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Laisse-moi vivre ...... |
Dossier :
la Vie |
Présentation : ce
document reprend l'un des tracts distribué lors de la
manifestation "laissez les vivre" organisée par différentes associations
le dimanche 23 janvier place de l'Opéra (suivi d'un défilé jusqu'a
Montmartre) la participation était de plusieurs milliers de personnes
....beaucoup de jeunes ... et l'ensemble très sympathique .... la presse
n'en aurait guère fait mention .... Ce mouvement me semblait prendre de
l'ampleur ... A cette même manifestation était distribué le tract " NON
à la guillotine blanche mentionné ci-dessous ....Même combat !!!!
Extraits :
«L'embryon ou le foetus ne sont pas des personnes potentielles, ce sont
des
personnes avec un vaste potentiel
résonances :
il ne s'agit pas de condamner les personnes qui avortent ... celles-çi
demandent assistances ... et information ....il s'agit de condamner les
institutions qui banalise et même légalise cette pratique .... qui à
terme condamne définitivement cette société ... la société de l'HOMENTRANCHE....
en
io-relation
.... société mortifère ... Moi,je .. l'HOMENTRANCHE ;;;
le contrôle de la société par le ventre des femmes .... cassage des
coques ...totalitarisme ...untermenschen ....
NON à la guillotine blanche ! ...
Les promoteurs de l'euthanasie sont les mêmes que pour
l'avortement.....
une société mortifère ....Qu'y
a-t-il de plus triste, en effet que de voir une mère supprimer son
enfant, un médecin son patient, une nation, sa jeune population....
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TRACT
Auteur: SOS
TOUT-PETITS
association qui
recueille régulièrement
de futures mère en
détresse et
qui a déjà sauvé plus
d'une centaine d'enfants
Source:
manifestation
Date :
23 janvier 2005
Ô douce mère. laisse-moi
vivre
Êtes-vous contre le martyre d'un enfant
?
Oui, sans aucun doute. Alors pourquoi acceptez-vous
que
soient déchiquetés par jour en France près de 1000 enfants par
avortement
? (Le chiffre
officiel de 220 000 IVG
par an ne recouvrant pas tous les cas. Rien qu'en suivant ce
chiffre, cela représente
déjà 1 avortement toutes les 2 minutes).
Que vous
raconte-t-on à ce sujet ?
«C'est si petit
!»
Arrachez-vous les ailes d'une mouche parce que :
«c'est petit» ?
«Il n'est pas un homme
!»
Et vous, qui êtes-vous
?
Vous avez été celui-là. «Celui
qui sera un homme est
déjà un homme» (Tertullien, rie-rue siècle). Est-il pensable qu'il
n'y ait au début qu'une
«petite chose» et que, subitement, elle devienne homme ?
Alors comment ?
Et quand ?
La réponse
est simple :
il n'y a pas
de «petite chose», il y a un
homme tout de suite, dès la première cellule. C'est ce qu'a reconnu
le conseil de l'Ordre des Médecins (10/1995). Qui êtes-vous pour
récuser son avis ? Ceux qui vous disent : «Il n'est qu'un
caillot de sang» vous mentent. Ceux qui vous
disent :
«Il est une personne
potentielle» trichent sur les mots. Pour eux l'embryon, ou même le
foetus, seraient des
personnes en attente d'humanité. Cette conception n'est pas
scientifique, elle est
idéologique. «L'embryon ou le foetus ne sont pas des personnes
potentielles, ce sont des
personnes avec un vaste potentiel» (Dr Wilkes, président de Right to
Life). Seules sont
potentielles les
cellules parentales qui ne peuvent donner d'être humain que si elles
s'unissent.
«Il n'est pas conscient».
Qu'appelez-vous conscience
?
Conscience d'exister ?
Conscience
morale ?
Conscience spirituelle ?
A 18 jours, son coeur bat. A 8
semaines, il est achevé ;
il n'a plus qu'à grandir.
A 12 semaines, il mesure 10 cm. Il sent, il souffre, il sait. Il
réalise sa peur et
sa souffrance et
cherche à se soustraire à une agression.
«Il sera
malheureux.»
Qu'en savez-vous
?
Vous parlez en désespéré qui
n'imagine que le malheur. De quel droit choisissez-vous à sa
place ? Quel homme subsistera si
l'on tue tous les
malheureux ? «Tuer par
bonté ! » N'est-ce pas une hypocrisie ?
«Et s'il est handicapé
?» Vous n'avez pas à mettre un homme handicapé, même gravement, à la
porte de la réussite et du bonheur. Ils démontrent eux-mêmes le
contraire par leurs belles
victoires. Vous en connaissez certainement des
exemples.
«L'enfant appartient à sa mère. Il est une partie du
corps de la mère. Elle en fait ce qu'elle
veut.»
Faux
! L'enfant
s'appartient à lui-même. Il est différent de la mère. Il est un
autre. Ses 46 chromosomes
viennent du père et de la mère dans une combinaison personnelle et
unique. Ses tissus (son
sang en particulier) ne sont pas identiques aux tissus maternels et
peuvent entrer en conflit avec eux. Le cas du facteur rhésus en est
une preuve. Que cette altérité ne provoque pas de phénomène de rejet
reste une énigme pour la science mais n'infirme pas cette
différence. Ni le père,
ni la mère, ne peuvent disposer de lui comme le maître disposait de
son esclave. Ils n'ont
pas droit de vie
et de mort sur lui. Pour tout homme, la liberté commence à la
conception. Pour le croyant, cet enfant appartient à Dieu.
«Elle en fera un autre.»
Un autre
oui, mais jamais celui-là. Il est unique.
L'enfant non voulu.
L'enfant non désiré est quand même un enfant. Il n'a pas demandé à
venir et
n'a pas à payer de sa vie la légèreté de ses parents. L'appeler «un
accident» est infâme. Êtes-vous
un
accident
? Réalisez-vous
le prix à payer pour quelques instants de plaisir :
la vie d'un enfant ?
«Un enfant, c'est une charge.»
Non, c'est le refus qui est une charge. Ne confondez pas le poids
et
la charge. La charge est le rapport du poids et des forces du
porteur. Le même poids sera une
montagne pour un enfant et une broutille pour un déménageur.
L'enfant accepté apporte avec lui
force, bonheur et courage
;
bien loin de peser, il dynamise
ses parents. En le refusant, vous vous privez de ce
dynamisme. C'est alors qu'il est lourd.
«Une femme est libre de son corps.»
Si
vous voulez, mais le bébé aussi. Liberté pour la
femme,
mort
pour le bébé
!
Ce n'est pas une
formule acceptable.
page2
La liberté.
Que mettez-vous derrière ce mot
?
Le droit de tout
faire
?
Une permissivité sans limite
?
Exiger le
respect de votre liberté, c'est aussi respecter celle de l'autre.
L'avortement n'est pas une affaire
de la conscience
seule, ni même une opinion
:
c'est un meurtre
!
On
ne parle pas de « point de vue», à
propos d'un
hold-up. C'est la même chose ici. Y a-t-il liberté dans l'ignorance
?
On a plongé dans
l'erreur la femme qui avorte ;
elle ne sait pas
ce qu'elle fait. Alors est-elle libre
?
Avez-vous le
droit
d'omettre les cas où une femme avorte sous d'ignobles
contraintes
-
les parents, l'homme, la société
-?
Combien
d'entre-elles ont subi de terribles pressions
?
La liberté de la
femme, oui, mais la vraie liberté.
Vouloir.
«Vouloir, c'est vouloir ce que l'on veut.» (Daniel Pennac).
La femme qui avorte veutelle
ce quelle
veut?
Savoir. «La femme
ne souffre pas
puisqu'elle ne le voit pas. Elle ne sait pas.»
Oui, mais son
corps le sait. La mère profonde le sait. Notre cerveau abrite des
sentinelles
qui nous connaissent
au-delà de notre
conscience et réglent notre vie et notre survie.
Leur
désobéir est mortel.
Prenons l'exemple du taux de sucre dans le sang. Vous ne le
connaissez pas. Mais s'il
s'abaisse dangereusement, vous aurez envie de manger du sucre. De
même, la femme est
avertie intérieurement de
sa grossesse dès les premiers jours. Notre corps sait ce que
nous ne
savons pas.
«Avant la loi,
les femmes mouraient.»
Elle meurent
toujours. Elles meurent
plus.
L'avortement légalisé n'éradique pas l'avortement clandestin
;
le taux de
mort maternelle par
avortement est 4
fois plus élevé aux USA qu'en Irlande (ONU 99).
«Et si elle ne peut pas le garder
?.» Il y a
l'adoption. «Ne tuez pas votre enfant. Donnez-le moi,
je trouverai
quelqu'un qui l'aimera.» (Mère Teresa). L'enfant pourra vivre
heureux.
Quant à la
mère, elle éprouvera peut-être de la tristesse, mais
elle ne sera pas démolie.
Elle aura donné
la vie.
La détresse.
Avant
l'avortement, elle est détresse de situation, socialement
remédiable.
Après
l'avortement,
elle est détresse de l'âme, bien pire que la première
et beaucoup plus
difficile à
guérir. Ce n'est pas pour rien que la proportion de
suicides est significativement plus
grande chez les avortées. Ne croyez pas celles qui vous disent
:
«Ça ne m'a rien fait». Ce sont
les plus malheureuses.
Elles ont mal, là où ça ne se voit pas. Ne dites pas
«détresse» tant que l'avortement
n'est pas fait. C'est après qu'elle commence. Celles qui
l'ont fait ne s'en remettent pas.
Par ailleurs, les dégâts physiques et les séquelles restent
importants :
hémorragies, infections génitales, perforations utérines, stérilité,
fréquence accrue des
cancers du sein...
«C'est la loi.»
Que de vertu
!
On
devrait désobéir à la loi quand elle interdit l'avortement et lui
obéir
quand elle le dépénalise
;
en somme quand
cela vous arrange. Toutes les lois humaines ont interdit
l'avortement depuis au moins 3000 ans (Code d'Hammourabi). La loi
Veil l'a dépénalisé
depuis 27 ans
en
France. Que valent 27 ans contre plusieurs millénaires
?
Ne
confondez pas les lois et les légalités. Les lois sont immuables,
les légalités variables. La loi de la Vie c'est
:
la vie veut
vivre et survivre. La
loi morale c'est
:
on
ne doit pas tuer les enfants. Désobéir est un devoir quand le
meurtre est légal.
Ici, ce n'est
plus la loi qui est transgressée, c'est la transgression qui est la
loi.
La loi le permet
...?
La loi
permet de tuer mais non de s'en consoler.
«Dans certains pays,
on peut avorter
jusqu'à
22
semaines.»
Pourquoi s'aligner sur le pire
?
Des enfants nés avant terme peuvent vivre dès 18
semaines.
«Vous êtes une secte.»
Nous sommes
catholiques, c'est-à-dire «universels».
«Vous êtes raciste.»
Le racisme, comme
le nazisme, sépare l'humanité en deux espèces
:
les hommes qui
ont des droits et les sous-hommes (untermenschen) n'en n'ayant pas.
Vous qui faites de l'embryon ou du
foetus un sous-homme et même une chose, êtes-vous de ce bord-là
?
page 3
«
Que c'est mignon !
». Oui c'est mignon.
Ces pieds minuscules d'un bébé
de 10 semaines portent
déjà les empreintes digitales qui font
de lui un être
unique.
(Photo tirée de Handbook on
Abortion de Right to Lifé)
«Êtes-vous
contre la laïcité
?» Quelle
laïcité ?
Il existe une saine laïcité qui
reconnaît les lois
spirituelles supérieures (ne pas mentir, ne pas tuer un
enfant...).
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«Nous avons conquis un droit».
Faux
! Vous n'avez rien
conquis. Vous avez été les pions de
ces forces obscures qui gouvernent le
monde et qui veulent réduire l'humanité à très peu
d'hommes suivant leur programme avoué
: croissance zéro, population
zéro (Club de Rome). Vous
êtes manipulés par les tenants de la culture de mort qui disent
Interruption alors qu'il s'agit
de Destruction. Qu'appelez-vous
conquête ? S'arroger le droit de tuer un enfant est-il conquête
ou régression ?
Ne sont victoires que celles de la
civilisation : l'amour, la
vérité, la dignité, la loi
naturelle et pour les croyants, la loi surnaturelle. On vous pousse à la
stérilité morale - le
refus de l'enfant -
pour obtenir votre
stérilité physique. Crime n'est pas Droit.
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Avortement par aspiration à
la 10' semaine On introduit dans l'utérus un tube à succion
puissante. L'enfant est attiré et déchiqueté sans anesthésie. Les
morceaux sont ensuite aspirés.
Dans d'autres cas, il est
empoisonné par des solutions de sel hyperconcentrées qui provoquent
brûlures et convulsions. Il se débat et met une heure à mourir. La
mère sent tous ces mouvements.
(Photo tirée de Handbook on
Abortion) |
«C'est l'horreur
!» Oui
c'est l'horreur, mais c'est vrai.
Ayez le courage de
regarder la vérité en face car le mal périt d'être nommé. Si vous êtes
révoltés -
comme nous -,
venez nous rejoindre. Nous disons
NON
à la violence sur
les enfants!
NON
au mépris des plus
désarmés !
NON
aux Innocentes
Vies Gâchées !
Savez-vous ce que
l'on fait de cet enfant ?
Il est jeté à
la poubelle, puis dans un four
crématoire.
Certains sont utilisés dans l'industrie cosmétique. D'autres,
artificiellement
maintenus en vie,
servent de cobayes et sont soumis à des abominations.
«Fascistes, intégristes
!»» Épargnez-nous
ces mots désossés si rabâchés qu'ils ne veulent plus
rien dire. Qui
s'abaisse à ce langage résilie son droit à l'intelligence. Toutes les
religions
condamnent l'avortement. Maurice Thorez le condamnait aussi. Est-il
fasciste ?
page 4
«Et si elle s'est fait violer
?» Tout homme
vivant a droit à la vie. L'enfant d'un viol est vivant. Il
a droit à
la vie. Autoriser l'avortement en cas de viol ne revient-il pas à
autoriser l'avortement, le
viol étant
souvent difficile à prouver ?
L'enfant doit-il payer de sa vie
le crime du père ? Il est
totalement innocent.
Lave-t-on un crime par un crime plus grand ?
Guérit-on un désespoir par un
désespoir plus profond ?
L'enfant du viol est-il obligatoirement haï ?
Non, de nombreux exemples
en témoignent. Les médias
nous imposent ce prêt-à-penser sans espérance. Regardez la vie
plutôt que la télé. Dire «oui» à son enfant, d'où qu'il
vienne, ouvre les vannes d'un bonheur si radieux qu'il guérit et
purifie tout. L'amour est gratuit. Il est un magicien. C'est facile
d'aimer un enfant. La mort n'est
jamais une solution. La vie est la seule réponse au malheur. Croyez
celles qui portent leur
bonheur. Le viol est un phénomène social et moral qu'il faut traiter
par des mesures sociales
et une restructuration morale. Et pourquoi tout d'un coup tant de
viols ? Une société où
l'on viole est une
société malade. Plutôt que de supprimer le produit (innocent) du
viol, supprimons le viol.
Les hommes doivent réapprendre à
respecter les femmes. Enfin, les grossesses après viol sont
rarissimes (0,03 % selon les statistiques), cela pour des raisons
physiologiques : sidération de
l'organisme en
cas de non-désir. On ne base par une loi sur une telle exception.
«Vous êtes intolérants
!» Nous ne
condamnons personne, nous ne condamnons que
l'avortement et
le mensonge. Combien de malheureuses ont crié
: «Je ne savais
pas que c'était un enfant» ?
Nous leur
proposons de venir nous rejoindre.
«Ça
ne vous regarde pas
!» Si, ça nous regarde. Accepter ce meurtre, c'est
être complice.
Avez-vous mesuré le pouvoir dévastateur de l'avortement ?
Un avortement
pour trois naissances en France selon les statistiques officielles
(et probablement bien davantage). Qui
vous aidera dans
la solitude de votre vieillesse ?
Attention
! La pilule du lendemain (comme le stérilet)
est un abortif (effet anti-nidatoire).
La néo-société.
La loi Veil a fait basculer la société. Avant elle,
chacun avait droit à la vie du seul
fait qu'il était
vivant. Ce droit ne lui était pas contesté, c'était un droit
absolu.
Depuis la loi, le droit
de vivre dépend
de nombreux critères :
être conforme à un modèle, ne
pas être en surnombre, ne
pas gêner, être désiré... Il est
devenu un droit relatif.
On peut vous tuer. Qui décidera
de ces consignes
? L'Etat-tyran aurait droit de
vie et de mort sur ses citoyens comme le maître sur ses
esclaves ?
Relativiser le droit de vivre
c'est le supprimer ; le
supprimer c'est supprimer les droits de
l'homme car sans droit à la vie
aucun droit ne vaut. Ceux qui prônent l'avortement et
déifient les
«Droits de l'Homme» vous
prennent pour des jobards car la contradiction est flagrante.
Êtes-vous jobards ou
comprenez-vous à quel point nous sommes déjà engagés dans ce
processus liberticide ?
Pensez-y ! La mort que
vous voulez pour ce petit se retournera contre vous comme un
boomerang. Nous avons
été catapultés par la loi Veil dans une néo-société cruelle où nous
n'aurons plus que des
simulacres de droits. Autrefois, on ne tuait que ses ennemis.
Aujourd'hui, on tue ses propres
enfants !
Ce siècle entrera
dans l'histoire comme le plus mortifère.
Vous qui
rencontrez des femmes en difficultés...
Vous qui
êtes vous-même dans l'angoisse...
Ne restez pas
seule.
Voici
quelques
numéros où vous adresser
SOS Futures
Mères :
01 42 85 14 70 -
SOS Maman (UNEC) : 0134
12 02 68
SOS Tout-Petits :
0147 83 97 42
Croyez-vous à la joie ?
ô mon enfant, ta liberté est de
vivre, ma liberté est de t'aimer
Nos libertés commencent
ensemble.
SOS
TOUT-PETITS BP 243-08 75364 PARIS CEDEX 08
texte hébergé
en 01/05
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