Prenez au moins 30
secondes pour vraiment faire ce que chaque question vous
demande, avant de choisir votre réponse.
La qualité du résultat du test en
dépend.
1. Fermez les yeux et imaginez-vous dans une salle de
cinéma. Cela vous est-il facile d'imaginer votre acteur
préféré à l'écran ?
A. Extrêmement
B. Plus ou moins
C. Je n'y arrive pas
2. Imaginez un endroit dans lequel vous étiez heureux. Vous
est-il facile de le revivre ?
A. Très
B. Moyennement
C. J'y arrive à peine
3. Combien de temps cela vous prend-il pour vous endormir ?
A. 10 minutes
B. Plutôt une demi-heure
C. Au mois une heure
4. Imaginez que vous êtes amoureux. L'image ou le sentiment
qui vous vient est-il intense ?
A. Très intense
B. Assez intense
C. Pas intense
5. Il vous arrive de rêvasser :
A. Souvent
B. De temps en temps
C. Jamais
6. Pensez à un moment dont vous êtes fier et où les gens
vous félicitaient. Fermez les yeux et revivez cette expérience
:
A. Cela a été facile à revivre
B. J'y suis arrivé au bout d'un moment
C. Cela m'a été difficile ou impossible
Résultat du test : Plus
vous avez donné de réponses A, plus il vous sera facile de
rentrer en état d’hypnose.
Il vous est possible de rentrer en état d’hypnose
même si vous n’avez donné aucune réponse A. .....
Il faut simplement que vous appreniez à vous
‘laisser aller’.
The Lancet
(Volume 353, Issue 9150, Page 386, 30 Janvier 1999)
Une méta-analyse publiée dans
un numéro spécial du 'International Journal of Clinical and Experimental
Hypnosis' , par exemple, a constaté que les suggestions hypnotiques
avaient soulagé la douleur de 75% des 933 sujets ayant participé à 27
études différentes.
L'effet anti-douleur de
l'hypnose est souvent considérable, et dans quelques cas le degré de
soulagement de la douleur égale ou dépasse celui produit par la
morphine.
[Cela peut sembler théorique,
donc voici un autre passage de l'article qui illustre ce que cela veut
dire avec une anecdote :] Indépendamment de savoir si une personne entre
dans un état de transe ou si elle est simplement ouverte à la
suggestion, l'hypnose est utile dans la clinique. Nash parle d'un homme
qui avait besoin d'une cystoscopie tous les 3 mois pendant 5 ans après
l'ablation d'une tumeur de la vessie. Lors de son premier examen, "il a
dû être tenu couché par la force à cause de la douleur". L'homme ne
voulait pas d'anesthésie générale et une péridurale était risquée, donc
Nash lui a enseigné l'auto-hypnose. Avant la deuxième cystoscopie il a
pris 60 secondes pour se préparer, et c'est tout. La procédure était
terminée en 10 minutes, et les 6 personnes qui avaient eu l'intention de
le maintenir couché par la force sont allées prendre un café".
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