Benoit XVI condamne l’évolutionnisme ...

Dossier :

Présentation : article d'un libéral... appelant Benoît XVI à son secours ...

Extraits :   Il a dit qu’évidemment l’homme ne pouvait venir d’un un accident survenu par hasard dans une quelconque évolution mais qu’il est une pure création de Dieu. .....Le Discovery Institute, basé à Seattle aux USA, n’a pas de peine à démontrer qu’une telle pièce ne peut être qu’une pièce d’ingénierie créée pour cela et non le fruit de pas successifs dans une hypothétique évolution.

en zo-relation ....  Darwinisme et individualisme .....l'inter relation  est à l'origine  de la vie.....Les thèses de Darwin ont été utilisées pour justifier l'individualisme   ...

 

 

 

Benoit XVI condamne l’évolutionnisme

Auteur: Michel de Poncins

Source: http://www.conscience-politique.org/2005/deponcinsevolutionnisme.htm

Date :   mai 2005

 

 

Les médias sont, comme on pouvait s’y attendre, fort attentifs depuis l’élection du nouveau pape à tout ce qui serait contraire à la P.U.T. ou Pensée Unique Totalitaire, qui règne sur le monde entier d’une façon d’autant plus pernicieuse qu’elle est informelle. Lors de son discours donné dans la Basilique Saint Jean de Latran qu’il visitait pour la première fois comme Evêque de Rome, il a parlé de la morale. Le Figaro, journal plutôt de gauche malgré les apparences qu’il se donne, n’a rien compris à la morale ; il titre : « Benoît XVI : statu quo pour la morale », comme si la morale était à géométrie aussi variable que les avions vendus en filigrane par le même journal dont peut-être c’est devenu le seul objectif véritable !

Les journalises sont tellement occupés par ces sujets qu’ils n’ont pas trouvé le temps de relever le jugement de Benoît XVI sur la prétendue évolution tel qu’il l’a exprimé dans son discours d’inauguration. Il a dit qu’évidemment l’homme ne pouvait venir d’un un accident survenu par hasard dans une quelconque évolution mais qu’il est une pure création de Dieu.

Horriblilis !

Cette information est certes d’importance philosophique mais est également de nature politique car la P.U.T. en se positionnant perpétuellement et par la force étatique et dans le monde entier sur le supposé évolutionnisme joue un rôle considérable, avec d’autres chimères à la mode, dans l’effet de ruine général.

Voici comment.

D’abord d’immenses quantités d’argent public sont dépensées pour gratter la terre partout dans le monde en vue de rechercher les chaînons manquants que, bien sûr, on ne trouvera jamais. Mieux vaudrait laisser les restes des morts attendre patiemment la résurrection et ne pas ruiner les vivants par les impôts correspondants !

Pour la même raison, on freine ou arrête des travaux d’intérêt général absolument indispensables, le freinage ou l’arrêt suscitant des pertes induites qui peuvent se compter par milliards.

Catastrophe pour l’éducation ; celle-ci est diffusée obligatoirement dans le sens de l’évolutionnisme présenté comme une vérité évidente, alors que c’est une simple hypothèse. Or que vaut une éducation qui n’enseigne pas la vérité et qui la confond avec l’hypothèse ?

Bien entendu dans la diffusion de l’effet de ruine venant de la chimère évolutionniste, il faut ranger la déviation de la science vers de fausses recherches et cela va jusqu’à la perte de potentiel des jeunes chercheurs ; il existe un grand nombre de disciplines jouxtant ces problèmes où personne ne peut faire carrière en critiquant le tabou ; d’immenses talents futurs ou existants sont ainsi détournés des vraies recherches utiles aux autres.

Devant les problèmes suscités par le tabou, il a été imaginé depuis peu la théorie des briques. Il serait apparu tout soudain des sous-ensembles complets, qui, eux-mêmes, par hasard ou nécessité se seraient assemblés ensemble : le « Lego » danois au secours de l’évolution !

Dans cette fausse orientation de la science, il faut compter avec les fraudes inévitables dès lors qu’il s’agit d’opérations publiques. Soit par idéologie, soit par ambition, soit par esprit de lucre il y a des fraudeurs. On se rappelle les fraudes de Teilhard de Chardin ; ses multiples tricheries n’ont guère gêné sa mémoire car il est souvent cité comme modèle ou comme une référence.

En 1999 la revue National Geographie avait présenté comme une découverte magistrale Archaeoraptor Liaoningentis : c’était soi-disant un dinosaure-oiseau, trouvaille inespérée : l’on prouvait que les oiseaux descendaient des dinosaures. Evidemment entre les deux il faudrait encore beaucoup de chaînons qui manqueraient toujours mais la nouvelle recherche pourrait occuper et enrichir d’autres chercheurs. Hélas, hélas ! Les journaux ont révélé deux ans après que tout était faux, car un ambitieux chercheur avait confondu, volontairement sans doute, avec une espèce d’oiseau inconnue.

N’arrivant jamais à la preuve finale les Etats dépensent un argent fou pour explorer la planète mars en vue d’y trouver des traces d’eau, ce qui par une chaîne de raisonnements hasardeux prouverait la vérité de la Sainte Evolution. L’effet de ruine à cette échelle est sans limite.

A toutes fins utiles et plus modestement, rappelons qu’à Paris au jardin des plantes il existe une « galerie de l’évolution » construite et entretenue à grands frais et contribuant de ce fait à la paupérisation croissante du pays.

Malgré le matraquage officiel, la capitulation des hommes libres n’est jamais garantie. Les partisans du darwinisme s’agitent beaucoup, car dans certains pays dont les USA, ils croient percevoir dans certaines écoles le retour à l’affreux créationnisme.

L’un des multiples arguments qui détruisent la théorie évolutionniste réside dans le fragelle de la bactérie qui est peut-être la machine la plus efficace de l’univers. C’est comme un moteur rotatif qui tourne à plusieurs dizaine de milliers de tours par minute. Il est constitué de 50 molécules. Le Discovery Institute, basé à Seattle aux USA, n’a pas de peine à démontrer qu’une telle pièce ne peut être qu’une pièce d’ingénierie créée pour cela et non le fruit de pas successifs dans une hypothétique évolution. Cette position de cet institut est comme inévitable l’objet d’un tir croisé des fidèles de la P.U.T.

Bien sûr personne ne calculera jamais les milliards évaporés par l’effet de ruine en question. Non< seulement le désordre bien connu de la comptabilité publique empêche de les calculer, mais la conceptualisation même du mode de calcul est sans doute impossible.

Il demeure que cela met en lumière l’impérieuse nécessité de privatiser la science. C’est ce que ferait un pouvoir libérateur en France. Non seulement l’effet de ruine serait remplacé par une tornade d’effet richesse considérable, mais surtout la pensée et la parole des chercheurs retrouveraient la liberté, ce qui serait inestimable pour les progrès de la science dans tous les domaines.

Michel de Poncins

Mai 2005

 

 

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