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....Jocaste
ou l'empreinte de la mère .. |
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de
la relationnalité :
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commentaires en
relation :
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date
d'émergence :
08.2011 |
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Auteur:
Christiane Olivier
Source:
[cc]
Présentation de l'éditeur
Voici "l'autre psychanalyse", la part féminine,
celle que Freud n'a pas pu écrire. En face d'Oedipe, il y a Jocaste,
sa mère, qui règne sur son fils en l'absence de Laïos, le père tué.
Et Jocaste règne toujours, non seulement sur son fils, mais sur sa
fille, en l'absence du père qui abandonne avec joie les soins et
l'éducation du jeune enfant à sa femme. Soins et éducation qui sont
ainsi monosexués alors que les enfants sont de deux sexes. Pour
Christiane Olivier, femme et psychanalyste, c'est l'ombre de la
mère, ressentie si différemment par le petit garçon et la petite
fille, qui explique et nourrit l'antagonisme séculaire entre l'homme
et la femme. Dans un style clair et accessible à tous, elle dresse
le procès non pas de la maternité, mais du maternage, procès qui
peut aussi se lire comme un mode d'emploi de la vie du couple. Elle
démontre, avec humour, que la fameuse "envie du pénis" dont
souffriraient les femmes pourrait bien n'être que la projection
d'une "envie du sein" ou "envie de l'utérus" dont souffriraient les
hommes, et que nos hommes politiques ayant parfois résolu leur
Oedipe n'ont presque jamais résolu "leur Jocaste".
Biographie de l'auteur
Publié en 1980 par Denoël/Gonthier, réédité en
2001, Les Enfants de Jocaste s'est vendu toutes éditions confondues
à 270 000 exemplaires. Christiane Olivier est également l'auteur de
La Psychafamille (Denoël, 1988), Le Fils d'Oreste (Flammarion,
1994), Filles d'Eve (Denoël, nouvelle édition 2000), L'Ogre
intérieur (Fayard, 1998), et Petit livre à l'usage du père (Fayard,
1999)
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