Unité du monde  .... et inversement

Dossiers :Weltanschauungen .. Dieu

Présentation :...Extrait du livre de Fritjof Capra, "La Sagesse des Sages", qui réunit des dialogues avec des personnalités de multiples domaines (physique, biologie, psychologie, sociologie, écologie, économie, politique). Une brillante synthèse qui trace les contours d'une vision globale pour le 21è siècle.

Voilà une belle parabole qui illustre parfaitement cette convergence entre la science et les paraboles des Evangiles .... Alléluia !!!!

cette page est extraite du site http://perso.wanadoo.fr/metasystems/  ...à visiter absolument ...

Extraits :   Une vague peut être considérée comme une entité individuelle, et pourtant il est évident que la vague est l'océan, et l'océan la vague. Il n'y a pas de séparation ultime. ....le flocon de neige est l'océan, et l'océan le flocon de neige. Et pour se réunir avec l'océan, le flocon de neige doit abandonner sa structure et son individualité; il doit subir une mort de l'ego, en quelque sorte, pour retourner à sa source."

« tout est en lui » ....C'est pour le connaître et le contempler que les anges ont été créés dans le ciel et les hommes sur la terre... C'est pour manifester ce mystère plus clairement que Dieu lui même est descendu du séjour des anges vers les hommes...

en z relations .... multiples uns et Un ...

Les NOUS à la rencontre de l’A Totalité>>>>>>

 
 

Unité du monde: la parabole de l'océan par Stanislas Grof

 

Auteur:   Stanislas Grof

Source:  http://perso.wanadoo.fr/metasystems/StanGrov.html

Date :  20.12.05      

"La conscience universelle est souvent comparée à l'océan: une masse fluide, indifférenciée, et la première phase de la création correspondrait à la formation de vagues.

Une vague peut être considérée comme une entité individuelle, et pourtant il est évident que la vague est l'océan, et l'océan la vague. Il n'y a pas de séparation ultime.

La phase suivante de la création serait une vague se brisant sur les rochers et vaporisant l'air de goutelettes d'eau, qui existeront en tant qu'entités individuelles pendant une courte période, avant d'être à nouveau avalées par l'océan. Ainsi, nous avons là des moments fugitifs d'existence séparée.

Mais imaginons maintenant de l'eau qui s'évapore et forme un nuage. Maintenant, l'unité originelle est obscurcie et cachée par une véritable transformation, et il est nécessaire d'avoir une certaine connaissance en physique pour se rendre compte que ce nuage est l'océan, et l'océan le nuage. Pourtant, à la fin, l'eau du nuage va se réunir avec celle de l'océan sous forme de pluie.

http://www.mad-jarova.net/

à rapprocher d'un développement de fractales

http://perso.wanadoo.fr/metasystems/Fractals.html

et de ....

photos de l'univers prise par la station Hubble

La séparation finale, où le lien avec la source originelle apparait complètement oublié, est souvent illustrée par un flocon de neige qui s'est cristallisé à partir de l'eau du nuage qui, à l'origine, s'était évaporé de l'océan. On a là une entité très structurée, très individuelle et séparée qui ne comporte, en apparence, aucune ressemblance avec sa source. Maintenant, on a vraiment besoin d'un savoir sophistiqué pour reconnaître que le flocon de neige est l'océan, et l'océan le flocon de neige. Et pour se réunir avec l'océan, le flocon de neige doit abandonner sa structure et son individualité; il doit subir une mort de l'ego, en quelque sorte, pour retourner à sa source."

Extrait du livre de Fritjof Capra, "La Sagesse des Sages" qui réunit des dialogues avec des personalités de multiples domaines (physique, biologie, psychologie, sociologie, écologie, économie, politique). Une brillante synthèse qui trace les contours d'une vision globale pour le 21è siècle.

texte hébergé en  12/05

 

 

 

l'EVANGILE AU QUOTIDIEN

Seigneur, vers qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle. Jn 6, 68


 

mardi 05 mai 2009
Le mardi de la 4e semaine de Pâques


Saint(s) du jour : Saint Antonin de Florence (+ 1459),  Sainte Jutta von Sangerhausen (+1260),  Saint Ange (1185-1220)

Voir le commentaire ci-dessous, ou cliquer ici
Léon XIII: « Le Père et moi, nous sommes Un »


Evangile de Jésus-Christ selon saint Jean 10,22-30.

On célébrait à Jérusalem l'anniversaire de la dédicace du Temple. C'était l'hiver. Jésus allait et venait dans le Temple, sous la colonnade de Salomon. Les Juifs se groupèrent autour de lui ; ils lui disaient : « Combien de temps vas-tu nous laisser dans le doute ? Si tu es le Messie, dis-le nous ouvertement ! » Jésus leur répondit : « Je vous l'ai dit, et vous ne croyez pas. Les oeuvres que je fais au nom de mon Père, voilà ce qui me rend témoignage. Mais vous ne croyez pas, parce que vous n'êtes pas de mes brebis. Mes brebis écoutent ma voix ; moi, je les connais, et elles me suivent. Je leur donne la vie éternelle : jamais elles ne périront, personne ne les arrachera de ma main. Mon Père, qui me les a données, est plus grand que tout, et personne ne peut rien arracher de la main du Père. Le Père et moi, nous sommes UN. »


Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris



Commentaire du jour :

Léon XIII, pape de 1878 à 1903
Encyclique « Divinum Illud Munus » du 9 mai 1897

 

« Le Père et moi, nous sommes Un »



      Le mystère de la très sainte Trinité est appelé par les docteurs de l'Église la substance du Nouveau Testament, c'est-à-dire le plus grand de tous les mystères, la source et le fondement des autres. C'est pour le connaître et le contempler que les anges ont été créés dans le ciel et les hommes sur la terre... C'est pour manifester ce mystère plus clairement que Dieu lui même est descendu du séjour des anges vers les hommes...

      L'apôtre Paul annonce la Trinité des personnes et l'unité de leur nature quand il écrit : « Tout est de lui, et par lui, et en lui ; à lui la gloire pour l'éternité ! » (Rm 11,36)... Saint Augustin écrit, en commentant ce passage : « Ces paroles ne sont pas à prendre au hasard. ' De lui ' désigne le Père, ' par lui ' le Fils, ' en lui ' le Saint Esprit ». Avec justesse l'Église a l'habitude d'attribuer au Père les oeuvres de la Divinité où resplendit la puissance, au Fils celles où resplendit la sagesse, à l'Esprit Saint celles où resplendit l'amour. Non pas que toutes les perfections et les oeuvres extérieures ne sont communes aux personnes divines : « les oeuvres de la Trinité sont indivisibles, comme l'essence de la Trinité est indivisible... » (St Augustin).

      Mais, par une certaine comparaison, une certaine affinité entre ces oeuvres et les propriétés des personnes, les oeuvres sont attribuées ou « appropriées », comme l'on dit, à une des personnes plutôt qu'aux autres... De cette façon, le Père, qui est « le principe de toute la divinité » (St Augustin), est aussi la cause efficiente de toute chose, de l'incarnation du Verbe, et de la sanctification des âmes : « tout est de lui ». Mais le Fils, le Verbe, la Parole de Dieu et l'image de Dieu, est aussi la cause-modèle, l'archétype ; de lui tout ce qui a été créé reçoit sa forme et sa beauté, l'ordre et l'harmonie. Il est pour nous « le chemin, la vérité et la vie » (Jn 14,6), le réconciliateur de l'homme avec Dieu : « tout est par lui ». Le Saint Esprit est la cause ultime de toute chose..., la bonté divine et l'amour mutuel du Père et du Fils ; par sa force puissante mais douce, il complète l'amour mutuel du Père et du Fils ; par sa force puissante mais douce, il complète l'oeuvre cachée du salut éternel de l'homme et la mène à sa perfection :
« tout est en lui ».





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