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      Prix pour la Vie  ...2007... 
      premiers lauréats | 
     
    
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      Dossiers
      :
  la Vie    | 
     
    
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        Présentation :...Les premiers lauréats du prix du « Mystère de la vie », fondé en 
            octobre 2005 par l’archidiocèse de Séoul pour la sauvegarde et la 
            dignité de la vie  , ont tenu à témoigner que ces prix qui les 
            honoraient aidaient aussi le public à mieux prendre conscience de 
            l’importance de l’ensemble des questions liées à la vie humaine et 
            de l’inviolabilité de celle-ci.  
        
        
        Extraits :   Les 
        premiers lauréats du prix du « Mystère de la vie », fondé en octobre 
        2005 par l’archidiocèse de Séoul pour la sauvegarde et la dignité de la 
        vie, ont tenu à témoigner que ces prix qui les honoraient aidaient 
        aussi le public à mieux prendre conscience de l’importance de l’ensemble 
        des questions liées à la vie humaine et de l’inviolabilité de celle-ci.
         
        
        en 
        z 
        relations
        ....   homENMULTETUN .... Dieu ... Michel Henry ... 
        
      
          Robert Edwards doit 
        sa célébrité internationale au fait d'avoir été le premier 
        homme à obtenir des embryons humains par fécondation in vitro et Louise 
        Brown, premier "bébé éprouvette" au monde 
       
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            Séoul : Mgr Sgreccia parmi 
            les 5 lauréats du prix du « Mystère de la vie » 
            Aux côtés de Mme Glendon  
             
            ROME, Jeudi 1er février 2007 (ZENIT.org) 
            – Mgr Elio Sgreccia, évêque et président de l’Académie pontificale 
            pour la vie, reçoit un « Prix pour la Vie », à Séoul, dont el 
            diocèse distingue cinq personnalités et une institution comme 
            premiers lauréats du prix du « Mystère de la vie », aux côtés de Mme 
            Glendon, annonce « Eglises d’Asie » (eglasie.mepasie.org). 
             
            Les premiers lauréats du prix du « Mystère de la vie », fondé en 
            octobre 2005 par l’archidiocèse de Séoul pour la sauvegarde et la 
            dignité de la vie (1), ont tenu à témoigner que ces prix qui les 
            honoraient aidaient aussi le public à mieux prendre conscience de 
            l’importance de l’ensemble des questions liées à la vie humaine et 
            de l’inviolabilité de celle-ci.  
             
            C’est le 15 janvier dernier, dans un bâtiment proche de la 
            cathédrale Myeongdong (Myondong) que le « Comité pour la vie » de 
            l’archidiocèse de Séoul a décerné pour la première fois les prix du 
            « Mystère de la vie » à cinq personnalités et une institution, pour 
            leurs travaux sur le traitement d’affections graves conduits dans le 
            respect de la dignité de la vie humaine. Ces prix seront décernés 
            annuellement. 
             
            Dans la catégorie ‘lettres’, Mgr Elio Sgreccia, évêque et président 
            de l’Académie pontificale pour la vie, et l’Institut catholique de 
            bioéthique de l’Université catholique de Corée (CUK) ont été 
            distingués pour leurs études et leurs travaux sur la bioéthique. Mgr 
            Sgreccia travaille sur le génome humain et les chromosomes et 
            l’Institut de bioéthique œuvre à faire connaître l’enseignement de 
            l’Eglise catholique sur la recherche des cellules souches. 
             
            « Aujourd’hui, le respect de la dignité de la vie humaine passe 
            après le profit financier », a déclaré à la presse un des 
            récipiendaires, Augustine Oh Tae-hwan. « Ce prix éveillera 
            l’attention des gens sur la tendance actuelle de la société à 
            dévaluer le prix de la vie humaine », a précisé le scientifique, 
            directeur du Centre de recherche sur les affections cérébrales liées 
            à l’âge, de l’université Kyunghee, à Séoul. 
             
            Un autre lauréat, Heinz Wassle, directeur de l’Institut Max Planck 
            pour l’étude du cerveau à Francfort, en Allemagne, a repris en écho 
            les vues d’Oh Tae-hwan. Heinz Wassle a estimé que ces prix seront un 
            signal pour le gouvernement sud-coréen à ne plus soutenir, comme il 
            l’a fait jusqu’à maintenant, la recherche sur les cellules souches 
            embryonnaires (2). Le soutien du gouvernement à ces recherches a été 
            mis en évidence lors du scandale qui a éclaté, en 2005, avec la 
            découverte des falsifications auxquelles s’était livré le professeur 
            Hwang Woo-suk dans ses expérimentations sur le clonage d’embryons 
            humains (3). 
             
            Le Comité pour la vie est doté d’un fonds de 10 milliards de wons, 
            soit 6,5 millions d’euros, pour soutenir la recherche sur les 
            cellules souches adultes et développer une « culture de la vie » 
            dans et hors de Corée. Au contraire des recherches sur les cellules 
            souches embryonnaires, les recherches sur les cellules souches 
            adultes n’impliquent pas la destruction d’embryons. 
             
            Les prix décernés par ce Comité pour la vie récompensent trois 
            catégories : sciences de la vie, lettres et action sociale. Oh 
            Tae-hwan, Heinz Wassle et Chung Myung-hee, un professeur de 
            pharmacologie de l’Université nationale de Séoul, ont reçu le prix 
            dans la catégorie des sciences de la vie. Oh Tae-hwan a été 
            distingué pour son travail thérapeutique sur les lésions de la 
            moelle épinière, Chung Myung-hee pour ses recherches sur l’ADN et 
            Heinz Wassle pour celles sur l’œil et le cerveau. 
             
            Quant à Mary Anne Glendon, professeur de droit à l’Université 
            d’Harvard, elle a reçu le prix de l’action sociale pour sa lutte 
            contre l’avortement. A l’occasion de la cérémonie des remises de 
            prix, Mary Anne Glendon, qui est aussi présidente de l’Académie 
            pontificale des sciences sociales, a donné une conférence où elle a 
            expliqué que, selon elle, l’éthique liée à la paix, à la justice, 
            à la pauvreté et à l’environnement est « inséparable » de celle liée 
            à l’avortement, l’euthanasie et les manipulations de l’embryon. 
            La tendance qui consiste à voir l’une indépendante de l’autre ou à 
            mettre en avant l’une au détriment de l’autre est dangereuse, 
            a-t-elle insisté, citant l’exemple des militants anti-avortement aux 
            Etats-Unis qui doivent faire comprendre que leur engagement est un 
            engagement « pour les femmes ». « La femme est trop souvent la 
            deuxième victime d’un avortement, abandonnée par un homme 
            irresponsable et une société qui ne vient pas à son aide », a-t-elle 
            déclaré. 
             
            (1) Voir EDA 428 
            (2) Voir EDA 315, 333, 344, 357, 361, 392, 399, 413, 420, 421, 422 
            et 428  
            (3) Voir EDA 430  
            ZF07020108 
  
           
         
       
        
      
          
          
          
       
      
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