Vers l’abrutissement final !
        La France est malade… Notre pays est tombé aux mains de 
        falsificateurs… 
         
        M. Chirac, élu sur un programme de droite… 
        était en fait un homme de gauche, et l’a amplement prouvé. 
        M. Sarkozy, lui, a carrément fait main basse 
        sur le programme du Front national pour, finalement, faire une politique 
        à l’exact opposé de ce que désirent depuis 40 ans les électeurs de 
        Jean-Marie Le Pen et tous les Français qui ont la tripe patriotique !
        
        Oui, notre pays est malade, notre patrie est 
        moribonde, et ce mot de PATRIE ne signifie 
        d’ailleurs plus rien pour une majorité de Français. 
        Les avatars honteux de notre équipe de football en 
        sont un exemple frappant… Ces mauvais mercenaires… qui se refusent à 
        chanter notre hymne national… et… n’ont pas hésité à se mettre en grève 
        lors d’un Mondial, pour finalement en être exclus, honteusement, sont le 
        reflet exact de notre société de geignards, de râleurs, 
        voire de fainéants, car (certes à des degrés moindres) les choses 
        sont identiques dans la fonction publique, voire dans l’armée… 
        
        Tout cela est le fait d’un immense laxisme, d’un 
        manque de « chefs », d’une immigration invasion, du communautarisme et 
        de la possibilité pour un nombre de plus en plus élevé d’individus de 
        posséder le droit d’avoir deux, voire trois nationalités. 
        
        M. Sarkozy et ses affidés porteront à jamais la 
        tare d’être ceux qui auront porté le coup fatal à la France… bien aidés, 
        en outre, par les hommes de gauche aux idéaux irréalistes, et 
        antinationaux. 
        Le 70e anniversaire de l’Appel du 18 juin 1940, 
        aura été l’occasion d’un rassemblement hétéroclite de menteurs… 
        de falsificateurs… de résistants de la 25e heure 
        qui, de façon assez bizarre, auront tous été d’accord pour falsifier 
        définitivement notre Histoire, et pour, au nom soi-disant de la 
        « vraie vérité »… inculquer aux enfants de France leur « histoire 
        politiquement correcte »… en fait, l’abrutissement final ! 
        
        Pendant une longue semaine d’affabulations, ces 
        messieurs ont tout simplement oublié l’essentiel… à savoir : 
        Dès le 16 avril 1922, des accords secrets 
        avaient été signés entre l’Allemagne nazie et la Russie des Soviets, 
        accords dits de Rapallo. 
        L’URSS s’engageait à livrer 
        à Hitler des centaines de milliers de tonnes de matières premières 
        nécessaires à son industrie de guerre, des minerais stratégiques, des 
        marchandises manufacturées, et lui allouait secrètement de grands 
        espaces pour entraîner ses armées terrestres et aériennes. 
        La pièce maîtresse de ces accords secrets était un 
        réseau de fournitures de produits pétroliers, dénommé 
        DEROP, Deutsch-Russische Petroleumgesellschaft, qui 
        permettait aux bolcheviques de fournir tous les carburants nécessaires 
        aux divisions motorisées et blindées teutonnes, et ce, jusqu’à 
        l’occupation de Paris. Ce qui valut les félicitations de Staline au 
        Führer. 
        Le 23 août 1939 Molotov pour Staline, et
        Ribbentrop pour Hitler, signent un pacte de non-agression. 
        Immédiatement, tous les partis communistes du monde s’alignent sur 
        La Mecque bolchevique et prônent l’entente avec l’Allemagne nazie.
        
        Devant le défaitisme du parti communiste dit français, 
        qui organise des sabotages dans nos usines d’armement, le 20 février 
        1940, l’Assemblée nationale, issue du Front populaire, vote 
        la déchéance de 60 députés communistes sur 67. Elle interdit la parution 
        de Ce Soir et de L’Humanité, puis dissout le 
        parti lui-même. Maurice Thorez, son secrétaire général, 
        déserte. Il passera toute la guerre tranquillement près de Moscou, 
        sous le nom d’Ivanov (sic). 
        Lors de l’offensive suivant la « drôle de guerre »,
        Hitler ménage le corps expéditionnaire anglais, à deux doigts 
        d’être anéanti à Dunkerque et pour cela, le 24 mai 1940, donne 
        ordre à ses troupes de lever le pied. 
        Le 14 juin 1940, les troupes allemandes entrent 
        dans Paris, déclarée ville ouverte depuis le 11 juin. 
        Dès le 15 juin 1940, des émissaires du « PCF 
        clandestin » réfugiés en Belgique, arrivent à Paris en voitures 
        diplomatiques avec toutes les autorisations de circulation nécessaires 
        leur permettant ainsi de traverser toutes les lignes allemandes. 
        
        Il s’agit de Jacques Duclos, chef de la 
        direction du PCF, caché en Belgique depuis le
        26 septembre 1939 ; de Maurice Tréand, chef de 
        l’organisation clandestine du PCF, et d’Eugen 
        Fried, représentant officiel de Staline en France. Ils sont logés le 
        soir même à l’Ambassade soviétique de Paris. 
        Le 18 juin 1940, le jour même de l’appel de De 
        Gaulle à la continuation de la guerre, nos trois compères entament des
        pourparlers avec les Allemands pour faire reparaître 
        L’Humanité. Ils s’engagent à soutenir la politique de collaboration 
        russo-allemande, et prônent une entente Allemagneb>RussieFrance.
        
        Pour ce faire, ils envoient une délégation de trois 
        militants, dont Maurice Tréand et Denise Ginollin, à 
        la toute récente Kommandantur avec ordre d’y rencontrer le 
        lieutenant Weber, chargé de la presse pour la Wehrmacht… 
        Pendant ce temps, L’Humanité clandestine 
        appelle la population française à faire bon accueil aux soldats 
        allemands, « prolétaires en uniforme ». 
        Les 21 et 22 juin 1940, la France et 
        l’Allemagne signent l’armistice à Rethondes. Hitler ne demande ni 
        l’Empire, ni la flotte, ni même aucune base navale ou aérienne 
        outre-mer, car il savait que Pétain n’aurait pas accepté. 
        L’histoire, la vraie, retiendra que les premiers à 
        rejoindre De Gaulle à Londres furent des hommes qui aujourd’hui seraient 
        classés à l’extrême droite. 
        Par la suite, les principaux ténors de la 
        collaboration pure et dure… furent des hommes de gauche, 
        Doriot, ancien secrétaire général du parti communiste ; Déat, 
        ancien secrétaire général du parti socialiste… A des échelons bien 
        moindres, apparaissent les noms du père de Jospin… du père de 
        Giscard d’Estaing, sans parler de Georges Pompidou, et le 
        plus malin, qui deviendra le « patron » des socialistes, François 
        Mitterrand, qui sera même décoré de la Francisque. 
        
        Le 27 juin 1940, une nouvelle délégation communiste 
        se rend à l’Ambassade d’Allemagne à Paris, pour rencontrer Otto Abetz, 
        représentant personnel d’Hitler en France. C’est uniquement sur 
        instruction de la police française, encore aux ordres de Vichy, que les 
        communistes, un moment arrêtés, mais libérés par les Allemands, ne 
        réussiront pas à faire reparaître légalement leur presse. L’Humanité, 
        de moins en moins clandestine, continuera pourtant à paraître, attaquant 
        De Gaulle comme Pétain, exhortant les peuples coloniaux à se soulever 
        aussi bien contre la France libre que contre Vichy. Les plus 
        virulents sont les membres des Jeunesses communistes, dont fait partie 
        le « héros » de M. Sarkozy, le jeune Guy Môquet. 
        Un peu partout, les militants communistes qui ne 
        goûtent pas l’entente Joseph-Adolf, et veulent résister à 
        l’occupant, sont abattus par les hommes des TP (Travaux spéciaux) 
        qui deviendront par la suite des FTP (Francs-Tireurs 
        et Partisans). 
        Les communistes jouaient très sérieusement le jeu de 
        l’entente germano-soviétique et les murs de France se couvraient 
        d’une affiche reproduisant un appel de Marcel Cachin, doyen des 
        communistes et directeur de L’Humanité de 1918 à 1939, 
        disant : « Les attentats individuels se retournent contre le 
        but que prétendent atteindre leurs auteurs. Je ne les ai jamais ni 
        préconisés ni suscités. J’en ai toujours détourné mes camarades. »
        
        Le 3 juillet 1940, c’est MERS-EL-KEBIR. 
        Parmi tous les faits, toutes les dates cachées par les « résistants 
        de 2010 », cet oubli est le plus criminel, car Mers-el-Kébir c’est 
        la destruction d’une grande partie de notre flotte… l’assassinat de 
        1 300 de nos marins ! C’est surtout un événement qui donna à 
        réfléchir à tous ceux qui désiraient continuer la lutte aux côtés des 
        Anglais. 
        Le même jour d’ailleurs, Churchill faisait 
        attaquer et saisir tous les bâtiments de guerre français qui s’étaient 
        rendus très nombreux, dans les ports anglais, faisant des morts et des 
        blessés parmi nos équipages qui, presque tous furent emprisonnés 
        avant que la plupart d’entre eux ne demandent à revenir en France.
        
        Précisions elles aussi oubliées, à Vichy, les 9 et 
        10 juillet 1940 les deux Chambres réunies avaient voté les pleins 
        pouvoirs au maréchal Pétain. 
        « Article unique – L’Assemblée nationale donne tous 
        pouvoirs au gouvernement de la République, sous l’autorité et la 
        signature du maréchal Pétain, à l’effet de promulguer par un ou 
        plusieurs actes, une nouvelle Constitution de l’Etat français. 
        
        Cette Constitution devra garantir les droits du 
        travail, de la famille et de la patrie. 
        Elle sera ratifiée par la Nation et appliquée par les 
        Assemblées qu’elle aura crées. » 
        Ce texte a été voté par 569 voix contre 80.
        
        Se sont abstenus, 17. 
        Le 9 juillet 1940, la Chambre et le Sénat avaient 
        voté séparément une « résolution tendant à réviser la Constitution ». 
        Cette résolution qui constitue, en fait, le texte décisif, a obtenu :
        
        A la Chambre, Pour : 395 / Contre : 3
        
        Au Sénat, Pour : 229 / Contre : 1
        
        Dès le 9 juillet 1940, la quasi-unanimité de la 
        Chambre et la quasi-unanimité du Sénat estimaient nécessaire la réforme 
        constitutionnelle. Chacun savait que cette réforme constitutionnelle 
        était liée à l’attribution de pleins pouvoirs au maréchal Pétain.
        
        Quelle était, en effet, la situation en ce début de 
        juillet 1940 ? 
        Plus de 100 000 hommes tués au combat en trois 
        semaines. Des millions de civils errant sur 
        les routes, mêlés à des soldats ayant abandonné tout équipement et tout 
        espoir avec, dans certaines unités, une indiscipline et une 
        anarchie héritées du mauvais esprit propagé par les communistes. 
        
        L’Angleterre : son armée 
        avait été également détruite. Ce n’est d’ailleurs, on l’a vu, que sur 
        ordre du Führer que les troupes allemandes avaient levé le pied… 
        l’Allemagne espérant une entente avec Londres. Accord qui aurait laissé 
        toute l’Europe au Reich allemand et toutes les colonies 
        européennes à l’Angleterre et à la France. 
        La Russie : elle était 
        liée à l’Allemagne par le pacte germano-soviétique du 23 août 1939, 
        et participait à la curée avec les nazis. 
        L’Amérique : le 
        13 juin 1940, M. Paul Reynaud avait adressé au président 
        Roosevelt un appel désespéré. Mais la réponse du Président ne fut 
        qu’une… « manifestation de sympathie ». 
        Le 16 juin 1940, à Bordeaux, M. Paul Reynaud 
        remet à M. Albert Lebrun, président de la République, la 
        démission du Cabinet. 
        Le président de la République charge le maréchal 
        Pétain de constituer un gouvernement. 
        Dans ce gouvernement, entrent deux députés 
        socialistes. Ces deux députés y sont avec l’acquiescement de Léon 
        Blum. 
        Le 9 juillet, à Vichy, a lieu la séance de la 
        Chambre pour travailler sur la résolution tendant à « la révision de la 
        Constitution ». Le principe de cette révision est décidé à la 
        quasi-unanimité (3 voix contre). 
        Cette réunion donne lieu à une allocution élevée et 
        émouvante de M. le Président Herriot, « adouban » le maréchal Pétain.
        
        Au même moment, le Sénat se réunissait sous la 
        présidence de M. Jules Jeanneney, qui passait pour le guide éclairé 
        et le conseiller éminent de la IIIe République. Il sera à la Libération, 
        ministre d’Etat du général de Gaulle. 
        Or, on trouve dans son discours la plupart des 
        arguments et des slogans que la propagande de l’Etat français emploiera 
        à profusion au service du nouveau gouvernement :
        « Le sort de la France semble être de se régénérer dans le malheur. 
        En aucun temps, son malheur ne fut plus grand. A la besogne pour forger 
        à notre Pays une âme nouvelle, pour y faire croître 
        force créatrice et foi, la muscler fortement aussi, 
        y rétablir enfin, avec l’autorité des valeurs morales,
        l’autorité tout court ! » C’est lui qui, dans 
        toutes ses interventions, emploiera les mots 
        Travail-Famille-Patrie ! 
        Le gouvernement des Etats-Unis et le 
        gouvernement de l’Union soviétique, n’ont fait aucune difficulté 
        pour reconnaître de jure le gouvernement de Vichy, et ont, d’une 
        part accrédité auprès du maréchal Pétain des ambassadeurs ; d’autre part 
        ils ont accepté les représentants diplomatiques de ce dernier. 
        
        Le 22 mars 1941, le gouvernement soviétique a 
        élevé à la dignité d’ambassadeur M. Bogomolof, son chargé 
        d’Affaires auprès du maréchal Pétain. 
        Toute cette activité politique légale… découlait du 
        fait que le 16 juin 1940, à Bordeaux, M. Paul Reynaud, 
        président du Conseil, avait remis démocratiquement à M. Albert Lebrun, 
        président de la République, la démission du Cabinet. M. Albert Lebrun, 
        tout aussi démocratiquement, chargea alors le maréchal Pétain de 
        constituer le gouvernement. 
        Ce nouveau gouvernement, comme prévu, demande 
        aussitôt l’armistice. Cet armistice est 
        signé avec l’Allemagne le 22 juin 1940, avec l’Italie 
        le 24 juin 1940. Il n’y eut donc jamais de capitulation !
        
        A suivre 
        
        ............................
        Suite de l’article de Roger Holeindre du 26 
        juin 2010.
        Le 9 juillet 1940, la Chambre des députés et le 
        Sénat se réunissent séparément pour examiner le projet qui leur était 
        soumis par le gouvernement. Les présidents des deux assemblées, 
        M. Herriot à la Chambre, M. Jeanneney pour le Sénat, 
        prononcèrent à nouveau des discours émouvants qui eurent une influence 
        décisive sur le vote. 
        Aussi, par 395 voix contre 3 à la Chambre, par
        229 contre 1 au Sénat, le projet du gouvernement fut adopté.
        
        Les parlementaires comptés comme n’ayant pas pris part 
        au vote, sont ceux qui ne se trouvaient pas à Vichy ce jour-là. 
        Soit parce qu’ils n’avaient pu s’y rendre en raison des difficultés de 
        transport, soit parce qu’ils étaient retenus comme prisonniers par les 
        troupes allemandes, soit parce qu’ils avaient trouvé plus habile de 
        ne prendre aucune responsabilité, soit pour tout autre raison.
        
        Aussi, le 9 juillet 1940, la Chambre et le 
        Sénat, à la quasi-unanimité, font droit à la demande du gouvernement et 
        ainsi que cela leur est demandé dans l’exposé des motifs, manifestent 
        leur confiance au maréchal Pétain, président du Conseil. Il 
        n’y a que quatre opposants. 
        L’histoire… veut que… aucun chef de groupe ou de 
        parti ne demanda la parole pour faire connaître son opinion. Nulle voix 
        ne s’éleva pour combattre le projet. Nulle critique ne fut ouvertement 
        prononcée contre le texte présenté. Personne ne « mit en garde » les 
        députés et les sénateurs contre 
        l’attribution des pleins pouvoirs au maréchal Pétain. 
        Le projet de Loi constitutionnelle est le suivant :
        
        Article unique – l’Assemblée nationale donne tous 
        pouvoirs au gouvernement de la République, sous l’autorité et la 
        signature du maréchal Pétain, à l’effet de promulguer par un ou 
        plusieurs actes une nouvelle Constitution de l’Etat français. Cette 
        Constitution devra garantir les droits du travail, de la 
        famille et de la Patrie. 
        Elle sera ratifiée par la Nation et appliquée par 
        les assemblées qu’elle aura crées. 
        Fait à Vichy, le 10 juillet 1940
        
        Par le président de la République : Albert 
        Lebrun 
        Le maréchal de France, président du Conseil : 
        Philippe Pétain. 
        Ce texte fut voté par 569 voix contre 80
        
        Se sont abstenus : 17
        
        Le nouveau président du Conseil, Philippe Pétain, 
        était en retraite au début de la guerre de 1914. En juillet 1940, 
        l’écrasante majorité de l’Assemblée nationale (Chambre des 
        députés et Sénat réunis) lui remet les pleins pouvoirs… Il a 84 ans.
        
        Il est de bonne guerre de classer tous ceux qui 
        auraient soi-disant refusé de voter pour Pétain, parmi les résistants. 
        Ce qui est certain, c’est que personne, personne jamais n’a entendu 
        aucun éclat de voix, n’a vu un homme se lever et hurler son 
        indignation ou son refus ! 
        Toute la Chambre, l’écrasante majorité des députés et 
        des sénateurs, majoritairement à gauche et pour les députés, 
        issus du Front populaire… ont voté comme un seul homme refusant 
        de prendre en charge la situation réelle du pays, préférant « refiler 
        le bébé » à un vieillard. 
        Car la situation du pays, répétons-le, était 
        dramatique ! La moitié de la France était sur les routes, mêlée aux 
        Belges, aux Luxembourgeois, aux soldats… et pour couronner le tout, nos 
        Alliés de la veille faisaient un carnage à Mers el-Kébir. 
        
        De Gaulle, qui avait sauté le Rubicon, pouvait 
        dès lors pour se couvrir, dire n’importe quoi ! Il ne pouvait pas 
        déclarer le gouvernement du Maréchal « illégal » ! 
        Mensonge que nous payons encore aujourd’hui, car, dès 
        lors, les « gaullistes politiques » firent uniquement la guerre à 
        Vichy et, d’Alger à Paris, ne pensèrent qu’à l’« épuration », justifiée 
        peut-être par quelques rares salauds, mais qui frappa aussi des hommes 
        qui n’avaient fait que leur devoir… sanctions qui firent jurisprudence 
        dans la haute administration, et se font sentir encore aujourd’hui… où 
        chacun ouvre le parapluie. 
        A l’époque, il fallut attendre le 21 juin 1941, 
        et un coup de tonnerre énorme, démentiel… Hitler lance ses troupes à 
        la conquête de l’Union Soviétique. Immédiatement, les communistes, 
        dits français, virent à 180 degrés… Ils n’ont qu’une hâte… 
        Faire oublier qu’ils ont trahi… qu’ils ont collaboré. Ils 
        s’emploient dès lors à supprimer tous ceux qui savent ! 
        Tous ceux qui ont vu ou entendu certaines choses ! 
        
        Au pays des Soviets, le 
        « Petit père des peuples » en appelle à la Sainte Russie et réhabilite 
        toutes les valeurs chrétiennes et monarchiques pour sauver son régime.
        
        En août 1942, il y a un os et de taille : 
        STALINGRAD ! En novembre 1942, les Allemands, sans aucun 
        préavis, occupent la zone libre. A Toulon, comme promis, la flotte se 
        saborde. Les amiraux ont tenu parole ! 
        L’armée française, sauvée par Weygand, rentre à 
        nouveau en force dans la guerre. Les pieds-noirs sont mobilisés au 
        maximum : 17 classes, du jamais vu ! Les troupes indigènes 
        restées fidèles sont là aussi en nombre et en qualité. C’est l’Armée 
        d’Afrique, celle qu’a réussi à préserver Vichy, qui fera le poids 
        auprès des Alliés… avec ou sans De Gaulle la France serait repartie en 
        guerre… Au moment où à travers ce 70e anniversaire de 1940, tout et le 
        contraire de tout est raconté… parfois avec naïveté, souvent avec haine… 
        parlant du maréchal Pétain comme d’un traître. 
        C’est encore une possibilité de réconciliation 
        nationale qui est jetée aux poubelles de l’Histoire ! 
        Pour quels intérêts politiques sordides ? 
        J’aimerais quand même signaler que, en 1942, Churchill 
        qui était plus qu’excédé par De Gaulle (ce dernier devant se rendre en 
        Afrique), fit parvenir à Vichy… pour Pétain, l’immatriculation de 
        l’avion du « Chef de la France libre », l’itinéraire prévu et les 
        escales envisagées… Pétain fit détruire ces documents et déclara :
        « Je ne mange pas de ce pain-là. » 
        A côté des mensonges du « politiquement correct », il 
        y a l’Histoire. Un jour viendra où elle jugera ! 
        Roger Holeindre
        
        Premier vice-président du Front national 
        Président du Cercle national des combattants