de.

Année de l'Algérie en France, le temps des retrouvailles..... 

France

 

Présentation:  Il est organisé en 2003 une année de l'Algérie en France. La présidence en est confiée à Hervé Bourges...

Extraits: 

..... de Spectacle du Monde: Année de l'Algérie en France, le temps des retrouvailles..... De " la Marseillaise" huée (2001) à certains manifestants du 18 février 2003, beaucoup de fils d'immigrés algériens rêvent d'une identité autre que française.......nous avons décidé que les solidarités humaines seraient désormais «transnationales, « mondiales», « globales », et que les Etats (" trop petits") étaient obsolètes.....

 .... du Libre-Journal: En 1962, La France aussi est devenue indépendante... Je n'ai jamais entendu une seule voix algérienne adresser je ne dis pas des remerciements pour tout ce que la France n'a cessé de faire en faveur de l'Algérie et de ses ressortissants, mais pour reconnaître au moins que les Algériens bénéficient d'avantages dont, par exemple, aucun Français ne risque de profiter en Algérie... Or, non seulement il n'y a pas l'ombre d'une reconnaissance de ce type mais au contraire on manifeste de la haine à notre égard, quand l'occasion se présente

Résonances... rs :A première vue, , à la suite de l'article ci-dessus..la France en tant qu' identité culturelle apparaît très vacillante et n'offre guère plus d'attraits .... autres qu'économiques. Les gouvernements, depuis plus de trente ans, s'emploient à détruire la France... Ne pouvant la gérer, c'est la fuite en avant ... vers le multicultarisme...le communautarisme ... la violence permanente....refusons cette voie.

 

Reflets: France, colonialisme, immigration, communautarisme, racines, intégration, assimilation, Marseillaise, islam, patrie, nation, démocratie,

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Année de l'Algérie en France, le temps des retrouvailles..

Auteur: Patrice de Plunkett

Source: Spectacle du monde, mars 2003

 

 Le 15 février à Paris, cent cinquante mille personnes défilent « contre la guerre en Irak ». Des foules  d'immigrés ont répondu à cet appel. Dans le fleuve humain qui descend le boulevard Saint-Germain  vers la Seine et la Bastille, on voit un bataillon de jeunes Franco-Maghrébins, keffieh au cou, qui accompagnent un énorme char de carnaval : dix mètres de long, cinq mètres de haut, une batterie de haut-parleurs... C'est le « Mouvement de l'immigration et des banlieues » (MIB), réputé pour son extrémisme. Juchés sur ce char, des militants s'époumonnent à lancer les slogans. Que crient-ils dans leur micro ? « Bush, t'es foutu, les Français sont dans la rue ! »  Hilares, et en choeur, les jeunes Maghrébins reprennent : « Les Français sont dans la rue ! »

« Les Français » ? On n'attendait pas ce mot, dans la bouche d'« antikeufs » (antiflics) venus du « 9-3 » (la Seine-SaintDenis)... L'étonnement se répand sur les trottoirs, parmi les centaines de badauds qui regardent passer la manif sous une bise glaciale. Il réchauffe un prof qui grelottait malgré sa tenue d'hiver (bonnet bleu à pompon, anorak mauve, pantalon de velours). « Quel progrès, jubile-t-il, en 2001, ils huaient la Marseillaise ! »

Le prof a parlé trop vite. Si « les Français » sont « dans la rue », cette foule ne s'est munie d'aucun drapeau tricolore. En revanche, et bien qu'Arafat n'ait rien à voir avec la manifestation. on voit des  centaines de drapeaux palestiniens danser au-dessus des têtes. Le plus gigantesque (trente mètres carrés) est tendu sur le char du MIB. Dont les haut-parleurs mugissent un nouveau slogan : « A Ramallah : ré-sis-tance ! En Tchétchénie : ré-sis-tance ! Dans les quartiers : ré-sis-tance ! »

Ce second mot d'ordre annule le premier (qui en appelait aux Français). C'est un cri de guerre civile. Il cherche à importer en France des conflits étrangers. Les « quartiers »,  dans le langage au MIB, ce sont les banlieues françaises ;  « résister dans les quartiers »  signifie s'opposer à la police française, comme d'autres - ailleurs - s'opposent aux Russes ou aux Israéliens. Amalgame délirant, mais qui commence à fonctionner. Depuis quelques années, un nombre inconnu de fils d'immigrés jouent à ce jeu : s'identifier aux « martyrs » alors qu'on vit en France. Fantasmer Gaza ou Grozny dans une banlieue de Lille. Rêver d'une épopée arabe internationale, qui arracherait Hocine et Kamel à la grisaille de l'Hexagone...

Combien sont ces extrémistes ? Impossible à dire. Sans doute une petite minorité.  A l'inverse, combien de jeunes Maghrébins peuvent souhaiter s'enraciner - mentalement, moralement - dans l'univers français ? Sans doute une autre minorité, si l'on en croit les enseignants.

Ces deux minorités sont deux pôles. Entre elles, on voit flotter une masse d'adolescents. Scolarités fantômes. Repères absents (sinon les fringues et les voitures). Délinquance endémique (pour s'offrir « de la marque » : voitures et fringues)... Qui a prise sur cette masse de jeunes ? Ni les enseignants, ni les policiers, ni les « animateurs de quartiers «. Ni même leurs familles... Les sociologues le signalent : le fils de beurs - qui a quinze ans aujourd'hui - est souvent plus « incontrôlable » que l'adolescent de la génération précédente. L'autorité a échappé aux parents. Ils n'ont transmis à leurs enfants aucun bagage moral : ni celui de l'Algérie (perdu de vue), ni celui de la France (hors d'atteinte). Maintenant les enfants fuient l'échec des pères. Ils le font par des chemins divers - et diversement fréquentés. Certains parient sur les études et l'effort. D'autres s'engouffrent dans les gangs de quartier, pour la frime et l'argent. Et quelques-uns se laissent séduire par l'extrémisme, qui leur propose un rêve.

Mais si de jeunes téléspectateurs se rêvent en kamikazes islamistes plutôt qu'en citoyens français, est-ce tout à fait leur faute ? Les extrémistes ont psychologiquement la tâche facile : notre télévision leur prépare le terrain, en montrant aux enfants des banlieues - chaque soir - les violences de la guerre sainte. La civilisation de l'Occident a imposé le règne de l'image ; maintenant l'image se retourne contre cette civilisation.  De même, nous avons décidé que les solidarités humaines seraient désormais «transnationales, « mondiales», « globales », et que les Etats (« trop petits ,) étaient obsolètes. Du coup, à quoi prétendrions-nous « intégrer « nos jeunes fils d'Algériens ? Comment les empêcher de trouver le discours internationaliste de Ben Laden plus « moderne » que celui du maire de Choufleury ? (Sans parler du rêve héroïque et brutal, qui n'est pas la spécialité de nos élus locaux).

L'héroïsme et la brutalité ne sont pas mentionnés ici par hasard. Quand une société - c'est le cas de la nôtre - décide de vivre sans autres valeurs que le confort et la sécurité, elle crée un vide artificiel. Dans ce vide, les instincts primordiaux se dilatent à l'infini. La violence fait partie de ces instincts. C'est pourquoi les adolescents banlieusards de 2003 sont plus violents que ceux de 1993, et rêvent aux kamikazes du Proche-Orient.

C'est aussi pourquoi la soudaine rigueur des lois françaises, depuis quelques mois, a produit l'effet d'une bonne nouvelle dans les banlieues - y compris chez les parents algériens, qui s'en félicitent là où l'on veut bien les écouter. (Chez le médecin ou le commerçant, par exemple ; rarement auprès du journaliste). Populaire chez les mères de famille, haï par les « grands frères « qui jouaient aux caïds, Nicolas Sarkozy semble avoir allumé un contre-feu face à l'extrémisme - en parlant le langage approprié : celui de l'autorité, auquel le MIB appelle à « résister ».

Reste à éteindre l'incendie, ce qui sera difficile. Et à fertiliser le terrain, ce qui sera plus ardu encore.

Patrice de Plunkett

03/03

 

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En 1962, La France aussi est devenue indépendante ...

Auteur: Jean-Pierre Péroncel-Hugoz

Source: Libre Journal N° 290, 2.04.03

 

......Non seulement j'aime les Algériens chez eux mais j'aime en eux, si on me permet ici cette petite parenthèse personnelle, certaines vertus devenues rares de nos jours en France, telles que la foi en Dieu, le patriotisme, la fierté nationale, l'esprit et le goût de la famille, la fraternité confessionnelle, la solidarité ethnique, le carpe diem enfin, c'est-à-dire l'art de saisir au vol la bonne minute qui passe et de s'en régaler jusqu'à la moelle... J'envie même parfois les Algériens et autres Arabes ou Arabo-Berbères, musulmans bien sûr, d'avoir su préserver ces qualités et d'oser les cultiver sui une planète de plus en plis mécanique et déshumanisée.

C'était en 1962. Nous sommes en 2003. Presque deux générations se sont écoulées et la plupart des Algériens font toujours comme si le cordon ombilical n'avait pas été coupé entre l'ancienne métropole et ses départements nord-africains. Mieux, certains Algériens, les Kabyles pour les citer, voudraient que la France revienne en Algérie pour « empêcher le génocide des Berbères par les Arabes ». Ça c'est la meilleure ! Comme si cela nous regardait ! Il nous a fallu supporter, en plein Paris, ces militantes kabyles en costume traditionnel vociférant, injuriant, trépignant parce que « les Français veulent rien faire en Kabylie » ! Vous vous trompez d'adresse, dames berbères, pétitionnez à la Ligue arabe, à l'Organisation de l'Unité africaine, aux Nations-Unies ! La France a quitté votre galère où vous lui avez donné tant de mal, elle ne risque pas d'y revenir, pour se brûler les doigts à vos cent querelles intestines. D'autant moins qu'à peine y aurait-elle posé le pied, la malheureuse France, que vous lui reprocheriez son ingérence, vous vous retourneriez contre elle au nom de l'unité islamique "agressée", ainsi que ce fut toujours le cas chaque fois que les Français voulurent se mêler, pour les calmer, des sanglantes scènes de ménage berbéro-arabes. J'entends constamment des Algériens formuler des requêtes, décocher des reproches à l'endroit de l'État et du peuple français. Je n'ai jamais entendu une seule voix algérienne adresser je ne dis pas des remerciements pour tout ce que la France n'a cessé de faire en faveur de l'Algérie et de ses ressortissants, mais pour reconnaître au moins que les Algériens bénéficient d'avantages dont, par exemple, aucun Français ne risque de profiter en Algérie... Or, non seulement il n'y a pas l'ombre d'une reconnaissance de ce type mais au contraire on manifeste de la haine à notre égard, quand l'occasion se présente. J'étais, le 6 octobre 2001, au Stade de France, devenu pour un triste soir "Stade d'Algérie", et j'y ai vécu les scènes d'hystérie collective violemment anti-française et anti-occidentale, parmi un public à 95 % algérien (sûr de lui et dominateur - mais pas d'élite...). Rien ne peut excuser cette énorme gifle appliquée eu pays-hôte mais rien, non plus, ne peu plus excuser les Français qui ne veulent pas voir que plu on fait de bien eux Algériens plus ils vous veulent du mal. Peut-être est-ce une façon paradoxale de cacher le fait capital qu'ils n'ont aucune légitimité s'incruster chez nous ?

Psychanalytiquement, cette aversion anti-française peu s'expliquer peut-être par le fait que les Algériens, encensé: naguère pour leur "victoire" sur le puissance coloniale français se, se sont crus plus forts que les plus forts et ont pensé qu'ils allaient figurer comme l'un des premiers peuples de l'Univers Or, tout eu contraire, et alors que le France restait en maint, domaines eu pinacle du succès et de le prospérité, l'Algérie, au lieu de devenir un modèle pour le Tiers Monde, se muait en son repoussoir : faillite agricole et industrielle, anarchie politique sanglante, etc.. Songez seulement que le production de blé qui était le seul point fort algérien en 1830 et qui, avec les progrès de l'agriculture coloniale, atteignit le chiffre record de 24 millions de quintaux en 1954, n'est plus aujourd'hui, péniblement, que de 16 à 17 millions de quintaux par an... Et le seul pays à encore tendre le main eux Algériens dans la dèche, ce fut le France. Dure humiliation pour le rive Sud de le Méditerranée où on croyait nous avoir enterrés ! En très peu d'années, le France était redevenue le paradis tendis que l'Algérie s'enfonçait un peu plus chaque jour dans les décombres de l'enfer qu'elle avait su si vite installer chez elle à coups de socialisme et d'islamisme... Y compris le discrimination religieuse puisque dès 1963 fut légalement instituée dans l'Algérie nouvelle une  nationalité à deux étages : la supérieure, irrévocable, réservée eux mahométans de souche ; l'inférieure, le révocable, attribuée eux non-musulmans...

Quant eu comportement systématiquement anti-français des jeunes générations algériennes en France, on en a accusé l'Ecole française alors que les seuls vrais responsables de cette situation de guerre civile larvée, dont on peut évaluer les dégâts eu nombre de voitures brûlées chaque samedi soir, les seuls vrais responsables sont les parents de ces jeunes gens. Oui, ces braves ouvriers, ces silencieuses femmes de ménage n'ont pas élevé leurs enfants dans le respect du peuple d'accueil, comme l'ont fait les Polonais, Arméniens, Portugais, Vietnamiens et autres Serbes, mais dans le mépris des "Gaulois". Impurs, incirconçis, mangecochon, fromages, yaourts, gaouri, kafir, roumi, j'en passe et de pires, tels sont les termes péjoratifs utilisés couramment dans ces familles pour parler des Français. Eux, les Algériens, sont des musulmans, « la meilleure des communautés ,, selon le Coran, et cela les autorise à se croire supérieurs au reste de le Terre, non musulman. Avec ça, comment vouliez-vous que l'école, l'administration, le travail intègrent, en les francisant, des jeunes à qui l'idée seule d'être français fait horreur ? Je ne parle évidemment pas ici des exceptions des ces particuliers qui existent  mais ne changent hélas ! rien à la donne générale.

Je ne pense pas que les Algériens d'ici ou d'outre-mer vont changer. Le situation actuelle est trop bonne pour eux. Mais la France peut-être changera et ce ne sera pas sens conséquence pour ses commensaux et partenaires abusifs. En attendent, en ouvrant un journal francophone algérois, Le Monde Aujourd'hui, daté 3 septembre 2001, j'y lis, sur six colonnes « La dette de la France envers Algérie » et plus bas : « C'est avec l'argent de l'Algérie que l'Etat français a réussi à arracher la société française à une situation économique et sociale moyenâgeuse » (sic). Tant que de pareilles ineptie auront cours outre-Méditerrenée ; tant que, en France, des petits Algériens de douze ans gaffitteront dans les cages d'escaliers : « On a niqué (= vaincu) les Français en Algérie, on va maintenant les niquer (= vaincre) en France ! » ; tant que, dans les banlieues françaises, on continuera à apprendre eux petits musulmans que leurs camarades non mahométans sont « impurs » et « inférieurs » et que, d'ordre divin dans le Coran, il ne faut pas « prendre pour amis juifs et chrétiens, sinon on devient comme eux », les relations entre Français et Algériens resteront marquées au double sceau du tragique de  l'impossible."


(1)Jean-Pierre Péroncel-Hugoz:   ....« Ouvertement islamophile mais résolument hostile à l'islamisation de la France... » Jean-Pierre Péroncel-Hugoz fut le dernier journaliste recruté - "à l'essai" au Monde par Hubert Beuve-Méry, en 1969. Il a passé 8 ans en Algérie après l'indépendance, coopérant technique (1963-69), puis "correspondant particulier" du Monde (69-73). Il fut ensuite interdit de séjour dans ce pays à cause de son livre "Assassinat d'un poète" (1), relatant le « crime politique » que fut à ses yeux le meurtre du poète pied-noir Jean Sénac, chantre baroque du nationalisme algérien. Mais JPPH est surtout connu comme "islamlogue", grâce à son prophétique "Radeau de Mahomet" (2). Il nous a aimablement autorisés à reproduire l'essentiel d'une algarade* déjà publiée dans la revue Panoramiques (3), où il coudoyait Jean-Paul Angelelli de Rivarol aussi bien que l'ancien permanent trotskiste Benjamin Stora. Quant à son inspiration, il nous a confié qu'il était « présent au fameux match de foot France Algérie du 6 octobre 2001, qui décilla les yeux à nombre de Français yeux du comportement algérien en France même... »

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Résonances... rs :

A première vue, on est tenté de dire « bien vu Patrice... »....

En effet, la France en tant qu' identité culturelle est très vacillante et n'offre guère plus d'attraits .... autres qu'économiques. Les gouvernements de puis plus de trente ans s'emploient à détruire la France... ne pouvant la gérer, c'est la fuite en avant .... d'abord au bénéfice de l'Euroland et des forces internationales qui la sous-tendent....a présent, avec la guerre de l'Irak, ....le l' antiaméricanisme ... pro arabe et musulman.

Cet internationalisme... cet universalisme... et condamnable en soi mais de plus il est suicidaire lorsqu'on n'a pas la force pour l'assumer.

Ce que nous vivons actuellement.. ....n'est-ce pas ce:

"...sentiment d'angoisse qui saisit l'homme aux époques où la civilisation qu'il a bâtie menace ruine  n'a pas d'autre origine que cette obscure appréhension de la mort ."19  Marcel de Corte

 

De même cette fuite n'est elle pas une façon de .... de surseoir à l'inévitable expulsion de son type hors de la scène du monde.

 

Est-ce  cette politique de "sursis" que nous connaissons?.... Celle qui consiste à éviter la vérité en France et pouvoir ainsi se maintenir au pouvoir ...en offrant au détriment de l'avenir de France, des gages à l'Islam et par voie de conséquence une paix relative à la population juive et un calme apparent et aveugle à tous ?..... Ceci par un universalisme anti-américain, et par là même pro-arabe et pro-musulman, tout en comptant  sur  la puissance américaine des "croisés-évangélistes- universalistes" ... la busherie... pour freiner l'expansionisme islamique universaliste?..

 

 Cela me rappelle le tableau " l'Escamoteur"  de Bosch avec cette pensée d' Erasme  :

"Oh combien de tours de passe-passe ne trouve-t-on, pas en ce monde?

Ceux qui grâce au sac à malices font merveille, amènent par leur tour toujours le peuple à cracher des choses curieuse sur la table. C'est ainsi qu'ils réussissent leur coup.

Ne leur faites donc jamais confiance....car si tu perdais également ta bourse te t'en repentirais."

 

 L article  de Patrice passe, en effet, sous silence l'essentiel, me semble-t-il les problèmes:

.... de « l'ISLAM en France » ( non de l'islam de FRANCE" ..encore un tour de passe-passe)

......de l'immigration de masse, pour lequel aucune intégration, encore moins assimilation, n'est possible... (Même pour les sociétés fortes... voir l'échec  du melting-pot américain qui la menace ... et dont le 11.09 les à fait prendre conscience ... d'ou ce réveil ...cet appel à la mobilisation )

....de la non viabilité des sociétés pluri-communautaires, du communautarisme .... sont escamotés....

 

Eh oui, comme dit Patrice « Reste à éteindre l'incendie, ce qui sera difficile. Et à fertiliser le terrain, ce qui sera plus ardu encore. »

 

Le chemin est périlleux et non tracé...

Est-ce en "installant" l'Algérie en France et en faisant l'union sur un anti-américanisme qu'elle arrivera à se reconstituer ?. ..

  Notre civilisation est celle de l'Occident  ...notre culture est occidentale ...Elle ne doit, ni ne peut "convertir" l'islam à soi  ... Elle peut par contre se convertir à l'islam ... C'est la pensée de certains  pour qui cette société est  pourrie.... morte ... et qu'elle doit céder la place .... D'une certaine façon les manifestations de masse .."populaires et spontanées " à travers le monde occidental le prouve...

 De ce point de vue nous sommes plus menacés que les USA... qui sont attaqués comme force matérialiste qui menace la survie de l'Islam , comme "support" d'Israël  ...et comme "Etat Phare" de l'Occident  ...

Pourtant, nous ne pouvons retrouver nos  racines, notre identité, notre épanouissement qu'en restant de la même famille ....  On ne peut pas s'affirmer en changeant de famille ... de coque ou en exacerbant les divisions. ..Nous devons nous affirmer positivement en "étant"  .....et non en "étant simplement contre" sa famille.

 Ne pas défendre notre culture....  l'Europe gréco-judéo-romano-chrétienne.. l'abandonner ? ...nous nous en repentirons ...Nos enfants nous le reprocheront et nous traiteront de lâches... et ils auront raison.

Le chemin est périlleux et non tracé.. ne nous laissons pas abuser .. peut-être la vrai Europe peut -elle émerger de ce tremblement...

 

Sauvons nos coques communes ....la famille, la nation et l'Europe.... et notre âme chrétienne d'ensembles-homocoques.. et nous aiderons ainsi nos cousins le peuple américain.... au lieu de jeter le bébé avec l'eau du bain

 

03.03

NB:Savoir qu'en plus  la présidence de cette manifestation ait été confiée à une personne qui avait opté en 1962 pour la nationalité algérienne et qui de retour en France a conserver la double nationalité... cela fait beaucoup... A quoi voulait vous que s'intègrent ces " jeunes " immigrés...?

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Reflets:

" l'Escamoteur"

Universalisme et civilisation occidentale ...  par Samuel Huntington

La France  vue en 1998...par  Emmanuel Todd... toujours d'actualité..?

"un jeune..."  l'évacuation des différences....par les mots 

Etat-Nation

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