À tout ceux qui nous expliquent que 
          Jean-Marie Le Pen est un traître, à tous ceux qui prônent l’Europe des 
          régions tout en soutenant des intellectuels ou des médias sionistes, 
          qu’ils avouent ce qu’ils savent : La régionalisation de l’Europe n’est 
          qu’un moyen, elle permettra le démembrement politique de l’Europe au 
          profit d’une domination unique, celle de l’Empire états-unien ! Un 
          seul désir aux pères maçons et métis de cette Europe aux cents 
          drapeaux : la transformer en Kosovo généralisé.
          La construction européenne dépend de 
          l’idée que l’on s’en fait ainsi que de son rôle dans le monde, 
          préparer les mentalités (surtout dans “l’opposition au nouvel ordre 
          mondial”) s’avère essentiel. On peut presque parler de “révolution 
          conceptuelle”.  L’ex-URSS a été dans un premier temps un obstacle à la 
          vassalisation de l’Europe au profit du capitalisme apatride et 
          putride, cette fausse opposition paraissait encombrante, elle est 
          pourtant de plus en plus suivie comme un modèle pour l’Union 
          européenne.  L’interdépendance (politique qui existait entre les 
          différents pays de l’URSS) est de plus en plus reprise. 
          L’interdépendance et le transnational y ont fait leurs premières 
          armes, Jimmy Carter reconnaissait fort volontiers que si la guerre 
          froide était un problème important, d’autres guerres sont en train de 
          s’inscrire à travers l’interdépendance, bonne lorsqu’elle aide 
          l’Amérique, mauvaise lorsque c’est le contraire ! Pour eux, l’URSS est 
          morte de ne pas s’être ouverte, les causes politiques sont oubliées. 
          Après avoir conduit à la création de l’Union européenne pour l’Europe 
          occidentale permettant ainsi de la soustraire à l’influence 
          soviétique, les États-Unis encouragent aujourd’hui l’intégration de 
          cette dernière. L’Union souhaite absorber la Russie et broyer ses 
          États-membres en une myriade de régions pour se transformer en une 
          vaste zone de libre-échange protégée par la puissance militaire 
          atlantiste. 
           
          Cette Union européenne ne concerne pas que l’Union présente, mais est 
          conçue pour s’étendre à toute l’Eurasie. Là encore, l’idée de ne plus 
          parler d’Europe mais d’Eurasie s’avère essentielle et plus qu’utile, 
          c’est un plan mondial, ne l’oubliez pas ! Tous les États d’Europe 
          centrale, les États baltes, l’Ukraine, la Russie, les États du Caucase 
          et la Turquie sont déjà intégrés dans ce projet européen ou plutôt 
          euro-atlantique. La Turquie fera le lien vers les territoires du 
          Moyen-Orient, mais ce n’est qu’une étape minime. L’adhésion à l’Union 
          est un moyen, non de réaliser une unité européenne, mais bien 
          de démembrer le continent. Aucun doute là-dessus, la seule Europe qui 
          fut, où les hommes de tous les pays se retrouvaient soudés par un même 
          idéal, fut une Europe des nations, réécrire l’histoire permet de 
          justifier le discours (”l’histoire est un mensonge que personne ne 
          conteste” Napoléon). La régionalisation, présentée comme un moyen de 
          défendre les identités, de rapprocher les citoyens des lieux de 
          décisions, n’est qu’un artifice pour prévenir l’émergence d’une 
          Europe-puissance en application de la « doctrine Wolfowitz », en 
          référence à cet israélite américain, secrétaire d’État adjoint à la 
          Défense entre 2001 et 2005 dans le gouvernement de George W. Bush et 
          président actuel de la Banque mondiale.
          Peu de temps avant de quitter la 
          Maison-Blanche, le président Clinton a présenté la vision 
          états-unienne de l’Europe dans un discours magnifiant le bloc 
          transatlantique. « (…) l’unité de l’Europe est en train d’engendrer 
          quelque chose de véritablement neuf sous le soleil : des institutions 
          communes plus vastes que l’État-nation parallèlement à la délégation 
          de l’autorité démocratique aux échelons inférieurs. L’Écosse et le 
          Pays de Galles ont leurs propres parlements. L’Irlande du Nord, dont 
          ma famille tire son origine, a retrouvé son nouveau gouvernement. 
          L’Europe est pleine de vie et résonne à nouveau des noms d’anciennes 
          régions dont on reparle - la Catalogne, le Piémont, la Lombardie, la 
          Silésie, la Transylvanie etc. - non pas au nom d’un quelconque 
          séparatisme, mais dans un élan de saine fierté et de respect de la 
          tradition. La souveraineté nationale est enrichie de voix régionales 
          pleines de vie qui font de l’Europe un lieu garantissant mieux 
          l’existence de la diversité (…) »
          Je vous le demande, de qui se 
          moque-t-il ? De vous ! L’Amérique bénit le transfert de pouvoir 
          politique des États vers les régions. Désormais, la « région-État » se 
          pare d’une autonomie politique de plus en plus grande dans les 
          domaines qui touchent l’administration, la justice, les systèmes 
          bancaire et postaux ou encore l’éducation, cette dernière devenant de 
          plus en plus - quoiqu’en disent les autorités officielles - une 
          éducation régionale. Or, ces instances politiques régionales sont 
          conduites à traiter directement avec les instances supranationales de 
          Bruxelles en court-circuitant l’autorité nationale. Voilà une aubaine 
          formidable pour les lobbies apatrides : par l’intermédiaire de 
          Bruxelles, on va pouvoir briser les Alsaciens, les Lombards, les 
          Catalans, les Bavarois, les Bretons, les Monténégrins, etc.
          Dans cet asservissement, l’Allemagne 
          est essentielle. Pourquoi ? À l’origine de la régionalisation en 
          Europe, il y a la Recommandation 34 (1997) du Congrès des pouvoirs 
          locaux et régionaux d’Europe. Elle soumet le continent aux concepts 
          institutionnels que l’alliance américano-britannique lui a imposés à 
          la Conférence de Postdam (11 juillet au 2 août 1945) et lors de la 
          création de la bizone d’occupation (2 décembre 1946). Il s’agissait à 
          l’époque de donner un rôle amplement plus important aux Länder pour 
          casser la centralisation du IIIe Reich et priver l’Allemagne du statut 
          de grande puissance. On peut donc dire que l’Europe aux cents drapeaux 
          trouve son origine dans la dénazification de l’Europe. Ce dispositif 
          avait été approuvé par la France qui, selon le mot de Mauriac, à 
          propos des zones d’occupation, aimait tant l’Allemagne qu’il préférait 
          qu’il y en eût plusieurs. En outre, les Anglo-Saxons figèrent ces 
          institutions en sacralisant la Constitution allemande et en créant une 
          Cour constitutionnelle indépendante à Karlsruhe. 
          Dans un tel contexte d’assaut 
          contre les historiques Etats-Nation de notre continent, dans l’intérêt 
          de nos enfants et de notre identité, il est urgent de défendre la 
          conception nationale, la seule qui soit ! Dans un tel affrontement 
          mondial, il est évident que l’on doit s’opposer bloc à bloc, 
          s’organiser en une puissante alliance qui garantisse la paix, la 
          stabilité  et le progrès de l’Europe, mais cela ne peut se faire 
          qu’avec le maintien des indépendances nationales ! Jean-Marie Le 
          Pen est le seul candidat qui nous fera sortir de l’Europe, il est le 
          seul candidat anti-système, n’écoutez pas la voix des sirènes du mal : 
          Le socle d’ une nouvelle alliance contre l’internationalisme apatride, 
          doit absolument être la France nationaliste et la Russie 
          nationalistes. Ils sont les seuls, compte tenu de leurs 
          prédispositions stratégiques et géographiques, capable de défendre 
          l’intérêt général des races européennes. « La Patrie est toujours 
          défendue par les gueux, livrée par les riches. » (Charles Péguy)
          PAS UNE VOIX NATIONALISTE CONTRE 
          LEPEN ! POUR UN NOUVEAU 21 AVRIL ! POUR UNE NOUVELLE VICTOIRE DE LA 
          FRANCE D’EN BAS SUR LA FRANCE D’EN HAUT ! QUI VIVE ? FRANCE !