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Sent: Saturday, November 17, 2012 6:31 AM
L'enfant n'est pas une marchandise
!
Signez la pétition contre le mariage homosexuel et le droit
à l'adoption.
A partir de samedi
17 novembre et pour de nombreuses semaines, les français se
mobiliseront, dans la rue, sur internet, afin de s'opposer par tous les
moyens à l'adoption du projet de loi sur le mariage homosexuel et sur
l'adoption d'enfants par les couples homosexuels.
L'association NCI sera présente
dans toutes les manifestations unitaires organisées prochainement afin
de faire entendre la voix des français qui ne veulent pas voir leur
civilisation détruite par les nouveaux Frankenstein.
En effet, derrière le
projet de loi sur le mariage des homosexuels s'est glissé l’un de ces
projets très réels par lesquels les fanatiques de la
déconstruction (
souligné par l'homocoques ....
NON aux casseurs de Coques !
....) veulent détruire un peu plus les
fondements qui, depuis toujours, structurent
les sociétés européennes.
La question posée ne
concerne nullement la tolérance ou le respect à l’égard de
particularités sentimentales ou sexuelles minoritaires. L’homosexualité
n’est pas une nouveauté historique.
La vie privée est
l’affaire de chacun et, tant que les préférences particulières ne
dégénèrent pas en manifestations provocantes et en prosélytisme
outrancier, il n’y a rien à objecter. En France, par la création du «
pacte civil de solidarité et de concubinage » (pacs), la loi a créé un
cadre légal permettant à deux personnes du même sexe (ou de sexe
différent) de vivre ensemble avec une série d’avantages sociaux ou
fiscaux. Il s’agit d’une consécration sociale du désir d’amour ou
d’affection.
À la différence du
pacs, le mariage est une institution et pas un simple contrat.
L’institution du mariage est définie par un ensemble de droits et de
devoirs réciproques non seulement entre les époux, mais envers les
enfants à naître. La cité - autrement dit la loi et ses représentants -
intervient pour célébrer solennellement le mariage (devant le maire),
estimant qu’elle en a besoin dans l’intérêt général.
Plus qu'une
célébration de l'amour, le mariage est une institution fondée sur la
filiation et la parenté, même si les circonstances, parfois, ne
permettent pas la venue d’enfants. La présomption de paternité est son
nœud fondateur. La rupture de filiation est toujours un drame. Pour les
enfants nés hors mariage, les recherches en paternité ne se rapportent
pas qu’à d’éventuels héritages, mais à un besoin impérieux de savoir
d’où l’on vient, de qui l’on est l’enfant.
Certains couples
homosexuels exigent de pouvoir adopter un enfant, un peu comme on achète
un chien ou un chat. Pour le moment, la loi dit
à bon droit qu’un enfant, pour son équilibre ultérieur, a besoin d’un
père et d’une mère. C’est donc l’intérêt de l’enfant qui est pris en
compte et non les lubies de certains adultes.
En clair, il serait
destructeur de changer la définition de la filiation et de la famille
pour répondre aux attentes égoïstes de couples homosexuels très
minoritaires. Ceux-ci ont droit au respect de leurs différences, pour
autant qu’ils ne détruisent pas une institution qui a été conçue dans
l’intérêt des enfants. Si l’on admet le « mariage pour tous », pourquoi
ne pas l’étendre à son frère ou à sa
sœur, à son père ou à sa mère ? Pourquoi ne pas prévoir le mariage d’une
femme avec deux ou trois hommes ? Toutes ces extravagances, on peut s’y
adonner plus ou moins discrètement hors mariage. La seule question,
finalement, consiste à se souvenir que le mariage n’est pas un bien de
consommation ouvert à toutes les fantaisies.
L'association NCI
lance donc cette pétition qui sera adressée au président de la
République, François Hollande, au premier Ministre, Jean Marc Ayrault, à
la Garde des sceaux, Christine Taubira, ainsi qu'à tous les
parlementaires français.
Du droit de vote des
étrangers à la tolérance appliquée à l'immigration clandestine, en
passant par ce projet de mariage homosexuel, c'est toute notre
civilisation que des apprentis sorciers veulent balayer, au nom d'une
prétendue égalité derrière laquelle se cache en fait le règne de petites
minorités organisées et influentes.