Premier ministre adjoint »,
(selon Libérznion. 24 juillet 1954), inaugurant « la prise de
pouvoir de l'énarchie dans la galaxie socialiste » (L'F.rpansion, 9
septembre 1992).
Libération (5 mai 1997) le
qualifie de « protestant, de gauche, secret et froid » et L'Express
(18 avril 2005) de « redoutable patron (...) l' une des figures du
monde des affaires français et international ». Il prétend avoir un
« QI de 200 » (Enjeux, novemhre 1994), ce qui serait tout à fait
hors normes. Homme très nettement de gauche, il sera l'un de ceux
qui convaincront François Mitterrand, de nationaliser plusieurs
grands groupes industriels et diverses banques à 100`% et non à 51 %
comme l'avait envisagé le nouveau président de la Répuhlique. En
1985, il fut le principal artisan du limogeage brutal du PDG de
Renault, Bernard Hanon, et de son remplacement par Georges Besse
(assassiné par la suite par un commando d'Action directe agissant
sur commande). Au renversement de pouvoir, en mars 1986, ce dernier
lui renvoya l'ascenseur en l'engageant comme directeur à la
direction nationale de la Régie Renault. En janvier 1987, il y
devient directeur adjoint puis, en août 1987, directeur de la
planification et du contrôle de gestion. En 1988. il prend en main
la direction financière et du plan, puis est promu directeur général
adjoint, poste où il négocie la fusion du groupe avec le suédois
Volvo (une opération ambitieuse qui n'aboutira pas finalement,
l'accord ayant été signé le 6 septembre 1993 et dénoncé, par Volvo,
le 2 décembre 1993). Directeur général (c'est-à-dire numéro deux) de
la Régie à la fin de 1990, il succède, en mai 1992, au président
Raymond Lévy (qu'il avait pourtant limogé de la direction d'Usinor
lorsqu'il était à Matignon) et prend la tête de la première
entreprise automobile de France (179 milliards de francs de chiffre
d'affaires annuel à l'époque). Il sera confirmé à ce poste en mai
1994 et juillet 1995. par les représentants de la droite revenue aux
affaires. Il aura pour mission de coordonner la privatisation
partielle du groupe face a des syndicats puissants considérant que
la Régie était une « forteresse ouvrière » (le 13 septembre 1994,
ouverture du capital de la régie; le 3 juillet 1996, privatisation,
l'État qui détenait encore 52% passant à 46% ), après l'échec du
rapprochement avec Volvo (où l'attentisme du ministre de l'industrie
Gérard Longuet joua certainement un rôle essentiel) puis après
l'échec du rapprochement avec Skoda.
De cette époque, il déclare (L'Express,
18 avril 2005) : « Je ne nie suis jamais présenté comme un patron de
gauche, j'ai toujours dit que j'étais patron et de gauche.
Seulement, il n'y a pas trente-six façons de gérer une entreprise.
En 1985, Renault était condamné et, aujourd'hui, même la CGT
reconnaît qu'il est heureux qu'on ait fait ce qu'il fallait. » Des
propos assez incohérents puisque, comme on l'a vu, il fut l'artisan
des nationalisations avant de défendre les privatisations et de
rallier le capitalisme libéral... En 1998, il fut d'ailleurs
condamné par la justice belge pour ne pas avoir averti dans les
délais impartis par la loi les 3 098 salariés de l'usine belge de
Vilvorde de la fermeture prochaine de celle-ci (malgré l'opposition
tant des socialistes que de la droite chiraquienne), s'attirant le
surnom de « boucher de Vilvorde ».
C'est lui qui fera de Carlos Ghosn,
polytechnicien et ingénieur des Mines d'origine libanoargentine
(recruté via un cabinet de chasseur de têtes), son successeur :
recruté en 1996, après un passage chez Michelin, il fut l'artisan du
développement du groupe automobile au Japon, grâce au rapprochement
avec Nissan, ce qui a fait de Renault un groupe mondial florissant
(40,3 milliards d'euros de chiffre d'affaires et 3,55 milliards
d'euros de bénéfice en 2004, en hausse de 431,î par rapport à 2003).
Le 27 mars 1999, Renault avait pris 36,7 % de Nissan. Le 2 juillet
1999, Renault rachetait le constructeur roumain Daeia (qui
fabriquera la Logan à partir de fin 2004). Le 21 avril 2000, Renault
rachetait le constructeur sud-coréen Samsung Motors. Le 26 avril
2000, renault cédait sa branche « camion » à Volvo en échange de 20
% du groupe suédois. Le 30 octobre 2000, Nissan prenait 15 % de
Renault, qui montait alors à 44,4% dans le constructeur nippon et
l'État s'engageait à descendre à 25 dans le capital de Renault. Il
ne devrait pas toutefois abandonner toutes ses fonctions au sein de
Renault, comme il a été dit, puisque, depuis avril 2005, le conseil
d'administration du groupe automobile est dissocié de la direction
générale. C'est donc la direction générale qui reviendra en fait à
Ghosn, tandis que Schweitzer prendra la présidence du conseil
d'administration.
Véritable « Premier ministre bis »
lorsque Laurent Fabius était Premier ministre, cette éminence grise
passe pour coordonner largement depuis lors les réseaux de l'ancien
Premier ministre et candidat potentiel aux futures élections
présidentielles, en particulier dans le monde des affaires. Il est
notamment l'un des piliers du très discret groupe de réflexion
Fraternité où se retrouvent, une fois par mois, Pierre Joxe (Conseil
constitutionnel), Hubert Védrine (exministre des Affaires
étrangères), Jérôme Clément (PDG d'Arte), Denis Olivennes (PDG de la
Fnac) ou encore le Vert Christophe Girard (rnaire-adjoint à la
culture à Paris). C'est à ce cénacle que Fabius confia ses premières
réticences devant le futur Traité constitutionnel, le seul point de
désaccord entre les deux hommes, puisque Schweitzer y est favorable.
En mai 1995, il a été mis en
examen dans l'affaire du sang contaminé (affaire soigneusement
enterrée depuis lors par les pouvoirs publics. Voir notamment Sang
contaminé : qui a retardé de trois mois le dépistage?, Valeurs
actuelles, 22 août 1998, et Le Monde, 24 mai 1995). 1l a également
été mis en examen, à la fin de 1995, dans l'affaire des écoutes
illégales de l'Elysée. Lors du récent procès (qui ne connaîtra sa
conclusion qu'en septembre prochain, à la suite de la
déclassification par Matignon de documents concernant les écoutes de
la cellule dirigée par Christian Prouteau), son rôle est apparu au
grand jour, ayant autorisé nombre d'écoutes parfaitement saugrenues
(par exemple celle de Carole Bouquet qu'il a assumée). Le procureur
de la République du tribunal correctionnel François Cordier a donc
demandé à son encontre, pour atteinte à l'intimité de la vie
privée », une peine de six mois de prison avec sursis et 6 000 euros
d'amende. À cette occasion, il fut interrogé sur ses revenus et
indiqua alors qu'il gagnait environ 165 000 euros par mois.
Cet amateur de bandes dessinées
(en particulier Tin ii n) appartient au club d'amateurs d'arts
Honoré 91 (son appartement du Pont Neuf, l'un des mieux situés de
Paris, est un véritable musée). ce qui explique sans doute qu'il ait
été nommé à la présidence du Festival d'Avignon. Il est également
membre du Club des Cent, qui réunit les « fines gueules » du grand
patronat, et du club d'influence Le Siècle depuis le début des
années 80 (dont il a été le président en 20032004), mais aussi au
Groupe de Bilderberg (notamment réunion du 22 au 25 avril 1994 en
Grèce) et au principal lobby industrie européen, l'European Round
Table of Industrialists. Il a participé à plusieurs reprises au
Forum économique mondial (appelé aussi Forum de Davos). Il siège au
conseil d'administration de Philips, de Roussel-Uclaf, de Pechiney.
de la BNP et de l'institut français des relations internationales.
Il devrait aussi prendre la présidence non exécutive du groupe
pharmaceutique AstraZeneca. Membre de la direction du Medef, il
appartient à son conseil exécutif depuis 2003 ainsi qu'à son comité
d'éthique entrepreneuriale depuis 2002.1l a surtout remplacé, le 1er
janvier 2005, François Périgot, à la tête du Medef International
dont il assure (L'Express, 18 avril 2005) qu'il ne s'agit « pas
d'un groupe de pression. Il n'exprime aucune opinion, il se contente
de faciliter des rencontres et des échanges. » Ce qui est pourtant
très exactement la fonction d'un groupe de pression... 1l est alors
d'autant plus intéressant de constater qu'il a personnellement tenu
à conserver la présidence de la section Turquie du Medef
International et s'étant déclaré plusieurs fois extrêmement
favorable à l'entrée de ce pays dans l'Union européenne.
La Haute autorité contre les
discriminations et pour l'égalité (HALDE) a été initiée par un
projet de loi, présenté en conseil des ministres, par Jean-Louis
Borloo. le 15 juillet 2004. puis adopté par les Chambres, qui
correspondait au voeux de Jacques Chirac. en date du 14 octobre 2002
: « Je souhaite qu'une autorité indépendante soit créée pour lutter
contre toutes les formes de discriminations, qu'elles proviennent du
racisme, de l'intolérance religieuse, (lu sexisme ou de l'homophobie.
» Seule catégorie oubliée, les actifs de plus de 50 ans, qui, selon
une enquête récente, sont ci] réalité les plus discriminés quant à
l'emploi, l'âge étant un facteur de sélection négative beaucoup plus
que l'origine ethnique ou le sexe. Le responsable de la mission de
préfiguration de la HALDE fut Bernard Stasi, qui. inexplicablement,
refusa d'en prendre la tête.
autre CV .... d'un
ékalitariste
http://ilikeyourstyle.net/index.php/2008/02/12/independance-guy/
*
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La HALDE
Les dix personnalités qui
composent le collège de la HALDE, outre l'ex-PDG Louis Scweitzer
( président de la Halde) de Renault, sont très majoritairement
de gauche, bien que désignées par des personnalités théoriquement <<
de droite » : Nicole Notat, ancien secrétaire gemmerai de la
CFDT et présidente de l'agence (le notation éthique Vii (nommée par
Jacques Chirac), Marie-Thérèse Boisseau, vice-présidente du
Haut conseil de la population et de la famille et ex-secrétaire
d'État aux Personnes handicapées, et Claude-Valentin Marie,
directeur du Groupe d'étude et (le lutte contre les
discriminations,, membre du Comité pour la mémoire de l'esclavage
(désignés par Christian Porcelet, président du Sénat). Anrar Dib,
administrateur du Fonds d'action et (le soutien pour l'intégration
et la lutte contre les discriminations, et Fadéla Amara,
présidente (le Ni Putes ni soumises, conseiller municipal socialiste
(le Clermont-Ferrand (désignés par Jean-Louis Debré, président UMP
de l'Assemblée nationale), Catherine (dite Cathy-) Kopp,
ex-président d'IBM-France et directrice des ressources humaines
d'Accor, et Alain Bauer, ex-responsable socialiste, ex-Grand
Maître du Grand Orient de France, président du conseil d'orientation
de l'Observatoire national de la délinquance, directeur de l'agence
AB Associates (désignés par le Premier ministre Jean-Pierre
Raffarin), Jean-Michel Belorgey, ancien député PS de l'Allier
et ancien président du Fonds d'action sociale pour les travailleurs
immigrés et leurs familles (désigné par le vice-président (lu
Conseil d'État Renaud Denoix de Saint Marc), Bernard Challe,
conseiller à la Cour (le cassation (désigné par le premier président
de la Cour de cassation Guy Canivet), Marc Gentilini, ancien
président de la Croix Rouge (désigné par le président du Conseil
économique et social Jacques Dermagne).
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La HALDE, Big Brother
Nouveaux pouvoirs de sanction
Présent du 3.12.05
PUNIR VITE ET SOUVENT, en provoquant
au délit s'il le faut : c'est ainsi que Dominique de Villepin entend
imposer un « antiracisme » tous azimuts qui permettra de traquer tout
soupçon de « discrimination ». En d'autres temps, ou pour d'autres
délits - les violences, les petits et les grands vols, les « troubles
» dans les cités - on aurait hurlé au « tout répressif ». L'idéologie
du Syndicat de la magistrature, qui a tant de succès lorsqu'il s'agit
de dénoncer la société comme véritable coupable des infractions à la
loi pénale, a décidément des limites. Et ceux qui dénoncent le «
délire sécuritaire » ne s'en plaignent pas. Evidemment.
Deux nouveautés ont donc été
annoncées par le Premier ministre lors de sa conférence de presse
mensuelle, jeudi. D'une part, un pouvoir de sanction immédiat et quasi
pénal va être reconnu à la HALDE (Haute autorité de lutte contre les
discriminations et pour l'égalité). Celle-ci pourra, en dehors de tout
jugement et de toute procédure (et par conséquent sans appel) imposer
des amendes allant jusqu'à 5 000 euros pour les personnes physiques et
25 000 euros pour les personnes morales, dès lors qu'elle les aura
décidées coupables d'une discriminations liée à la race, à la
religion, au sexe, à l'orientation sexuelle ou au handicap. D'autre
part, la pratique du « testing », déjà acceptée par la jurisprudence,
sera reconnue par une loi, dont la HALDE a déjà déclaré vouloir se
prévaloir.
C'est une logique de traque, voire
de persécution sans précédent qui est ainsi installée. Une véritable
incitation à la préférence étrangère, une prime à l'orientation
sexuelle extravagante, la mise en place d'un bras armé qui aura le
pouvoir de « saigner » les petites gens et les entreprises fragiles.
Et l'Eglise : à quand les poursuites pour le refus d'embaucher un
homosexuel affiché dans une école confessionnelle ?
Louis Schweitzer, président de la
HALDE, voit là « un complément très utile » à son action. « Il n'y
avait jusqu'à présent que 40 décisions de justice par année sur des
sujets de discrimination alors qu'il y a des dizaines de milliers
d'actes de discrimination annuellement », assure-t-il. Bien que la
HALDE elle même ne soit saisie que de 3 000 affaires (justifiées ou
non, il ne le dit pas !) chaque année. Pour avoir un effet dissuasif,
affirme-t-il encore, « il faut que la sanction soit relativement
rapide et fréquente ».
Des dizaines de milliers de cas par
an ? Mais alors, tous les Français ou presque sont des suspects
potentiels. Et tous les « hétéros ». Et tous les bien-portants aussi,
peut-être...
C'est bien la logique du « testing
», qui par la présentation de « minorités visibles » aux côtés des
jeunes Blancs dans les entreprises et les boîtes de nuit, permettra de
les débusquer, ces nouveaux suspects.
Notez que SOS-Racisme n'est que
moyennement satisfait. Si l'association se réjouit de la légalisation
du « testing » (« Il va falloir former des brigades spécialisées au
sein de la police judiciaire »), elle fulmine contre le pouvoir de
sanction de la HALDE. Elle dénonce des amendes « dérisoires »,
estimant que « donner ce pouvoir à la HALDE annule tout effet
dissuasif sur les auteurs de discrimination » (sic).
Que les antiracistes institutionnels
se rassurent. Louis Schweitzer s'est empressé de rappeler que « cette
capacité de sanction ne se substituera en aucune façon à celle de la
justice».
JEANNE SMITS
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http://forum.subversiv.com/161277.html
le 12/03/2006 11:20:06, La
racine de vie a écrit :
Affaire Ilan : le Monde
embarrassé par les réactions de ses lecteurs
le Monde cite les faits :
le 1er mars 34 articles étaient parus en 9 jours sur le meurtre d'Ilan
Halimi et seulement un entrefilet de 13 lignes sur le meurtre d'un
inconnu, séquestré, torturé et assassiné par plusieurs personnes pour
son argent.
Les lecteurs ont vivement
réagi et le Monde se retrouve aujourd'hui à tenter de se justifier sans
discréditer ces mêmes lecteurs.
La différence de traitement
des informations a choqué des lecteurs du Monde :
"un salarié de Peugeot a
été séquestré et battu à mort pour de l'argent. Il n'était pas arabe,
juif, noir, homosexuel, ni même journaliste, et n'a pas eu les honneurs
d'un éditorial, plusieurs "unes", et je ne sais combien de pages
intérieures ; seulement un peu plus de treize lignes dans la rubrique
Faits divers. Le Monde serait-il abonné à la pensée unique et au
politiquement correct ?"
D'autres ont réagi à la
qualification rapide d'antisémitisme du meurtre d'Ilan:
- "Racisme, antisémitisme,
folie... Ça aide et rassure de coller une motivation à de tels actes. Et
s'il n'y avait pas d'autres raisons qu'une amoralité totale ? Une
insensibilité absolue ? "
- "Nous sommes nombreux,
juifs et non juifs, à ressentir une certaine gêne (... ) Pourtant, nous
dit-on, sa mort serait "plus grave" encore du fait qu'il était juif.
(...) Pourquoi ? Parce que les juifs sont différents ? L'on retombe dans
le poison de l'antisémitisme, au nom même de la vigilance à le
dénoncer".
Le Monde ne veut pas
endosser cette responsabilité et la rejette sur les politiques :
"Antisémitisme ? Une fois de plus, les dirigeants politiques ont été
sommés - ou se sont sentis obligés - de qualifier des faits qui
n'avaient pas été entièrement établis".
Enfin d'autres lèvent des
problèmes plus généraux :
- "Je veux penser, moi, à
une justice qui condamnera les assassins à la même peine, avec la même
sévérité, sans avoir à imaginer que tuer Ilan Halimi est plus grave que
tuer un Paul Dupont. Parce que précisément, la vie d'Ilan comme celle de
Paul était précieuse, infiniment".
La rédaction du Monde en
acceptant la parution de ces réactions, les légitimise et reconnaît
n'avoir pas satisfait à son obligation de résultat :
"Au-delà des qualificatifs,
la place même que le journal consacre à un événement est une manière de
le commenter. Les lecteurs ignorent la "cuisine" interne d'une rédaction
(...). Ils ne voient que le résultat : le salarié de Peugeot a eu droit
à treize petites lignes dans Le Monde, et l'on ne connaît même pas son
nom".
Le Salon Beige écrivait
pourtant le 27 février que cette victime s'appelait Benoît Savéan.
Roselmack
le 12/03/2006 13:10:29,
Atys a écrit :
http://forum.subversiv.com/161303.html
http://lamesseenmer.hautetfort.com/
Ils l’ont fait.
Ces rats morveux ont enfin
franchit le Rubicon. Ils ne méritent que le mépris pour avoir choisi le
déshonneur. Ils ont nommé Harry Roselmack, un « noir » d’origine
martiniquaise, pour remplacer Patrick Poivre d’Arvor, lors de ses
vacances. Ils l’ont nommé parce qu’il est « noir » ! Se rend-on bien
compte du scandale de cette nomination ? Il n’a pas été nommé pour ses
compétences, ou parce qu’il couchait avec Etienne Mougeotte, mais parce
qu’il est « noir » ! Une telle décision me donne envie de vomir. Vomir
sur cette chaîne qui abrutit les français fatigués de ne plus se battre,
vomir sur ce gouvernement qui a proclamé la discrimination positive
comme programme absolu, vomir sur ce soi-disant président demandant aux
chaînes de télévision d’augmenter les quotas des « minorités visibles »
sur nos petits écrans ! Harry Roselmack était peut-être le meilleur (au
pieu ou sur le papier), mais il est là parce qu’il est « noir ».
Cela signifie qu’il était
moins bon que tous ces petits blancs petits bourgeois qui
s’agglutinaient aux portes du 20h, et qu’on l’a choisit parce qu’il est
« noir ».
Cela signifie que
désormais, ce n’est plus la compétence qui est la règle mais « l’espèce
» plus ou moins protégée à laquelle vous appartenez ! Cela signifie exit
Thomas Hugues parce que tu es peut-être meilleur mais blanc !
Cela signifie que depuis 30
ans, ceux qui étaient là, l’étaient non pour leurs compétences mais
parce qu’ils étaient blancs et qu’alors on pratiquait la discrimination
négative ! Cela signifie que cette nomination jette tout le discrédit
sur une profession déjà bien mal en point sur ce sujet, et tous les
hommes de bonne volonté qui souhaitent réussir par leurs compétences !
Harry Roselmack, tu dois refuser cette nomination pour ta couleur de
peau et l’exiger pour ta compétence ! L’honneur passe par ce refus !
Napalm Valley

"Recherche filles typées
et métissées"
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2007/05/histoires_de_ra.html#comments
L’ECRI s’inquiète de la
situation des Roms, des juifs, des musulmans, des Noirs dans les 47
pays membres du Conseil de l’Europe, et pointe du doigt les
responsables :
"Les discours xénophobes
vivent leurs beaux jours dans les pays où le passage à une société
multiculturelle suscite des peurs qui rencontrent un écho, dans un
contexte de crise économique et de mondialisation posant, pour
beaucoup de citoyens, la question de l’identité nationale
(…) y compris par les partis politiques
traditionnels de nombreux pays."
L'Ecri
recommande même au gouvernement irlandais de créer des
écoles multiconfessionnelles ou laïques qui offrent une réelle
alternative au quasi monopole de l'enseignement catholique !
En France, nous avons déjà la Halde qui
lutte contre les discriminations. Mais à sens unique. La preuve, cette
annonce de l'agence de mannequin Elite
qui recrute ses futurs top models, relayée par plusieurs
radios et journeaux :
"Recherche filles typées et
métissées"
Ce qui fait dire à
Caroline Parmentier : "imagine-t-on le tollé si
le casting avait été : « recherche blanche, blonde, type nordique
» ?"
Michel
Janva (via Présent)

25.08.2007
"Ces actions ne visaient pas les secteurs juif ou
musulman du cimetière, situé dans le centre-ville de Toulouse, et où,
début août, une vingtaine de croix avaient été renversées".

27.08.08
Anne-Marie Le Pourhiet
Une video
http://www.dailymotion.com/video/x74nmu_lois-memorielles-lois-scelerates_news
Mais surtout un article :
http://www.communautarisme.net/Anne-Marie-Le-Pourhiet-la-discrimination-positive-marque-le-retour-au-droit-des-orangs-outans-_a621.html
Dont l'extrait :
Le mot « discriminer » n’a a priori aucun sens péjoratif ou
répréhensible puisqu’il désigne simplement le fait de distinguer,
séparer, sélectionner ou discerner et vous m’accorderez qu’il est en
principe tout à fait louable de savoir distinguer les êtres, les
choses, les caractères ou les oeuvres. Il est rassurant de jouir de
ses « facultés de discernement » et c’est le contraire qui est jugé
inquiétant par le corps médical. Savoir distinguer un homme
courageux d’un lâche, un homme vertueux d’un fainéant, un savant
d’un ignorant, le permis de l’interdit ou encore un chef d’œuvre
d’un barbouillage est traditionnellement une qualité.
Il se trouve cependant que par un glissement sémantique dont on
ignore l’origine mais qui est peut-être lié au goût postmoderne pour
l’indifférenciation, le terme de discrimination a acquis une
signification essentiellement péjorative désignant des distinctions
arbitraires et mal fondées. Dès lors, une discrimination devient une
sélection négative préjudiciable à celui qui la subit au point
d’être moralement et/ou juridiquement condamnée. C’est ce qui
résulte clairement de la politique dite de « lutte contre les
discriminations ». On n’affirme pas haut et fort vouloir lutter
contre de bonnes actions. En conséquence, parler de discrimination
positive n’a a priori pas de sens puisque cela revient à reconnaître
un caractère positif à ce contre quoi on prétend lutter y compris
pénalement ! Il faut donc être cohérent : si la discrimination c’est
le mal, alors toutes les discriminations sont mauvaises, sans
exception.
La vérité est cependant plus complexe car elle est essentiellement
idéologique.
Tout d’abord, il n’est plus certain que la capacité de discernement
soit encore perçue comme une qualité dans nos sociétés. Distinguer
une tenue de sport d’une tenue de classe et s’étonner qu’une élève
vienne au collège en jogging constitue désormais une « humiliation
», de même que rendre les copies par ordre de notes décroissantes
(Le Monde, 14 septembre 2005) ; qualifier un certain art
contemporain d’« excrémentiel » est un scandale ; distinguer les
sexes et les âges est pénalement répréhensible tandis que
différencier l’enfant légitime de l’enfant adultérin est civilement
inacceptable ; donner une dictée ou une dissertation à faire à des
élèves ou candidats est un « mode de reproduction des inégalités
sociales » ; vouloir sélectionner à l’entrée des Universités est une
faute politique impardonnable. De façon plus générale, sélectionner,
préférer, hiérarchiser ou tout simplement juger est devenu
révélateur d’une « phobie » c'est-à-dire d’une maladie mentale à
soigner d’urgence par les moyens idoines.
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