....Small is toujours beautiful ....

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 E T    Le culte du gigantisme, ou « macrophilie », aura été le propre d'un XXe siècle plus prométhéen que jamais, avec sa mystique du croître et de l'avoir. Plus haut, plus vite, plus fort. A ce « toujours plus » qui semble inextinguible,

 

 EN UN   Pearce oppose le suffisant, reprenant à son compte le principe de subsidiarité cher à l'Eglise qui veut qu'une action, pour être bonne et efficace, doit être déléguée à la plus petite entité capable de l'exercer, par exemple la famille, sauf là où c'est impossible, par exemple les fonctions régaliennes de l'Etat 1.  Alors, le monde redeviendra à taille humaine. »

 

commentaires en relation....:   1 hcq: au nom du bien commun de la nation, le nous des familles qui la constitue et partie de la famille des nations)

voir pour les commentaires le cas de VOGICA

 

n  

Small is toujours beautiful

Une économie à l'échelle de la famille

Auteur:   Joseph Pearce

Source:  http://www.hommenouveau.fr/pages/boutique/boutique_produit.php?id_produit=44

Date: 24.09.2010

 . 

A peine sorti des presses, le dernier né des éditions de l'Homme Nouveau est salué par Gabriel Rivière, dans Minute de cette semaine.

 

Extrait  d'un commentaire de  Minute :

 
 
« Il y a des livres dont on sait tout de suite qu'ils vont être dévorés sur-le-champ, quelle que soit l'urgence du moment. Ainsi de Small is toujoursbeautiful de Joseph Pearce, ex-punk d'outre-Manche devenu catholique à la lecture de Chestertonet de quelques autres. Depuis qu'il n'écoute plus les Sex Pistols (mais on écoute toujours lesSex Pistols), il enseigne la littérature aux Etats-Unis et explore la curieuse galaxie des écrivains anglais qui ont épousé la foi catholique: outre Chesterton,Tolkien, que tout le monde connaît, C.S. Lewis,que tout le monde devrait connaître, auxquels on pourrait adjoindre Evelyn WaughGraham Greene et jusqu'au cardinal Newman, tous convertis au catholicisme. Et pas des petits écrivains de rien du tout, non, des grands. Ça tombe bien: le gigantisme est le sujet de Joseph Pearce. Il y a plus de trente ans paraissait Small is beautiful (ce qui est petit est beau) de l'économiste Ernst Friedrich Schumacher, immense succès de librairie, devenu la devise de quantité de personnes d'avenir, des néo-poujadistes que n'effraient pas les anglicismes aux écolos qui ont un peu côtoyé l'oeuvre de Proudhon. Nourri de philosophia perennis et de christianisme, Schumacher voulait réconcilier la sagesse des Anciens et l'économie des Modernes. Joseph Pearce a repris la réflexion là où il l'avait laissée. Ça nous vaut cet essai fortifiant écrit dans une langue prompte à tout éclaircir, le tout émaillé de citations bien choisies, d'Aristote à Soljénitsyne, écologiste dans l'âme et décroissant chrétien, qui répondait, à qui lui demandait sa vision de l'économie: « l'autolimitation radieuse ». C'est autre chose que du Cohn-Bendit, non?

Le culte du gigantisme, ou « macrophilie », aura été le propre d'un XXe siècle plus prométhéen que jamais, avec sa mystique du croître et de l'avoir. Plus haut, plus vite, plus fort. A ce « toujours plus » qui semble inextinguible, Pearce oppose le suffisant, reprenant à son compte le principe de subsidiarité cher à l'Eglise qui veut qu'une action, pour être bonne et efficace, doit être déléguée à la plus petite entité capable de l'exercer, par exemple la famille, sauf là où c'est impossible, par exemple les fonctions régaliennes de l'Etat. Alors, le monde redeviendra à taille humaine. »

 

 

 

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... en France ..en Europe ...

...L'amour s'est en effet "refroidi »  ... la charité fait face à l'empire aujourd'hui planétaire de la violence....

Cette montée vers l'apocalypse est la réalisation supérieure de l'humanité. Or plus cette fin devient probable, et moins on en parle.

Il faut donc réveiller les consciences endormies.

Vouloir rassurer, c'est toujours contribuer au pire.

René Girard.

  

 

  "L'esprit constitue un champ de relations tourné vers la totalité de ce qui existe "  Joseph Pieper

Loin que ce soit être qui illustre la relation , c'est la relation qui illumine l'être.     Gaston Bachelard

Les composantes de la société ne sont pas les êtres humains, mais les relations qui existent entre eux.   Toynbee

 

 

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