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        Présentation : ...fiche de lecture  
        de l'ouvrage ..Islamisme et Etats-Unis : une alliance contre l’Europe,
        Alexandre Del Valle ... qu'il me parait intéressante de relire,  
        8 ans après sa publication ... mais en considérant que les sociétés d'ensemble-HOMENTRANCHE 
        ne peuvent être désignées par un seul terme. Ainsi parlant des 
        États-Unis il faudrait spécifier si l'on parle de la tranche d'en haut 
        ...qui est mondialiste et apatride ou des États-Unis nation.  Que ce soit 
        l'HOMENTRANCHE des États-Unis où l'HOMENTRANCHE d'Europe ...l'un comme 
        l'autre instrumentalise l'islam contre l'autre  ... l'islam--idéologie-religion 
        se développant au détriment des ensembles-homocoques de l'un et de l'autre ...mais 
        au bénéfice des intérêts immédiats de la tranche mondialiste d'en haut  
        ...  
        
        Extraits :  Islamisme/Etats-Unis : des ennemis si intimes…
        
         les 
        Etats-Unis, première puissance mondiale, prétendent, jouant les 
        apprentis sorciers, instrumentaliser l’islam, et la vielle Europe 
        déclinante, qui semble sortie de l’histoire par ses abandons de 
        souveraineté, risque de leur être inféodée, et de devenir pour les 
        terres d’islam le « continent complémentaire », .... Les Etats 
        Unis s’aperçevront-ils que l’instrumentalisation de l’islam n'est pas 
        sans péril pour eux-mêmes, particulièrement par la violence 
        anti-occidentale des talibans qu’ils ont pourtant choyés ?  Enfin, le 
        masochisme ouest-européen n’est pas sans remède et il n’est pas dit que 
        la vieille Europe renonce à jamais à la maîtrise de son propre destin. 
        L’imprévisible, c’est-à-dire la liberté humaine, capable de relever les 
        défis les plus audacieux.  « La façon dont le public a été systématiquement 
        pilonné par les médias presque unanimes sur les événements de 
        Yougoslavie, écrit Vladimir Volkoff, fournit un bon exemple de 
        l’imprudence de la désinformation contemporaine, auprès de laquelle la 
        désinformation soviétique était un modèle de subtilité ».  
        Manipulation(s)  Les manifestations pour protester contre les 
        caricatures de Mahomet se sont encore étendues au Moyen-Orient et en 
        Afrique lundi, expression du courroux des foules musulmanes qui pour une 
        fois ne vise pas directement les Etats-Unis, Georges W. Bush n’ayant pas 
        manqué de sauter sur l’occasion pour déclarer qu’il jugeait ces dessins 
        représentant le prophète « pas acceptables » 
        Alain de Benoist et les carricatures 
        ....La réponse qui vient à l’esprit est : 
        la victoire du Hamas aux élections palestiniennes. Toute une campagne 
        internationale s’est en effet engagée aussitôt après ce scrutin pour 
        obtenir de l’Union européenne qu’elle cesse de financer l’Autorité 
        palestinienne. Ameuter l’opinion des pays arabes contre l’Europe au 
        moyen des caricatures danoises, et plus précisément faire apparaître à 
        la télévision des masses de manifestants palestiniens dénonçant le « 
        blasphème » avec violence, n’était-il pas de nature à susciter dans 
        l’opinion l’idée qu’il serait bien naturel de cesser de « financer ces 
        gens-là » ? On peut se poser la question. 
        Alain Soral ...je constate que partout où les 
        islamistes se sont installés : en Afghanistan, en ex-Yougoslavie, en 
        Irak… ils y ont été grandement aidés par les impérialistes américains ! 
        En d’autres termes, pour opposer l’islamisme et l’impérialisme 
        américain, comme le fait un Dantec, quand les deux phénomènes sont 
        systématiquement concomitants, il faut être particulièrement malhonnête 
        ou bas du front !  
        Autres Résonances .....  
        Conclusion : l'Iran pays des Mollahs va dire puisque 
        le monde musulman est agresse par la pensee 
                pccidentale perverse (et o sacrilege par le biais de son 
                Prophete) nous avons le droit a la bombe pour nous defendre 
                contre les ennemis de l'islam (=nous) ...."l'Europe chrétienne bouc émissaire" pouvant 
                parer la division entre Chiites et Sunnites ????   
        en 
        z 
        relations
        .... constitution européenne .... mondialisme ... l'HOMENTRANCHE, 
        ... .mondialiste instrumentalisant l'islam ... choc des civilisations 
        ... immigration .... 
           
           
            
          Intolérance « Progrès de la 
          liberté ou marche arrière de la civilisation »?    
          
          Islam : ne rien abandonner à la 
          politique de l'apaisement . 
          
          La persécution 
          antichrétienne ...rapport 2005  Le 
        17 octobre 2005, le journal égyptien
        
        Al Fager a publié les caricatures danoises de Mahomet sans susciter 
        la moindre réaction du peuple égyptien et du monde musulman… 
         
                 
            
        
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      Auteur:  
      Islamisme et Etats-Unis : une alliance contre 
      l’Europe,  
      Alexandre Del Valle, L’age d’homme, 1997.  
      Source:
         http://www.polemia.com/contenu.php?cat_id=43&iddoc=173 
      Date :      
        
      Le 20 Janvier 2003   
        Islamisme/Etats-Unis : des ennemis si intimes…
         Les pays d’islam, par leur explosion démographique, 
        par leur vocation supra-nationale à conquérir le monde – partagé pour 
        eux entre le dar-el-islam : terre d’islam, et le dar el harb : terre à 
        conquérir à l’islam – par le carcan coranique favorable à la stagnation 
        intellectuelle et économique, semblent justifier la sombre prédiction de 
        Samuel Huntington, selon lequel, au XXIe siècle, succéderaient, aux 
        guerres idéologiques, les chocs de civilisation.  Que les Etats-Unis, première puissance mondiale, 
        prétendent, jouant les apprentis sorciers, instrumentaliser l’islam, et 
        la vielle Europe déclinante, qui semble sortie de l’histoire par ses 
        abandons de souveraineté, risque de leur être inféodée, et de devenir 
        pour les terres d’islam le « continent complémentaire », selon 
        l’expression du Général Gallois.  C’est ce drame qui se joue sous nos yeux qu’a étudié, 
        dans un livre dense et foisonnant, Alexandre Del Valle.  « La façon dont le public a été systématiquement 
        pilonné par les médias presque unanimes sur les événements de 
        Yougoslavie, écrit Vladimir Volkoff, fournit un bon exemple de 
        l’imprudence de la désinformation contemporaine, auprès de laquelle la 
        désinformation soviétique était un modèle de subtilité ».  Tous ceux qui n’ont été anesthésiés, naguère ni par la 
        propagande anti-irakienne ni, aujourd’hui, par la propagande anti-serbe, 
        et qui s’interrogent sur la cohérence de la politique étrangère des 
        Etats Unis, écrasant tour à tour, à coup de bombes et d’embargos, un 
        pays souverain majoritairement sunnite, et un pays majoritairement 
        slave-othodoxe, seront passionnés par le livre d’Alexandre Del Valle, 
        Islamisme et Etats Unis : une alliance contre l’Europe, que les éditeurs 
        de l’Age d’Homme, après celui du Général Gallois, Le soleil d’Allah 
        aveugle l’Occident, s’honorent de publier.  George Bush apôtre du Nouvel Ordre Mondial, avait 
        affirmé qu’ « il n’existait pas de substitut au leadership américain ». 
        L’Amérique se veut unique superpuissance mondiale, puissance prosélyte, 
        militairement et politiquement présente dans la vielle Europe, ce qui 
        suppose un ennemi. Le communisme soviétique l’avait été, et son 
        implosion ne doit pas grand chose à l’Amérique, ni à l’Europe. Lucide, 
        Alexandre Del Valle remarque : « Ennemi réel, le communisme n’en était 
        pas moins fort utile pour Washington, qui empêcha le général Patton d’en 
        finir avec la menace soviétique. Le « péril rouge », devait en effet 
        rester bien vivant, afin de servir « d’épouventail-ennemi » justifiant 
        l’hégémonie protectrice américaine dans le monde ».  L’alliance objective avec l’islamisme 
         À l’heure où les chocs de civilisation ont remplacé la 
        guerre froide, l’islamisme est pour les Etats Unis le nouvel ennemi 
        utile, « allié » à eux, en quelque sorte, contre l’Europe. Pragmatiques 
        et opportunistes, ils ont vu dans le mouvement islamique une « lame de 
        fond », et ont choisi de jouer la carte musulmane pour mieux contrôler 
        les artères de l’or noir. Cet allié dangereux qu’est l’islamisme, ils 
        l’avaient pressenti bien avant l’implosion du communisme. Depuis la fin 
        des années 1970, les Etats Unis ont soutenu les extrémistes islamistes, 
        des frères musulmans syriens aux islamistes bosniaques et albanais, des 
        talibans à la gamaa islamyya égyptienne, et ont choyé les Wahhabites, a 
        la tête de la monarchie pro-américaine d’Arabie Saoudite qui finance la 
        quasi-totalité des réseaux islamistes dans le monde. Ils ont joué les 
        apprentis sorciers, et les mouvements fondamentalistes qu’ils croyaient 
        manipuler se sont parfois retournés contre le « grand Satan » comme le 
        11 septembre 2001 à New York.  En revanche, les Etats Unis ont abandonné ou écrasé 
        les pays musulmans susceptibles d’acquérir une puissance politique et 
        une relative autonomie. L’exemple de Carter abandonnant le Chah, alors 
        que l’Iran était en train de devenir maître de son pétrole et pouvait se 
        vanter du haut niveau de ses universités, pour favoriser l’obscurantisme 
        de Khomeyni, l’exemple de Bush, Clinton puis Bush fils, écrasant l’Irak 
        sous les orwelliennes « frappes chirurgicales », alors que l’invasion du 
        Koweït avait été encouragée par la CIA, sont significatifs. « L’Irak, 
        affirme Alexandre Del Valle, est l’exact antithèse politique de la 
        stratégie confessionnelle pro-islamique des Etats Unis. »  Car le monde musulman doit rester pour l’Amérique un 
        monde riche en pétrole, exploitable à volonté, mais pauvre en matière 
        grise et maintenue dans une totale situation de dépendance technologique 
        ; un marché d’un milliard de consommateurs incapables d’autonomie 
        politico-militaire et économique. Le carcan coranique est favorable à 
        l’indigence intellectuelle comme en témoigne la fatwa promulguée voici 
        quatre ans par la suprême autorité religieuse d’Arabie saoudite : « La 
        terre est plate ; celui qui déclare qu’elle est sphérique est un athée 
        méritant punition. »  Mais le nationalisme irakien était une tentative 
        d’aggiornamento de l’islam. Comme le Chah d’Iran se référait à la 
        dynastie des Achéménides, Saddam Hussein se montrait fier du passé 
        préislamique babylonien et chaldéen de l’Irak. Se réconcilier avec leur 
        identité antique est aussi, pour les musulmans, retrouver une 
        civilisation méditerranéenne commune et des passerelles entre les 
        civilisations européenne et orientale. C’est pourquoi les islamistes 
        veulent supprimer toute trace d’identité préislamique et, en Egypte par 
        exemple, considèrent la visite des vestiges pharaoniques comme un acte 
        d’impiété, ce qui est sans doute une des clés du terrorisme non éradiqué 
        dirigé contre les touristes.  Le grand échiquier  Dans son livre « Le grand échiquier, l’Amérique et le 
        reste du monde », publié en 1997, Brzezinski, ancien conseiller de 
        Carter, et très écouté dans l’Amérique de Clinton, révélait avec une 
        franchise cynique les raisons profondes de la stratégie islamique des 
        Etats Unis. Selon lui, l’enjeu principal pour les Etats Unis est 
        l’Eurasie, vaste ensemble qui va de l’Europe de l’Ouest à la Chine via 
        l’Asie centrale : « Du point de vue américain, la Russie paraît vouée à 
        devenir le problème… Les Etats Unis manifestent de plus en plus 
        d’intérêts pour le développement des ressources de la région et 
        cherchent à empêcher la Russie d’avoir la suprématie. » La politique 
        américaine doit donc, viser à la fois l’affaiblissement de la Russie et 
        l’absence d’autonomie militaire de l’Europe. D’où l’élargissement de 
        l’OTAN aux pays d’Europe centrale et orientale, afin de pérenniser la 
        présence américaine, alors que la formule de défense européenne capable 
        de contrer l’hégémonie américaine sur le vieux continent passerait par « 
        un axe anti-hégémonique Paris-Berlin-Moscou. » Les Etats Unis s’emploi 
        donc à le casser en jouant systématiquement Berlin et Sarajevo contre 
        Paris et Moscou. Ainsi s’explique la politique américaine en 
        ex-Yougoslavie, qui prolonge à la fois la stratégie de Tito visant à 
        affaiblir les Serbes, et celle de l’Allemagne : « Grande victoire 
        diplomatique pour l’Allemagne », déclarait l’ancien chancelier Kohl, à 
        propos de la dislocation de la Yougoslavie.  Politique accompagnée d’une bataille médiatique qui 
        diabolise et angélise, où les champions des droits de l’homme à 
        géométrie variable, chérissant des bourreaux privilégiés et ignorant les 
        victimes inintéressantes, branchent et débranchent à volonté les prises 
        de consciences universelles et homologuent les épurations ethniques.
         Le Général Gallois explique l’acharnement à punir 
        Belgrade et à favoriser l’irrédentisme islamique en ex-Yougoslavie par 
        le désir de diviser le monde orthodoxe et l’Europe de l’Ouest au moyen 
        d’abcès de fixation islamiques. « Les Serbes, comme les Irakiens, ajoute 
        Alexandre Del Valle, paient le prix de l’extension de l’OTAN et de la 
        politique étrangère américaine de l’après-guerre froide. »  Les nouvelles enclaves musulmanes, « Israël islamique 
        » au cœur de l’Europe, justifient la domination militaire et politique 
        des Etats Unis, qui se font ainsi, en outre, pardonner leur présence en 
        Arabie et leur soutien à l’Etat d’Israël, et leur permettent de tester 
        la dilution identitaire de l’Europe, qui apparaît désormais, par ses 
        abandons de souveraineté, comme sortie de l’histoire. Ces communautés 
        musulmanes d’Europe, dont les premiers pourvoyeurs d’armes ont été, pour 
        la Bosnie l’Iran et pour le Kosovo la Turquie, constituent l’embryon 
        d’une future société européenne islamisée, modèles pour les communautés 
        immigrées d’Europe de l’Ouest, que « le levier légitimateur de 
        l’anti-racisme » interdit de maîtriser. Compte tenu de son implosion 
        démographique, l’Europe de l’Ouest apparaît, selon le général Gallois, 
        comme le « continent complémentaire », et la Bosnie comme « 
        l’antichambre de l’eldorado ».  De l’alliance objective à l’alliance subjective
         Le général Gallois et Alexandre Del Valle, lorsqu’ils 
        fondent leur analyse de l’alliance objective de l’islamisme et des Etats 
        Unis sur un foisonnement de faits et de déclarations des maîtres 
        penseurs américains, emportent l’adhésion du lecteur. Mais la part à la 
        fois la plus discutable et la plus originale d’Alexandre Del Valle est 
        son étude de leur alliance subjective.  Entre d’une part, le puritanisme américain, le 
        fondamentalisme des droits de l’homme, le désir d’édifier « le village 
        mondial » anglophone sur les ruines des cultures et des souverainetés 
        nationales, et d’autre part la oumma islamique, conquérante, édifiée sur 
        l’éradication des cultures plurimillénaires qui l’ont précédée, il y a 
        connivences et affinités, même si elles sont inconscientes.  Islam et puritanisme protestant sont issue l’un et 
        l’autre de sectes judéo-chrétiennes hétérodoxes et choisissent entre « 
        l’étroitesse ritualise » et la « transgression jouissive des interdits 
        », quand ils ne les conjuguent pas. Tous deux prétendent conquérir le 
        monde au nom d’une « idéologie ultra monothéiste » et du « Verbe divin 
        non pas incarné mais calligraphié » ; tous deux s’affirment contre 
        l’Europe. Bill Clinton, le 15 Mars 1995, a donné tout son poids à cette 
        alliance subjective : « Les valeurs traditionnelles de l’islam sont en 
        harmonie avec les idéaux des meilleurs de l’Occident. » Et les attentats 
        du 11 Septembre 2001 ne démentent pas cette idée, Georges W. Bush ayant 
        bien pris soin de prévenir de l’amalgame entre terrorisme, Islam et 
        islamisme.  À cela s’ajoute, en Amérique, la conscience d’être le 
        nouveau monde révolté contre ses propres racines, le désir de déraciner 
        la veille Europe sur le modèle du déracinement américain. L’ambassadeur 
        Richard Holbrook affirmait : « Nous sommes une puissance européenne. 
        L’histoire de ce siècle démontre que lorsque nous nous désengageons, 
        l’Europe verse dans une instabilité qui nous oblige à retourner. » 
        L’Amérique deviendrait alors l’Europe puissante, à laquelle la veille 
        Europe déclinante serait inféodée.  On peut dire avec Péroncel-Hugoz, auteur de la 
        postface, qu’on fait avec ce livre dense et foisonnant, « une véritable 
        cure d’anti-conformisme, de novation, grâce au regard cru mais non cruel 
        » de son auteur, dont la thèse donne la clé de bien des évènements qui 
        déchirent le monde. Elle reste ouverte cependant. Malgré les conférences 
        interislamiques de Tirana, de Khartoum, de Téhéran, qui voulaient faire 
        croire à un embryon d’internationale islamiste, le « bloc » musulman 
        n’est pas uni. Les Etats Unis s’aperçevront-ils que l’instrumentalisation 
        de l’islam n'est pas sans péril pour eux-mêmes, particulièrement par la 
        violence anti-occidentale des talibans qu’ils ont pourtant choyés ?   Enfin, le masochisme ouest-européen n’est pas sans 
        remède et il n’est pas dit que la vieille Europe renonce à jamais à la 
        maîtrise de son propre destin. L’imprévisible, c’est-à-dire la liberté 
        humaine, capable de relever les défis les plus audacieux.    Islamisme et Etats-Unis : une alliance contre 
        l’Europe, Alexandre Del Valle, L’age d’homme, 1997.  
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        http://www.frontnational.com/quotidien_detail.php?id_qp=560 le 7.02.06 Manipulation(s)   Les manifestations pour protester contre les 
        caricatures de Mahomet se sont encore étendues au Moyen-Orient et en 
        Afrique lundi, expression du courroux des foules musulmanes qui pour une 
        fois ne vise pas directement les Etats-Unis, Georges W. Bush n’ayant pas 
        manqué de sauter sur l’occasion pour déclarer qu’il jugeait ces dessins 
        représentant le prophète « pas acceptables ». Dans Le Figaro en date du 
        mardi 7 février, le grand reporter Renaud Girard a jugé « très 
        troublantes » « les réactions disproportionnées du monde musulman à des 
        dessins publiés dans un journal dont personne n’avait jusque-là entendu 
        parler. Il est évident que les foules musulmanes furieuses de Beyrouth 
        ou de Téhéran ont été en partie manipulées : au Liban par les partis pro-syriens qui veulent qu’on enterre l’enquête internationale sur 
        l’assassinat de Rafic Hariri, en Iran par un régime qui est accusé (non 
        sans preuve) par l’occident de violer le traité de non-prolifération 
        nucléaire » écrit M Girard. Régime iranien contre lequel le secrétaire 
        américain Donald Rumsfeld a clairement réitéré ces derniers jours la 
        menace d’une intervention militaire des Etats-Unis. Manipulations qui ne 
        sont sûrement pas à sens unique, le site Altermedia relayant notamment 
        les nombreuses interrogations sur la formidable médiatisation des 
        caricatures en question, alors que le quotidien danois Jyllands-Posten, 
        qui les avait publiées le premier, avait officiellement présenté ses 
        excuses aux mahométans le 30 janvier. Caricatures reprises en effet « 
        opportunément », au nom de la « liberté d’expression », dans de nombreux 
        titres de la presse européenne bien-pensante, coïncidant étrangement 
        avec la victoire du Hamas aux élections. Autorité palestinienne, faut-il 
        le rappeler, financée largement par l’Union européenne, ce qui n’est pas 
        du goût de tout le monde…  Points de vue, images d’un monde…  Vendredi dernier, le droitier de 
        service du Figaro, Ivan Roufiol, écrivait dans son fameux « Bloc-notes » 
        que « la victoire du Hamas a le mérite d’ouvrir les yeux des européens 
        sur la réalité du totalitarisme islamiste et son obsession de détruire 
        Israël. Un front commun des démocraties se dessine enfin contre le 
        nazislamisme palestinien et iranien. C’est la seule bonne nouvelle, dans 
        cette région désespérante pour la paix » affirmait-il. Jean-Marie Le Pen, 
        que nous interrogions dernièrement sur cette « région désespérante pour 
        la paix », petite parenthèse, nous confiait pour sa part sa conviction 
        selon laquelle les concessions faites aux Palestiniens par le Premier 
        ministre Ariel Sharon avant ses graves problèmes de santé, notamment le 
        démantèlement de certaines colonies juives, n’avaient été faites « que 
        dans le but d’aller plus loin ». « Cette lutte désespérée entre ces deux 
        peuples bibliques, les Philistins et les Juifs, relève d’un phénomène 
        quasi ésotérique, qui échappe à la rationalité. Cette quête israélienne, 
        prométhéenne (d’un Etat), se heurte au phénomène principal de 
        l’explosion démographique du monde musulman » notait-il encore. Dans le 
        quotidien de suisse romande Le Temps – article repris sur Vox.nr, 
        Jean-Michel Vernochet se fend d’une analyse sur cette victoire du Hamas 
        que M. Roufiol n’a pas relayée à ses lecteurs : « Comme annoncé de toute 
        part, le refus de négocier avec l’organisation terroriste constituera un 
        argument absolu et un prétexte idéal pour ajourner ou retarder les 
        discussions sur la mise en œuvre de la Feuille de route. (…) In fine, si 
        de guerre lasse le Hamas finissait par renoncer à la lutte armée, nul ne 
        peut dire s’il deviendrait pour autant un interlocuteur valable. La 
        carotte de son éventuelle admission à la table des négociations est déjà 
        présentée dans les déclarations semi-officielle à Washington et à 
        Jérusalem, lesquelles ne contredisent qu’apparemment les discours 
        intransigeants (à l’encontre du Hamas) qui prédominent aujourd’hui. Un 
        Hamas aux dents limées et désarmé est au bout du compte ce que visent 
        les alliés. Vu sous cet angle et dans tous les cas de figure, le séisme 
        des élections palestiniennes est donc plus ou moins condamné, sur le 
        court terme, à faire long feu. Le Hamas électoralement vainqueur n’est 
        non seulement pas un échec pour Washington mais une véritable aubaine, 
        en partie programmée, qui laisse maintenant les mains libres au couple 
        israélo-américain pour avancer ses pions dans la normalisation de 
        l’espace proche-oriental ».  
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          Alain de 
        Benoist et les carricatures  
        
        http://qc.novopress.info/?p=1972#more-1972    
        le 6 février 2006  Les violentes réactions 
        enregistrées dans le monde musulman depuis la publication, d’abord dans 
        un journal danois, puis dans différents journaux occidentaux, de 
        caricatures du prophète Mahomet étaient sans doute prévisibles quand on 
        connaît la susceptibilité extrême des musulmans vis-à-vis de toute 
        représentation figurée du Prophète, à plus forte raison lorsqu’à 
        celle-ci s’ajoute la satire ou la moquerie. 
        Ces réactions, qui n’ont cessé de prendre de l’ampleur 
        ces derniers jours (manifestations de rue, incendie du consulat danois 
        de Beyrouth, campagnes de boycottage des produits danois, etc.), peuvent 
        néanmoins nourrir diverses réflexions. La première question qu’on peut se 
        poser est la raison pour laquelle toute cette affaire a éclaté aussi 
        tard. Les dessins incriminés sont parus en effet dans le Jyllands-Posten 
        – l’un des principaux quotidiens danois – le 30 septembre dernier, soit 
        il y a déjà presque cinq mois. La série était intitulée « Les 12 visages 
        de Mahomet ». Le journal précisait alors qu’il avait pris cette 
        initiative pour commenter à sa façon l’« autocensure » de plusieurs 
        dessinateurs et illustrateurs danois qui s’étaient refusés à illustrer 
        un livre de l’écrivain Kaare Bluitgen consacré au fondateur de l’islam, 
        Koranen og profeten Muhammeds liv (« Le Coran et la vie du prophète 
        Mahomet »). A l’époque, l’affaire ne provoqua 
        guère que des remous locaux, en l’occurrence une protestation des 
        ambassadeurs musulmans en poste à Copenhague. Ce n’est qu’à la fin du 
        mois de janvier que l’affaire a rebondi, ce qui a amené les dirigeants 
        du Jylland-Posten à présenter le 30 janvier leurs « excuses » aux 
        musulmans offensés. Que s’est-il donc passé entre-temps ?
        La réponse qui vient à l’esprit est : la victoire du Hamas aux 
        élections palestiniennes. Toute une campagne internationale s’est en 
        effet engagée aussitôt après ce scrutin pour obtenir de l’Union 
        européenne qu’elle cesse de financer l’Autorité palestinienne. Ameuter 
        l’opinion des pays arabes contre l’Europe au moyen des caricatures 
        danoises, et plus précisément faire apparaître à la télévision des 
        masses de manifestants palestiniens dénonçant le « blasphème » avec 
        violence, n’était-il pas de nature à susciter dans l’opinion l’idée 
        qu’il serait bien naturel de cesser de « financer ces gens-là » ? On 
        peut se poser la question. Face aux protestations islamiques, la 
        plupart des pays européens ont tenu à faire l’éloge de la « liberté 
        d’expression » (mais on notera que les caricatures n’ont été reproduites 
        ni en Israël ni aux Etats-Unis, et que les Américains, tout comme les 
        Anglais, ont jugé peu convenable cette publication). Ce qui pose une 
        autre série de problèmes. La liberté d’expression est certes une 
        belle chose. Toute liberté implique cependant une responsabilité. « 
        Effrayante est une liberté que ne guide pas un devoir », disait 
        l’écrivain André Gide. Il va de soi néanmoins que la liberté 
        d’expression ne se partage pas, et il est également bien connu que le 
        droit à liberté d’expression n’a jamais été fait pour bénéficier avant 
        tout aux opinions convenables et consensuelles, mais au contraire à 
        celles qui sont les plus dérangeantes ou les plus choquantes. En 
        d’autres termes, si l’on admet le « droit au blasphème », alors on doit 
        aussi admettre que ce droit ne se partage pas. Or, en Europe, la liberté d’expression 
        n’a jamais été totale. Encore aujourd’hui, certaines propos ou opinions 
        sont, à tort ou à raison, proscrits par la loi et leurs auteurs peuvent 
        être déférés devant les tribunaux. L’Allemagne possède elle-même un « 
        index ». Les mêmes qui trouvent tout-à-fait normal que des caricatures 
        antimusulmanes paraissent dans un « pays libre » accepteraient-ils de la 
        même façon la publication de caricatures antijuives ? Ceux qui rient de 
        voir représenté Mohamet dans des postures équivoques ou grotesques 
        admettraient-ils avec la même facilité la diffusion mondiale d’images 
        pornographiques d’Anne Frank ? Diraient-ils qu’il ne s’agit après tout 
        que de caricatures, en laissant entendre que ceux qui s’en offusquent 
        sont exagérément « susceptibles » ? On sait bien que non. Il y a dans 
        les pays européens des lois qui sanctionnent l’antisémitisme, mais il 
        n’y en a aucune qui sanctionne l’islamophobie. Pour nombre de musulmans, 
        il y a là deux poids et deux mesures. Enfin, si le blasphème apparaît si peu 
        important aux yeux des Occidentaux, n’est-ce pas d’abord parce qu’ils 
        ont eux-mêmes perdu le sens du sacré ? Qu’ils ne croient eux-mêmes bien 
        souvent plus à rien ? Il n’y a pas si longtemps, le blasphème était 
        encore lourdement sanctionné dans bien des pays d’Europe. Dans le passé, 
        les Européens considéraient eux aussi que certaines choses étaient 
        insupportables et que certains propos ne pouvaient pas être tenus. 
        Aujourd’hui, ils parlent de « fanatisme » pour stigmatiser des attitudes 
        qui, dans le passé, furent aussi les leurs. Le sociologue Zygmunt Bauman 
        soulignait récemment « la rapidité avec laquelle la volonté de sacrifier 
        sa vie pour une cause s’est vue condamnée et classée comme symptôme de 
        fanatisme religieux, retard culturel ou barbarie, par des pays qui, de 
        nombreux siècles durant, présentèrent le martyre-pour-une-cause comme 
        étant preuve de sainteté ». La liberté d’expression peut être aussi le 
        masque de l’indifférence. La liberté d’expression, les pays 
        occidentaux l’ont conquise de haute lutte (le plus souvent contre 
        l’Eglise) au terme d’un combat qui a pris des siècles. Ils n’y sont 
        parvenus qu’une fois leur société totalement « désenchantée » (Max 
        Weber). Pour en arriver à ce stade, les musulmans ont encore du chemin à 
        faire. La conclusion qui s’impose est qu’il y a là comme un décalage, 
        non pas tant dans l’espace que dans le temps : les différents peuples du 
        monde ne vivent pas aujourd’hui à la même heure de l’histoire. Alain de BenoistParis, le 6 février 2006
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              Alain Soral répond aux 
            questions de Vox Galliae Vox Galliae (voxgalliae.blogspot.com) 
            15.05.06
 
            L’écrivain polémique Alain 
            Soral a accepté de répondre à nos questions à l’occasion de la 
            sortie de son dernier roman Chute ! : Eloge de la disgrâce . 
            Après avoir connu un grand succès à la sortie des deux abécédaires 
            Jusqu’où va-t-on descendre? et Socrate à St-Tropez, Alain Soral a 
            subi les foudres du terrorisme intellectuel, Vox Galliae ne pouvait 
            pas rester indifférent!  Vox Galliae: Alain Soral, vous 
            avez eu pas mal de soucis avec les médias, passant du lynchage au 
            boycott . On se souvient notamment de l’agression dont vous avez été 
            victime lors d’une séance de dédicace qui faisait suite à une 
            manipulation de France 2 . Peut-on dire que votre dernier roman est 
            une sorte de réponse?  Alain Soral: Oui. Tout à fait. Une 
            réponse globale à tout ce qui se passe en France depuis 30 ans…
             Vous deviez participer à 
            l’émission de Thierry Ardisson Tout le monde en parle. Ce dernier à 
            renoncer à vous recevoir. Que s’est-il passé?  Il m’a annulé deux jours avant 
            l’enregistrement. Comme je lui ai demandé de justifier ce 
            revirement, il m’a d’abord dit qu’il avait finalement trouvé le 
            livre mauvais ! Puis comme je le secouais un peu, il m’a dit plus 
            précisément que le livre était mauvais parce que j’y parlais de mon 
            agression (j’en parle effectivement dans les premières pages pour ne 
            plus y revenir, c’est d’ailleurs le propos de l’introduction… et la 
            preuve qu’Ardisson n’a pas lu le livre, sinon les premières pages). 
            En fait il pensait que j’avais écrit un « gentil roman » pour 
            pouvoir revenir, que j’avais bien compris la leçon. En France quand 
            on se fait ratonner par certaines milices communautaires, on ferme 
            sa gueule, on comprend la leçon et on parle d’autre chose… comme 
            José Bové. C’est la condition pour revenir… dorénavant chez Ardisson 
            comme ailleurs ! C’était bien la peine d’opter pour la chemise noire 
            et de donner à son fils Benito comme deuxième prénom pour en arriver 
            là !  Dans votre ouvrage “Jusqu’où 
            va-t-on descendre?”, vous rendez hommage “aux petits gens, aux 
            braves gens”. Vis à vis de ces gens là, souvent victimes de la 
            racaille, n’est-ce pas une erreur de soutenir la liste EuroPalestine 
            ou d’intervenir sur un média tel que OummaTV qui fait la promotion 
            du communautarisme islamiste?  Avec un peu plus d’intelligence et 
            de discernement vous découvririez, comme moi, que ce qui définit une 
            racaille c’est son absence totale de sens politique et moral. Soit 
            tout le contraire d’un homme qui craint Dieu et se soucie du sort 
            des Palestiniens. Les racailles, comme vous dites, ne sont pas le 
            fruit du communautarisme islamiste, mais de notre américanisation. 
            Une saine étude de la situation permet de le comprendre… et de 
            compenser quelque peu les ravages produits par le matraquage et les 
            manipulations médiatiques sur notre peur émotionnel et nos cerveaux 
            reptiliens.  Vous semblez penser que l’islam 
            et l’islamisation de la France soit moins grave ou relative par 
            rapport à l’impérialisme américain. L’Islam n’est-il pas un danger 
            aussi pour l’identité de la France?  Evidemment. Mais comme je suis 
            intelligent et que j’analyse les faits - notamment ceux de ces 20 
            dernières années dans le monde - je constate que partout où les 
            islamistes se sont installés : en Afghanistan, en ex-Yougoslavie, en 
            Irak… ils y ont été grandement aidés par les impérialistes 
            américains ! En d’autres termes, pour opposer l’islamisme et 
            l’impérialisme américain, comme le fait un Dantec, quand les deux 
            phénomènes sont systématiquement concomitants, il faut être 
            particulièrement malhonnête ou bas du front !  Dans “Jusqu’où va-t-on 
            descendre?” vous avez écrit que “la France est née de sa 
            christianisation”. N’est ce pas là un enjeu majeur? La France ne 
            meurt-elle pas de sa déchristianisation?  Certainement. Mais ce constat 
            fait, il faut ensuite se poser la question de savoir qui lutte le 
            plus efficacement pour la destruction du Christ et de son message 
            universaliste. Il me semble que l’affaire Gibson, les péripéties de 
            la sortie en France de son film « La Passion du Christ » pour ce qui 
            nous concerne, apportent, au delà des fantasmes et des 
            manipulations, quelques éléments de réponses. « Dans le concret », 
            comme on disait chez les marxistes, qui s’est opposé à la sortie du 
            film en France, et qui a permis que les Français le voient ? Je vous 
            laisse chercher la réponse…  Pour vous quel sera le point 
            central de l’élection présidentielle de 2007? Pensez-vous qu’un 
            nouveau 21 avril soit probable?  Savoir si la France va 
            définitivement et entièrement passé sous la domination de « l’axe du 
            bien » ou si, dans un sursaut gaullien, elle va tenter une énième 
            fois l’aventure de son indépendance. Ce qui veut dire que quiconque 
            croit encore en elle doit non seulement penser qu’un nouveau 21 
            avril est probable, mais qu’il est même souhaitable !Il ne vous reste plus maintenant qu’à vous plonger dans la lecture 
            de CHUTe !, pour vous y préparer…
 Propos recueillis par Alex Corvus   |  
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          | Autres 
          Résonances ..... 
            
            http://www.france-echos.com/actualite.php?cle=8326 le 8.02.06  ...un internaute 
              La machine 
              est en route/les gens se réveillent. 
                Selon moi, la 
                revolte deplacee des mahometans contre les caricatures (qu'Yves 
                Calvi sur mots croises et ds C ds l'air a decrite plusieurs fois 
                comme des caricatures humoristiques) va se retourner contre eux.
                 Pourquoi ? 1/ 
                parce que la gauche traditionnellement alliee des musulmans au 
                nom du multiculturalisme n'a pas supporte qu'on touche a la 
                liberte d' expression.. Donc la deja on ne va plus etre ami ami. 
                2/ parce que les gens commencent vraiment a en avoir ras le bol 
                des gueulantes et des exigences des musulmans qui s'agitent en 
                permanence. Philippe Teysson l'a fort bien exprime pdt son 
                intervention sur l'emission Mots Croises. 3/ tout ca se passe 
                sur fond de crise nucleaire iranienne et l'Iran cherche a donner 
                une legitimite a son desir d'obtenir la bombe atomique. Regardez 
                y de plus pres : comme par hasard les manifs les plus violentes 
                ont eu lieu dans des pays (Syrie, Liban, Afghanistan) tres 
                pro-iranien ou anti-americain (Afghanistan ou des reliquats de 
                talibans subsistent). Conclusion : l'Iran pays des Mollahs va 
                dire puisque le monde musulman est agresse par la pensee 
                pccidentale perverse (et o sacrilege par le biais de son 
                Prophete) nous avons le droit a la bombe pour nous defendre 
                contre les ennemis de l'islam (=nous)  Ne nous leurrons 
                pas ; Tout ca est cousu de fil blanc et ces manifs non 
                spontanees (car rappelons le les dessins ont ete publies pr la 
                1ere fois en Septembre 2005...)ont ete montees de ttes pieces 
                par les etats voyous qui manipulent les foules a outrance.
                 Vous verrez que 
                mon analyse sera donnee bientot par des gens comme Yves Roufiol 
                ds l'Express. Et je dis ca sans fausse modestie... l'homocoques  le 8.02.06 et que penser de 
                l'approche de  "l'Europe chrétienne bouc émissaire" pouvant 
                parer la division entre Chiites et Sunnites ???? 
                 
                le 22.02.06 
                Affrontements entre chiites et sunnites après l'attaque du 
                mausolée de Samarra  Un attentat contre le mausolée de Samarra a 
                déclenché une série de violences. Il est unanimement dénoncé par 
                les autorités irakiennes ... Au moins vingt-et-une personnes ont été tuées 
                et vingt-sept blessées dans un attentat à la voiture piégée 
                perpétré, mardi 21 février, sur un marché du sud de Bagdad, a 
                indiqué une source du ministère de l'intérieur, tandis que la 
                police évoquait vingt-deux morts et vingt-huit blessés. 
 
 
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