Noël .... la fête païenne ancestrale Européenne ...au solstice ...

Dossiers :civilisation

Présentation :... vision intéressante qui nous nous la continuité dans l'évolution des rites de l'homme .. de ENUN vers homocoques  ... de la lumière du Soleil à la Lumière du Verbe ... de  ....

Ce texte se situe dans la mouvance du  GRECE  ...

Avons en ce Noël 2005 allumé les trois bougies ... en présence d' enfants et de petits enfants lumineux ..  En annexe la carte de Noël 2005 dessinée par les petit enfants ... à partir d'un modèle adapté ... les anges jouant les instruments pratiqués par chacun d'entre eux ...

Extraits :  Pendant que le feu brûle toute la famille se réunit autour de la table. Il faut alors allumer trois bougies symboliques de cette veillée, représentant des parents disparus, des amis absents et des enfants à naître. Elles doivent se trouver sur le même et unique bougeoir, de préférence en fer. ....Cette fête est aussi une manière de marquer notre lutte pour ne pas oublier les hauts faits de nos pères et transmettre notre héritage à nos descendants. Que cette nuit magique vous apporte à tous la force et le courage de continuer coûte que coûte notre combat. Prolongeons notre lignée et restons fidèle.

en z relations .... Noêl d'ensembles-homocoques ... de la Lumière ... de la Vie ... de la Renaissance .... présent lieu du passé et du futur ..  ... incarnation ... multiple et un ....

Noël revient !....  Lancé en 2001, le “Buy Nothing Christmas” invite la population canadienne à “décommercialiser”  Noël

“Il est facile de voir qu'il n'y a pas de sociétés qui puisse prospérer sans croyances semblables, ou plutôt il n'y en a point qui subsiste ainsi ; car, sans idées communes, il n'y a pas d'action commune, et, sans action commune, il existe encore des hommes, mais non un corps social.” Tocqueville,

La Genèse : les origines du mandat de l'humanité 1. De la création au déluge

Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre. En la terre était vide et vague, les ténèbres couvraient l'abîme et le vent de Dieu agitait la surface des eaux.

Dieu dit : «Que la lumière soit » et la lumière fut. Dieu dit que la lumière était bonne, et Dieu sépara la lumière et les ténèbres. Dieu appela la lumière « jour » et les ténèbres « lui. » Il fut un soir et il y eut un matin : premier jour.

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  une philosophie de la chair C’est Dieu qui continuellement nous engendre par la puissance de sa vie infinie. Notre vrai père, c'est Dieu dont nous recevons la vie. Lui ne l’a pas reçue, car il est la vie même. Nous naissons d'abord en Dieu....

 

 
 

Le solstice d’hiver, fête ancestrale Européenne

 

Auteur:   Ja

Source:  http://qc.novopress.info/?p=1709#more-1709

Date :  21 December 2005      

Cette période plus répandu sous le nom de Noël, portait différents noms selon les pays de France.

Yul en Normandie, Nedelec en Bretagne, Nadal en Languedoc, Nan en Anjou, Poitou et Charente, Calendo en Provence, Chalende en Dauphiné par exemple. Son temps est de douze nuits mais peut varier selon les contrées. Durant les douze nuits de célébration, la nuit la plus importante est la plus longue de l’année, le 21 décembre. C’est le solstice d’hiver à partir duquel le soleil invaincu remonte progressivement sur l’horizon. C’est le perpétuel cycle de la mort et de la vie, du Ragnarök et de la renaissance. A la fois fête des morts, du clan et de la fécondité, cette tradition enracinée jusqu’au plus profond des âges nous rappelle combien il est important de préserver nos mémoires en ces temps de chaos. Car une Nation sans passé est une Nation morte. A chacun donc de perpétuer la tradition en famille autour d’un bon repas, d’un feu chaleureux et d’un bon verre de vin chaud !

Dans tous les pays nous retrouvons de grandes affinités communes, je parlerais ici plus particulièrement du solstice Nordique. Tout d’abord, décorons la maison avec des branchages de gui, de sapin et spécialement de houx, qui accrochés sur les murs ou au plafond offriront la présence de la nature. Couronnes et guirlandes doivent être nouées de rubans en papier doré. Afin de respecter une certaine harmonie nous limiterons à deux le nombre coloris. Chaque territoire à ses couleurs, rouge et jaune en Normandie et en Occitanie. Noir et jaune pour la Flandre. Rouge et blanc en Alsace. Les feuillages peuvent également être rehaussés par des petits objets en paille tressée et noués de rubans rouge. Dans un petit rondin de boulot nous graverons les Runes du Futhark Germanique qui correspondent à chaque membre de la famille. A l’extérieur, on suspend avec des rubans rouges sur la porte de la maison une grosse boule de gui. On la brûlera généralement dans le feu lors de la dernière veillée du cycle des douze nuits. L’incontournable sapin, symbole le plus populaire dans le monde, prend ses origines dans l’antiquité Païenne. La forêt et les arbres (Yggrasill, Irminsul…) ont une importance rituelle capitale. Le sapin doit être choisi le plus haut possible avec ses racines de manière à pouvoir le replanter par la suite. Il doit être décoré de rubans de couleurs, de bougies (éviter les guirlandes électriques), de boules colorées, d’oranges plantées de clous de girofle, de petits gâteaux et d’objets en paille tressée. Il faut placer au sommet de l’arbre un symbole solaire. Soleil de paille ou roue solaire.

Le soir du solstice d’hiver, le maître de maison va choisir une bûche de bois. Elle aura un rôle primordial dans la veillée. C’est un élément clé de la décoration du foyer et du déroulement du rituel. Présente dans la plupart des pays Européens, elle porte le nom de Trefouet en Normandie, Kerstblock en Flandre, Holtzklotz en Alsace, Kef an Nedelek en Bretagne, Choque en Picardie, Coque en Champagne, Catsaou en Gascogne, Tronche en Savoir et Franche-Comté, Cachafuec à Nice, Tio en Roussillon, Calignaou en Provence, Turro de Nadal en Languedoc, Cippo en Corse… Cette bûche devra être décorée par l’épouse, avec du feuillage de houx, de sapin et du gui, puis entourée de rubans de couleurs. Des devises, Runes ou symboles peuvent être gravé sur la parcelle de bois. Par la suite, juste avant d’être placée dans la cheminée, la bûche doit être arrosée d’eau de vie par l’enfant le plus jeune. Le plus âgé des enfants, lui, placera ensuite cette bûche sur une structure consciencieusement préparée de papier froissé et de brindilles. Il doit ensuite allumer le feu avec un tison provenant du solstice d’été précédent et dire : « Que cette flamme venue du jour le plus long de l’année nous éclaire pendant la nuit la plus longue. Qu’avec elle, le soleil revienne dans notre demeure. »*

Pendant que le feu brûle toute la famille se réunit autour de la table. Il faut alors allumer trois bougies symboliques de cette veillée, représentant des parents disparus, des amis absents et des enfants à naître. Elles doivent se trouver sur le même et unique bougeoir, de préférence en fer. Le père allume d’abord la bougie rouge en disant : « J’allume cette flamme en souvenir de tous les morts de la famille qui nous ont précédé sur cette Terre et sans qui nous ne serions pas ce que nous sommes». La mère allume ensuite la bougie bleue en disant : « J’allume cette flamme en témoignage de fidélité à tous le parents et amis absents qui ne peuvent se trouver avec nous ce soir mais qui partagent notre foi dans le retour de la Lumière. » puis, la personne la plus âgée allume la bougie verte en disant : « J’allume cette flamme en espérance de tous les enfants qui naîtront dans notre communauté et perpétueront à leur tour le feu du soleil ». Les trois bougies allumées, des petits présents symboliques liés à la cérémonie sont offerts à chacun. Juste avant de commencer le repas, arrive le grand moment pour le maître de maison d’allumer la bougie se trouvant au sommet de la Tour de Jul, elle doit être en partie déjà consumée et ne doit durer que le temps de la veillée. Il doit alors prononcer ces mots : « J’allume cette dernière flamme de l’année qui s’achève. Qu’elle éclaire de sa lumière et de sa joie la veillée du solstice d’hiver de l’an (ici la date) parmi tous les membres de la famille… (ici le nom) ». La bougie qui se trouve à l’intérieur de la tour symbolise l’année à naître du cœur même de l’année qui s’achève. Cette bougie doit rester éteinte jusqu’à minuit.

Vient alors l’heure du repas, pendant lequel il faut absolument que toute la famille prononce les trois appels pour les Dieux Scandinaves Thorr, Freya et Odinn. Commençons notre repas de solstice d’hiver par l’incontournable nourriture de l’Atlante. Chaque territoire a ses propres recettes, même si beaucoup restent proches. Il est toutefois inconcevable de ne pas manger des produits de la mer. Après cette première dégustation, le premier appel doit être porté: « Buvons à la santé du Dieu Thor! Qu’il nous apporte la Force dans nos combats

Nous pouvons ensuite manger du savoureux boudin blanc puis, le plat principal qui ne peut être autre que du porc. Tradition oblige, hors de question de manger de la dinde ou du coq ! Le mieux étant un animal entier, rôti et bourré de farce. Il doit être accompagné de pommes de terre ou de purée de marrons et de pommes « grises ». Après avoir manger le porc, il faut porter le second appel : « Buvons à la santé de la Déesse Freya ! Qu’elle nous apporte la Fécondité dans nos travaux. »

Le banquet continue avec une salade d’hiver, mélange d’endives, de betteraves rouges, de noix, de pommes émincées assaisonnées de jus de citron et de crème. Les pommes et les noix ont toujours fait partie du menu du solstice d’hiver. Dans ces fruits se cache le noyau de la vie éternel. On accompagne ce met de fromage du pays. L’instant de porter le dernier appel est arrivé : « Buvons à la santé du Dieu Odinn ! Qu’il nous apporte la Sagesse dans nos audaces. »

Enfin pour finir le dessert prend place, aujourd’hui il est souvent une bûche glacée ou pâtissière, c’est une hérédité inconsciente de la bûche de bois utilisé par nos ancêtres. Nous pouvons plus traditionnellement créer des petites pâtisseries en formes de bouc, cheval et sanglier, ou cuisiner des gâteaux à base de pommes ou de noix et de marrons. Quand à la boisson elle dépend de la tradition régionale mais reste fréquemment du vin chaud, en particulier le « glögg », alcool coutumier du Grand Nord. Le repas est consommé, l’heure de la veillée commence autour du feu. Chacun peut y lancer des écorces gravées de Runes en formulant un vœu, un serment. Nous pouvons également lire des récits, des contes.

Cette fête est aussi une manière de marquer notre lutte pour ne pas oublier les hauts faits de nos pères et transmettre notre héritage à nos descendants. Que cette nuit magique vous apporte à tous la force et le courage de continuer coûte que coûte notre combat. Prolongeons notre lignée et restons fidèle.

Par Hervald RAMBERT

* En Pays d’Oc, la phase rituele est “A l’an que ven, e se sem pas mai, seguen pas mens !”

 

Ce texte se situe dans la mouvance du  GRECE  ...  http://www.alaindebenoist.com  ... dont le logo ci-dessous est le sien .... et qui ressemble étrangement à celui de homocoques ... à l'exception du rond qui l'entoure et qui lui fait une tendance d'ensemble-ENUN ... à chacun sa totalité ... vision archaïque .. celle du choc des civilisations à la laquelle seule la vision de homocoques apporte un réponse ..

texte hébergé en  12/05

 

 
Carte de Noël 2005

chantons la Lumière ...

Chantons Noël !

 

 

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